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Surprise (toute relative) que ce Transformers 80’s pour lequel les musiciens mettent la pédale douce sur les synthés d’alors et tirent parti d’un orchestre au format télévisuel en le gratifiant d’arrangements qui ne manquent ni de caractère ni de dynamisme. Dommage que le rendu sonore de cette édition étouffe autant le plaisir d’écoute.
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Pour les 40 ans de la série faite pour vendre des joujoux, on nous offre la reprise du vinyle sorti en 2018, avec deux maigres plages supplémentaires. Si les synthés vont en décourager certains, c’est pourtant fun et généreux. A noter que ma note ne reflète aucune nostalgie, sauf peut-être celle d’une époque musicale. Et bien sûr, point de CD !
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Le titre m’a fait peur : bruit infernal à venir ? Meuh non, c’est la vieille série, ça tombe bien, je suis un peu vieux. Mini orchestre clinquant, plutôt pop, un poil jazz, des synthés AOC (hélas esseulés sur la fin) mais pas de matraque techno. Ouais ! Rien de génial, du score TV gamin et plein d’humour : ça m’a transformé.
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Nostalgie… Mais quand même, ça claque, non ? J’adore le son caractéristique des musiques orchestral-pop-jazz de Douglas ainsi que celles plus marquées 80’s de Walsh qui ont bercé mon enfance mélomane. Même les quelques pistes synthés à la DiCola sont bien cool. L’album G.I. Joe vaut aussi le coup !
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Je connaissais le générique mais la série animée n’a jamais été mon truc. En revanche, la musique est une sacrée bonne surprise ! Orchestrale (petit orchestre de probablement 40 musiciens) avec une section pop/rock et quelques synthés, plus générique qu’inspirée dans le suspens, elle offre cependant de jolis moments d’action.
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