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Un genre de romantisme mélodique posé et introspectif pour piano et cordes, chaleureux mais ponctué d’accords en demi-teinte, d’évanescence électro et même d’un gentil thème sifflé : dans l’ensemble le résultat est sans surprise, typique d’Armstrong, mais adéquat dans l’évocation attendue des émotions du souvenir entre mélancolie, douleur et regret.
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Encore un album aux plages courtes. Un score plutôt joli et apaisant, avec de la tristesse tout plein, qui s’écoute gentiment. Hélas, c’est aussi plutôt passe-partout et je crois bien l’avoir oublié à peine la dernière plage terminée. Cela dit, ça reste bien meilleur qu’un paquet de scores dont on se souvient juste pour leur grande nullité. C’est déjà ça…
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D’abord en mode Thomas Newman (longueurs harmoniques, piano vaporeux), on s’inquiète. Très vite, on se rassure et on retrouve la patte Armstrong faite de thèmes pénétrants voire poignants (même si, ici, le compositeur n’a pas eu beaucoup de latitude pour les développer). Pas indispensable mais agréable.
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Jolie partition, bien dans le style de Craig Armstrong, belle mélodie et piano. C’est cependant très répétitif, il n’y a en tout qu’une poignée de thèmes.
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