Comme je ne suis pas le meilleur pour les description et toute la technique et pour donner une vague idée de l'ensemble musical, il s'agit tout simplement d'un cousin plus ou moins rapproché/éloigné (vous choisirez :mrgreen: ) de "Forrest Gump". En se fiant aux airs de huis (littéralement...

Décidément Morricone est à l'honneur avec une édition collector de Et pour quelques dollars de plus . Le prix n'est pas mal non plus :| Les partitions dites complètes en provenance de la Botte, qui n'ont d'intégral que la fumeuse dénomination dans l'écrasante majorité des cas, n'ont jamais trouvé e...

Non point l'actuel coup de cœur de votre serviteur chenu, mais plutôt celui de hordes entières de citoyens américains qui, où qu'ils soient en ce jour, renversés de bonheur sur leur canapé constellé de chips vagabondes, ou sillonnant le labyrinthique dédale de leurs routes au volant de ces monstres ...

Ce n'est assurément pas demain la veille que le petit monde de la musique, qu'elle soit ou ne soit pas de film, profitera de l'invraisemblable panachage de talents d'un aussi génial caméléon que mister Q. Bien évidemment, les médias flemmards, en ce jour, n'ont que sa collaboration avec Michael Jack...

Fallait-il réellement s'attendre à ce que le grand Clint, les pieds désormais plantés sur le paillasson qui précède les vantaux de l'Autre Monde, chamboulât de la cave aux solives du grenier sa petite routine musicale depuis fort beau temps rassise ? Mancina, d'humeur mortifère faudrait-il croire, s...

Et pourtant ! Si caoutchouteux et alourdis de boue soient-ils, les gros sabots du triste sire Bowers ne semblent pas avoir éprouvé grand-peine à trouver preneurs. Comme l'atteste notablement ce forum que je tiens depuis longtemps en flatteuse estime, haut lieu des palabres cinématographiques, dont l...

pour les besoins de l'Underscorama, j'ai écouté cette musique de Bowers. Inutile de vous dire que je n'ai pas été tendre. Nickel ! Pas de demi-mesure flegmatique avec mon vieux camarade Sam, non, rien que l'implacable couperet de la justice prêt à foudroyer les fossoyeurs benoîts de (ce qui reste d...

Je reconnais bien là ce cher Dadid, tantôt lacérant d'un canif lascif le bien nommé "papier-peint" qui cloque de ses motifs rebattus la production musicale moderne, tantôt s'escrimant avec tout le bagout d'un diplomate roué à ménager la chèvre et le chou ! Sois joie, car sans nul doute ta ...

Quand je pense à ce jeune godelureau de Rico, qui toujours éprouve le besoin de s'infliger séparément les musiques des films et séries TV qu'il vient juste de découvrir, même lorsqu'un simple visionnage l'a déjà convaincu qu'une écoute isolée ne lui procurerait au mieux qu'une satisfaction décharnée...

Finissons-en une bonne fois avec John Woo en braquant le halo de notre lanterne sourde sur ce qui demeure, sauf embarrassante maldonne, son tout dernier vol à l'étalage. Un larcin qu'il aurait pu s'épargner, sachant que Michael Gibbs avait pourvu le tétanisant Hard Boiled d'une musique entièrement o...

J'espère d'ailleurs que ce dernier va pouvoir rééditer le "Golden Dog" (1979), dont j'ai toujours trouvé la jaquette fort belle. On reconnaît sans hésitation dans ce fier canidé la patte fougueuse de Noriyoshi Ohrai, l'homme à l'origine, entre autres agapes hyper-visuelles, des immenses p...

Une énième anthologie frappée des couleurs diaprées de Yuji Ohno — la combientième au juste dans sa gargantuesque discographie ? Pour celles et ceux qui viennent à peine de débarquer, mus par une salubre curiosité, le programme devrait cependant entrebâiller une porte mieux que tentante sur un unive...

