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Très beau cadeau que cette édition tardive d’un score de Barry dominé par la mélancolie, malgré son ancrage dans l’espionnage. Le thème exerce un charme profond et prégnant comme seul Barry savait en tisser, et ses nombreuses déclinaisons ne font que le renforcer. Et les chansons, autre domaine dans lequel il était orfèvre, sont superbes.
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L’éditeur frappe fort en proposant enfin cette partition absente des étagères des fans du compositeur. Avec ce mélodrame d’espionnage, qui lui a inspiré un thème de toute beauté, Barry met la romance au cœur de ce score, assez court, sans oublier pour autant l’aspect espionnage. L’album offre aussi son lot d’alternates et de source music.
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Ah, le dilemme Barry. La qualité indéniable des thèmes (ils sont superbes ici, genre exotisme dépressif) n’empêche pas une certaine léthargie de s’installer à force de répétition… Heureusement, cela s’arrange en modifiant le séquençage. Avertissement : qualité sonore variable.
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Barry fait du Barry probablement parce qu’on lui a demandé de traiter ce film d’espionnage à la façon d’un « Bond romantique. » Le hic c’est que ce n’est quand même pas très inspiré. Il faut dire que le film, d’un ennui mortel, n’aide pas. Donc, comme d’habitude avec Barry, le thème est joli mais c’est service minimum.
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Le premier Top Secret, en beaucoup moins marrant… Blake Edwards est cette fois accompagné par John Barry en mode espionnage pour une partition classe, rehaussée par deux chansons jazz délicieuses. Moins définitif dans le genre que d’autres partitions du compositeur anglais, mais tellement agréable.
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Un Barry inédit pour un film de Blake Edwards, ça ne se refuse pas, surtout que le compositeur offrait une palette fabuleuse, des influences russes pour le personnage d’Omar Sharif aux multiples musiques de source. Toutefois, les variations sonores d’une piste à l’autre, reflet des différents masters utilisés, peuvent altérer le confort d’écoute.
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