Misquamacus a écrit :
Alors là je ne comprend pas. D'habitude je comprend les avis différents, mais là... Toi dont l'avatar et le nom font référence à un sommet du suspens et de la frousse, je te pose la question : as-tu eu peur une seule fois et si oui, comment ? J'ai quand même pour ma part failli... M'endormir ! Donne-moi ta recette, je prend ! (les champignons de "Shroms" ?)
Bmcready a écrit:
Il suffit de voir (et d’entendre) la manière dont le réalisateur – Bryan BERTINO – utilise le son d’un 33 tours rayé (diffusant une ballade country) lors d’une des séquences les plus anxiogènes du film pour s’apperçevoir qu’on a pas affaire à un « terror movie » de plus.
Déjà fait et en 100 fois mieux par Argento dans "Inferno" (sur du Verdi, coupé par une panne de courant sporadique) et par le grand Clint dans "A Perfect World" (Double utilisation d'un 33 de musique... Country !) . Enfin, faut dire que là, il y avait un vrai réal et de vrais acteurs. Non, franchement, j'adore Liv Tyler mais là...
On touche même au ridicule avec la scène où le type entre dans le champ dans la cuisine... J'ai vu mieux dans un... "Vendredi 13" !
Cher Misquamacus, comparons ce qui est comparable !
Le coup du 33 tours rayé n’est certes pas une première, mais dans la séquence que je cite l’effet est redoutable. Me dire que ça été fait 100 fois mieux ailleurs, peut-être.
Me citer INFERNO (un film d’horreur fantastique) ou UN MONDE PARFAIT (un drame) pourquoi pas, mais le contexte et les musiques des séquences citées sont différents.
Je le répète, il s’agit d’un 33 tours « rayé » et non pas d’une coupure de courant : l’effet rendu est totalement différent.
J’ai bien compris que tu n’as pas aimé le film, mais de la à « le mettre dans le même sac » que LE BAL DE L’HORREUR là, c’est à moi maintenant de ne pas te comprendre. Comment mettre sur un pied d’égalité un film comme THE STRANGERS qui – si modeste soit-il dans ses intentions – essaye un temps soit peu (et réussi pour ma part) à renouveler un genre contaminé par des productions comme LE BAL DE L’HORREUR . Ce dernier est une accumulation de poncifs sans noms.
Pour exemple, l’utilisation de la musique : dans THE STRANGERS, le duo de compositeurs TOMANDANDY préfère jouer la carte de la sobriété, alors que pour LE BAL DE L’HORREUR, on a droit de la part de Paul HASLINGER aux fameuses explosions orchestrales héritées des VENDREDI 13 (merci Harry MANFREDINI !).
VENDREDI 13 justement ! Que tu cites ?!?!?!
Bref ! Les goûts et les couleurs…..
Tiens, pendant que j’y pense, j’ai vu ce week-end le remake américain de REC : QUARANTINE !
Autant le dire de suite, ça n’à aucun intérêt ! Malgré la présence de la longiligne Jennifer CARPENTER (DEXTER….), le film est inintéressant au possible. C’est un copier coller sans âme du film de BALAGUERO et PLAZA. Le type même d’entreprise commerciale complètement veine. A fuir !