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Aux côtés d’une reprise saisissante du traditionnel japonais Sakura Sakura, Hancock nous invite à un voyage émotionnel riche et très complet, de l’effroi à l’émerveillement, dans une verve accomplie pour chœur et orchestre qui n’est pas sans évoquer celle de Bruce Broughton. Son écriture, très expressive ici, est tout bonnement remarquable.
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Appréciant ce compositeur, je suis heureux de le retrouver sur un film d’animation. Cette adaptation d’un roman jeunesse permet à Hancock de passer de morceaux bourrés d’énergie et sentant bon l’aventure à d’autres plus contemplatifs. Le tout forme donc un joli canevas qui joue sur l’émotion, l’action et la zénitude. Une belle découverte.
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Sertis par l’élan pétillant et la joliesse mélodique du Broughton de l’ère Amblin, le cœur du récit s’assombrit, s’épure et se pare de vocalisations plus japonaises liées au récit (point d’orgue : Nagasaki). Un score orchestral fin et généreux, tout en humanité, pour ce Robinson Crusoé écolo.
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Trop rare, comme de nombreux noms révélés par le label MovieScore Media, le talent de Stuart Hancock a ici l’opportunité de briller de mille feux. Trame riche en émotions rendues accessibles et fortes par une écriture limpide, luxuriante et un rendu sonore naturel, évoquant la crème des années 80 et 90. Joie !
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Voilà un nom qui mériterait plus de lumière. Hancock m’avait déjà ravi les oreilles avec son Hawk il y a longtemps. Malheureusement, sa discographie n’est pas pléthorique, mais les envolées broughtonesques de ce Kensuke devraient obliger les labels à se pencher sur la question. Orchestral, vif et coloré, assurément un des meilleurs de cet UnderScorama.
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Animé européen qui brasse plusieurs genres. Le compositeur britannique illustre cette frénésie avec un travail soignée, mélodiquement très joli, où il n’hésite pas à utiliser chœurs et envolées orchestrales. Le résultat est très agréable à l’écoute.
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