Après m'être fait un devoir de boulotter jusqu'à l'ultime miette le savoureux épisode consacré à feu Delon, j'enchaîne en me cognant autant que d'une guigne de reprendre ma respiration. Un enthousiasme de jeune homme que motive largement le nom de l'excellentissime (et je pèse mes épithètes) Roy Bud...

En-fin ! D'ici peu, le manque cruel qui dessinait sur nos étagères de bois blanchi un croissant désespérant de ténèbres cessera pour de bon d'en être un ! https://www.karanliksinema.com/wp-content/uploads/2015/04/Resurrection-1999-1.jpg De quoi ? Comment ça, j'ai encore confondu babord et tribord ?

Mais il vaut mieux se méfier, car ils ont déjà repoussé le Schnittke: Film Music, Vol. 6 pour une livraison prévue entre le 7 décembre et le 2 mai. Une belle fourchette :roll: J'ai eu connaissance moi aussi de ce "léger" report, source depuis d'une certaine irritation destinée à cheminer ...

Merci Lee pour ces mises en parallèle instructives. :D Que ce merci te soit rendu centuplé pour ton satisfecit, compagnon. Il s'agit d'abord d'une lubie tout ce qu'il y a de personnel que je satisfais en cet endroit étriqué, mais si quelques-uns de mes frères d'armes peuvent y trouver quelque joie,...

Ce mercredi paraît dans les salles obscures le remake de The Killer . Depuis les velléités initiales d'engluer de sauce Ketchup le cultissime polar de John Woo (tâche pour le moins ingrate qui devait échoir à Walter Hill au début des années 90), on vit de temps à autre le projet crever tel un serpen...

D'ordinaire, le vieux Van Cleef ne transige pas avec l'exactitude de ces choses-là. Aujourd'hui pourtant, il s'apprête à bafouer ce noble topic en invitant à prendre place dans l'une de ses alcôves ce qui ressemble fort à un intrus : les swinging sixties , même moribondes, ne sont pas les seventies ...

"Ha-ha, vous me faites bien rire avec ce guignolo tout plissé de Moore
et ce peine-à-jouir de Craig ! S'ils avaient écouté plus attentivement
mes leçons, ces corniauds sauraient comment prendre du bon temps."

Sans doute faut-il être un indécrottable mordu du cinéma de Hong Kong pour connaître le nom et la tête aussi oblongue qu'un suppositoire de Lee Hoi-sang. Second couteau au pedigree prolifique, abonné les trois quarts du temps aux rôles de méchant qui l'affublaient de sourcils touffus (une pilosité f...

Sous le ciel fuligineux de Gotham, n'espérez pas rencontrer quelque couleur acidulée ailleurs que sur la seule trogne peinturlurée du Clown Prince du Crime ! À tout le moins, si la grisaille et les ombres rampantes assiégeant la ville devaient un jour se dissiper, on imagine malaisément la main diap...

Celui-là figure en excellente position pour devenir, un jour peut-être, mon opus "carpentérien" favori au sein d'une filmographie attendant toujours que je décerne sceptre et couronne. Quelle mise en place ! Quelle atmosphère ! Quelle sécheresse stylistique ! Quelle musique ? Ici, le point...

Je m'étais préparé à une répartie de ce type, et pour tout dire, je suis entièrement d'accord avec à peu de choses près tout ce que tu écris... N'empêche que le problème reste entier. Où sont le fini, le parachevé, dans cette débauche d'omnipotente technologie ? Mes oreilles implacablement tabassées...

Je note que toutes ces musiques sont techniquement très abouties Allons bon, v'là aut'chose ! Après la ritournelle à succès "Ça fonctionne grave bien dans le film" , que j'ai déjà arrosée de suffisamment d'essence et criblée d'assez d'allumettes incandescentes pour qu'il soit inutile que ...

L'élégie ci-dessous, mieux vaut éviter de se l'infliger si le vague a envahi notre âme ! Il y est en effet question de gypse froid en lieu et place de chair vivante, et d'une innocente houri livrée à un sort fatal. Mais au coeur des volutes mortuaires, la beauté s'enchatonne grâce au timbre prompt à...