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Refonte significative d’un Concerto qui, de l’énergie du premier mouvement au lyrisme du quatrième, est taillé sur mesure pour les immenses et multiples qualités expressives de Yo-Yo Ma. L’autre attrait principal de ce disque est le subtil et dense Highwood’s Ghost, pour harpe, violoncelle et orchestre, composé en hommage à Leonard Bernstein.
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Chaque mois voit sa nouveauté Williams, qui nous rappelle ici qu’il a un sacré carnet d’adresse et compose aussi de la musique chiante. Sans rire, peu de chance que quelque chose comme le Cello Concerto ait croisé ma route sous une autre signature. Quand à Schindler’s List, la surexploitation de cette musique me met même mal à l’aise.
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Quand vous rencontrez des amis, vous allez au ciné, au bistrot, au karaoké, voire dans un club libertin ! Williams, lui, en fait carrément un nouvel album. Au menu : œuvres de concert et musiques de films revisitées par Williams, avec notamment Yo-Yo, qui fait des allers-retours auprès du maître depuis des décennies. Un bel exercice pour un bel album !
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La grande classe. La pièce principale, le Concerto pour violoncelle, conjugue de manière magnifique les penchants mélodiques et expérimentaux de Williams. Les pièces issues des films sont également de belles relectures (comment y restera insensible ?) mais la pépite cachée est le mystérieux Highwood’s Ghost.
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JW, Ma, NY. Les Super Friends campent avec un Schindler’s List plus doux qu’au violon, un Munich habité par la guitare, croisent un fantôme au crépuscule et révisent leur Concerto. Loin des grandes mélodies, Williams est un rêveur optimiste mais inquiet. Même insensible à son écriture plus abstraite, le son sublime de l’album suffit à envoûter.
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Quand John Williams (aka Dieu) invite ses potes pour un « bœuf », ça donne ça. On se tait et on écoute la musique céleste. Le Cello Concerto, une version de Schindler’s List déchirante, et autres petites pépites pour s’envoler au paradis.
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