Rob Simonsen

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Gdemonta
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Rob Simonsen

Message non lu par Gdemonta »

J'ai récemment regarde le film Nerve, don't la BO tres electro est composée par Rob Simonsen. Je n'avais jamais entendu parler de lui, le morceau le plus marquant, Night drive, J'aime beaucoup!
On retrouve des sonorités des années 80 en plus moderne. Je préfère largement ça aux score "sound design" type the social network.
Vous connaissez? Vous aimez?
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Edern
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Re: Rob Simonsen

Message non lu par Edern »

Yep, j'ai aimé et c'est un titre qui continue de passer régulièrement ;)
Night Drive est effectivement un excellent morceau qui reste en tête.
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Le Yéti
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Re: Rob Simonsen

Message non lu par Le Yéti »

J'aime énormément son The Way Way Back, que je trouve un peu au-dessus des habituelles partitions indé ricaines. Pourquoi ? Je ne saurais le dire. Le reste que j'ai entendu de lui ne m'a jamais marqué plus que ça, faudrait que je tente ce Nerve :)
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Lee Van Cleef
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Re: Rob Simonsen

Message non lu par Lee Van Cleef »

Shardar a écrit :Ghostbusters Afterlife de Rob Simonsen: J'ai hâte d'aller au cinéma le 1er décembre pour découvrir le film. J'ADORE la partition jusqu'à présent (je l'écoute sur Spotify et je n'en suis qu'à la moitié) : Simonsen rend hommage à Elmer Bernstein avec un vrai sens de l'artisanat, dans le bon sens du terme. J'aime la façon dont il utilise les bois et les ondes Martenot et son écriture qui fleure bon les scores orchestraux des 80's. Le moins qu'on puisse dire, c'est que ça change des scores des blockbusters du moment !
Sous l'empire de l'habituelle défiance que suscitent en moi les sauts de cabri de mes gentils camarades lorsqu'ils pensent avoir déniché une merveille "comme dans le temps, fieu", je dois bien l'avouer, j'y suis allé à croupetons (le chat du Cheshire aussi, à tous les coups, sauf que lui ne voyait pas d'un oeil clément l'inopportune homonymie de Rob Simonsen avec un certain compositeur qu'il adule entre tous). C'est vous dire ma surprise en réalisant que Shardy n'avait point enjolivé l'enrobage du truc. On sent d'un bout à l'autre la volonté de bien faire, de fignoler et polir les détails — scrupule devenu on ne peut plus anachronique depuis beau temps, mais resté toujours aussi louable. Hélas, mes pauvres gentlemen aux lèvres desquels la bave commençait à poindre en filets lactescents ! Si pomponné de frais soit-il, cet orchestre-là peine à dissimuler la petite routine d'une partition somme toute assez générique, où le charme canaille, la fantaisie tordue avec goût et les sursauts romantiques de Bernstein manquent tristement à l'appel.
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