Existe-t-ii vraiment aujourd'hui un compositeur qui ose prendre des risques sinon Young ? Je me demande comment Young, le dernier des vivants, parvient encore avec "The piper" et bientôt "Nosferatu" à garder son intégrité artistique malgré les contraintes économiques et les press...

Le "Nightbreed "de Elfman expanded approfondit certes le score initial, mais foncièrement rien de nouveau, sinon un beau score qui ressortait déjà sans le surplus. Comme d'habitude en fait ! Je trouve généralement que les expanded ne servent qu'à une seule chose : se refaire le trajet de l...

Jamais écouté ce "Doom", cela vaut quelque chose ? Pour le Silvestri, une partition mineure.

"The piper" a vraiment l'air exceptionnel, et je me retiens de tout écouter sur YouTube, car les conditions ne sont pas réunies pour savourer à tête reposée et sur support physique un ouvrage qui semble à nouveau prouver que Young reste le dernier des compositeurs vivants (avec Williams) à...

Décidément, le seul mérite des 2 films de Villeneuve est d'étaler la narration elliptique et ésotérique du film de Lynch de 1984. Un hommage et rien de plus ! Et le choix du noir et blanc pour dépeindre le monde Harkonnen le signale amplement (Lynch ayant bataillé sans succès pour un film en noir et...

Intrada reste décidément le seul label qui pourrait un jour me ruiner ! "The piper" est un achat incontournable pour moi car, étant donné la présentation par suites, il semble que Young ait à nouveau voulu tenter un score de recherche comme "The offering" que j'ai par ailleurs vr...

Un petit topic comme cela pour rassembler les derniers desiderata de nous autres, gonflés désormais de contentement eu égard à la presque parution intégrale de leur partition chérie rongée jusqu'à l'os. Comme la plupart d'entre vous, il ne me reste presque plus rien comme désirs SAUF.... encore quel...

Mais comment peut-on oublier, si on est né en 73, "L'exorciste" de Friedkin ?

Je ne dis pas que c'est un grand score, je ne dis pas non plus que le film de Garcia de 2008, "Passengers", est un grand film, je dis simplement que le score de Shearmur et le film de Garcia me rappellent le très beau score de Horner et le très beau film de Perelman à savoir "The life...

Non ! Et après écoute des 27 minutes sur YouTube de ce "Lady in red" de James Horner, je me ravise et change mon jugement, c'est de la musique source véritablement vintage et pour le coup très dispensable par rapport à un "Humanoïds from the deep" et à un "Deadly blessing&qu...

Heureusement que je ne fais pas partie du jury distingué, j'aurais mis un zéro pointé, et les parents m'auraient intenté une action en justice :mrgreen: voilà un score qui mérite un téléchargement en 5 secondes chrono, une consommation rapide avec pop-corn sur youtube et un clic illico direction pou...

Ayant jeté enfin mon dévolu sur le Deluxe de "Hellboy : the golden army", je suis ressorti de l'écoute assez perplexe. Certes, ce Deluxe est beaucoup plus aéré, avec des moments groove irrésistibles comme "Domestic fight", des plages de pure tendresse comme "Reading Each Oth...

Une partition relativement méconnue d'Elfman et qui représente pourtant un "pic" des débuts du rouquin fêlé. Un score que je dirais, a contrario, très connu et qui figure parmi les stèles premières édifiées dans le Panthéon elfmanien, à moins d'être peu versé dans l'art du roux déjanté qu...

Engorgement sur la ligne ... BIP ... La ligne va sauter ... BIP ... Fréquence saturée ... BIP ... Données exponentielles ... BIP ... Topic qui a implosé aussi !

Si ma préférence va évidemment à "Amicalement vôtre" de Barry ainsi que, classiquement, à "Game of thrones", j'ai été aussi scotché par celui-ci :

Le mérite du film "Cabal" en plus, c'est qu'il met en scène une véritable mythologie païenne, et surtout que Clive Barker a eu les rênes entières sur le projet en adaptant lui-même son roman et en convoquant son mentor, à savoir David Cronenberg, qui se révèle, de façon inattendue, être un...

Ce qui est étonnant, c'est qu'une version orchestrale (franchement réussie) puisse sembler même interchangeable avec le score initial quasiment électronique, comme quoi des sons synthétiques peuvent être spontanément naturels sans le dire. C'est peut-être l'impression que donne le sélection de pist...

J'arrête avec ça: https://www.youtube.com/watch?v=iHo1tVVSBmc Ce qui est étonnant, c'est qu'une version orchestrale (franchement réussie) puisse sembler même interchangeable avec le score initial quasiment électronique, comme quoi des sons synthétiques peuvent être spontanément naturels sans le dir...

Oui, et d'ailleurs je me pose la question, la plage de Toto "Paul takes the water of life", qui est surtout percussive et "ambiance", se trouve-t-elle finalement dans le film ?

https://www.youtube.com/watch?v=ySJ2dAw5B1w Cette plage comprenant le "Prophecy theme" de Eno produit toujours, sur les images et à tête reposée, la même réaction épidermique de communion mystique (mais je ne dois pas céder, et me refaire le Lynch pour la centième fois au moins !). Pourra...

Mais non, il n'y a aucun con, et c'était un interlude, en plus ! :mrgreen: Car déjà je suis sidéré par une chose simple : qu'on ose parler de Moroder gratuitement (je ne sais la raison d'une telle séquence ; un fan dans le service de programmation probablement) sur une chaîne de grande écoute ! Et p...

Je n'arrive toujours pas à comprendre comment il est possible de concilier une recherche expérimentale avec une préoccupation uniquement commerciale. Et la référence de Yuhirà au dépouillement sonore des musiques indiennes est en plus totalement pertinente, car il est vrai que le dénuement est invit...

Interlude hilarant ! Voilà que sur Cnews, on passe comme cela "Midnight express" et Pascal Praud qui interroge Goldnadel sur le compositeur. "Cela a terriblement vieilli ce truc, c'est pas du Bach, c'est sûr !" répond Goldnadel. Quel manque de culture quand même ! :mrgreen: Je ne...

Bonheur avec "Batman returns" et "Darkman", on tient là le haut du panier "épique"

Une approche très intéressante de l'art Yuhirà. Et si je te comprends bien, c'est l'expérimentation libre c'est-à-dire l'attention à la sophistication des moyens employés sans anticipation d'une fin quelconque qui permettrait d'atteindre un sens de façon inattendue. En soi, c'est la définition même ...