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En ce milieu des années 80, permettre à de jeunes américains de mettre cap sur les étoiles était déjà une simple formalité pour Williams. Même si le film ne se prête en rien à la puissance émotionnelle dont le musicien a déjà fait montre à l’époque, la thématique attachante et cette écriture orchestrale lumineuse dont il a le secret font merveille.
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Parfaite illustration de la galaxie qui sépare parfois la qualité d’un film de la musique qui l’accompagne. Sachant que de la cote d’amour du premier dépend la postérité de la seconde. L’ineptie de SpaceCamp aura fait oublier que sa musique est un joyau, dans le droit fil des films des années 80, au premier rang desquels E.T.
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Un premier CD en 2010. Une réédition en 2014. Et maintenant une édition étendue en 2022. Intrada aime vraiment ce score et il faut croire que les béophiles aussi. Williams, avec son sérieux et sa grande expérience, met ce Cap sur les Étoiles en orbite. Ce n’est certes pas l’acmé de sa carrière, mais j’y retrouve le style Williams que j’aime tant.
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L’une des dernières partitions du maître dans son style flamboyant des 80’s. Le thème principal est un pur joyau ! Il devrait être inclus plus souvent en concert. J’aime même la version Training Montage si conspuée. Les quelques minutes inédites de cette réédition n’intéresseront que les fans hardis, l’album d’origine est déjà tout à fait satisfaisant.
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Le John Williams des années 80, au final, malgré des classiques dans toutes les époques, est sans doute celui que je préfère pour tout un tas de raison et probablement un peu de nostalgie. Nostalgie de la thématique lyrique, de la musique symphonique ample et généreuse qui vous met, en quelques mesures, la tête dans les étoiles.
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Ados, espace, lift-off ! Maestro de l’esprit pionnier américain, Williams fait la navette entre le film (médiocre avant d’être meurtri par le drame de Challenger) et notre aspiration à l’aventure. D’un training pop désuet à une mise en orbite lyrique, on sait où il est à l’aise. Il ne retient pas ses notes, compilées ici au complet dans un écrin stellaire.
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Nouvelle mouture avec du rab. Le thème est absolument délicieux, le reste est lui aussi délectable. Tout semble merveilleux, en apesanteur, même si, peut-être, certaines choses vieillissent moins bien. Il faut dire que le Training Montage était déjà daté à l’époque. Indispensable pour qui n’a pas déjà une version.
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