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A l’évidence plus à son aise pour manier la référence ouverte à Alien que celle, plus liberticide, à The Omen (Deadly Blessing), l’apprenti Horner signait à l’époque une partition à effets suffisamment incisive, resserrant ses orchestrations autour des cordes et des percussions tout en apportant un joli relief avec des traits bien sentis des bois.
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Autre travail de jeunesse d’un Horner plein de fougue. Autant les emprunts dans Deadly Blessing m’avaient parfois ennuyé, autant ici ils ne m’ont pas gêné alors qu’ils sont aussi nombreux et évidents… Peut-être le côté film de monstre craspec en pleine crise hormonale qui a joué ? J’y replonge !
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Encore une nouvelle réédition qui capitalise sur le nom du défunt. Intrada nous promet qu’il s’agit du score complet (41 minutes) et on veut y croire, surtout que le travail de Horner est vraiment intéressant, sans être un chef-d’œuvre, ces poissomes, ou hommsons, fornicateurs lui ont inspiré un attachant score de film d’horreur.
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Oubliez Jaws et Alien, les Monstres de la Mer débarquent et ils sont en chaleur ! Un pied encore dans les seventies (cf. Killer Bees : orchestre réduit, effets récurrents – dont les échos de Psycho), Horner cite ses usual suspects mais son talent s’exprime tout autant. Peu mémorable en tant qu’ensemble, le résultat n’en est pas moins riche dans le détail.
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L’un des tous premiers scores de Horner, encore sous (forte) influence de Goldsmith et des compositeurs contemporains dits d’avant-garde. Mais la partition est fascinante a plus d’un titre (surtout si on la rapporte à ce film fauché mais sincère) en ce qu’elle essaime les graines d’un style qui deviendra unique et identifiable entre mille.
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J’ai presque envie de reprendre mon avis pour Deadly Blessing, en inversant Carrie avec Psycho. On sent le futur maestro, mais là il fait surtout ce qu’on lui demande de faire, avec peu de moyen. Pour les complétistes. Superbe pochette.
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