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Sans doute freiné par le manque d’ambition de cet opus, Giacchino se contente d’assurer le show au travers de nombreuses séquences de suspense et d’action plutôt robustes et engageantes incorporant un peu de folklore méditerranéen et de rythmiques électro (lesquelles renvoient parfois curieusement aux Avengers de McNeely). Convenable.
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On a connu Micky (comme le surnomme forcément quelqu’un !) plus inspiré. Et pourtant, il l’a assurément été plus que les scénaristes et c’est déjà ça ! Un score bien agréable, même si ça reste en deçà de ses B.O. pour les deux films précédents. C’est carré, efficace et bien foutu, mais pas vraiment mémorable. Bref, tout de même une légère déception.
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Ne détrône pas Fallen Kingdom mais prend aisément la seconde place du podium musical de cette trilogie : énergie communicative, souci de la narration et de l’impact dramatique (sans se prendre au sérieux), déploiement d’orchestrations à la fois attendues, divertissantes et évocatrices… Le pied malgré la durée excessive (1h45) !
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La recette ne change pas, mécanique mais efficace. On retrouve les thèmes que Giacchino a élaborés pour ses précédents opus, de nouveaux thèmes et motifs et, bien sûr, des morceaux d’action bien trempés (avec une orchestration quelque peu inédite) pour aboutir à un End Title, comme souvent chez le compositeur, assez formidable.
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Giarassic Park, Dinos fatigués, 1/3. Premier titre du trio Giacchino de ce mois, cette
« domination » n’en est pas une. À l’instar d’un film proche du monstre de Frankenstein, la mécanique est usée, le travail thématique faible, et l’injection d’instruments modernes n’y change rien. Ça reste honnête, mais ennuyeux.
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