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Contribution composite qui permet à Jaouen d’insuffler à chaque séquence choisie une dynamique propre, tantôt harmonieuse, parfois malicieuse, tantôt âpre ou carrément agressive. Il peut pour cela se reposer sur une orchestration variée et quelques sonorités singulières (nickelharpa, hurdy-gurdy, rhombe, cornemuse irlandaise).
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J’ai beaucoup aimé le début, tout en cordes maltraitées, et les plages les plus vives, tel Mulotage. D’autres moments sont trop orientés à mon goût sur des bases rythmiques dominantes, à la manière de ce qu’on entend partout, mais en fait de renards, Jaouen me semble aussi talentueux que futé. J’attends la suite !
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Tirant parti d’une formation orchestrale relativement réduite, Jaouen montre un certain talent pour dépeindre un environnement glacial, dangereux mais fascinant, tout en essayant de rester dans une approche mélodique. Il tente beaucoup. Réussit souvent. Surtout par l’emploi d’une orchestration variée. Une bonne surprise.
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Julien Jaouen nous convie une nouvelle fois à une jolie balade dans la nature. Ce spécialiste des musiques de documentaires connait son affaire et sait créer une ambiance propice au dépaysement, même sans les images. Du beau boulot.
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