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Alexandre Lessertisseur tient son Roi Oryx et fait le job, ni plus ni moins, avec les moyens à sa disposition, déployant avec un bonheur manifeste sonorités de percussions et de chœur. Le résultat est peut-être bien un peu « too much » par moment, mais peut-on réellement reprocher au compositeur d’insuffler son enthousiasme à l’entreprise ?
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Composée en 2019 pour un film d’animation chinois semblant loucher vers le Roi Lion, la musique de Lessertisseur est un petit moment de bonheur. Le compositeur français, qui a eu l’opportunité de pouvoir utiliser un vrai orchestre et des chœurs, s’en donne à cœur joie. Ce score me fait regretter que ses B.O. ne soient pas toujours aussi accrocheuses.
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« Toute ressemblance avec Le Roi Lion… » Ici, la copie chinoise ne se cache pas. Le produit musical n’est pas inutilisable pour autant, Alexandre tisse du LesserZimmeur mais pas que, la production fait son petit effet ici ou là (Oasis Ride)… Hélas, la finition « faux croco » prend le dessus.
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Je ne sais pas quoi en penser. D’un côté, on sent la maitrise dans l’écriture. De l’autre, quelques malheureux samples (ou passage dans un filtre zimmérien ?) de cuivres peu convaincants m’ont gâché l’expérience. Autre problème : je n’ai pas retenu la thématique. Dommage car il y a des idées d’orchestrations originales.
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J’avais bien aimé le récent Horla du compositeur. Ce score pour un dessin-animé chinois est intriguant pour son versant ethnique (on ne sait pas bien où on est. Afrique ? Asie ?) mais emporte l’adhésion pour le côté orchestral, enluminé de très jolis chœurs.
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