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Le meilleur score de la période Eisner, à l’image d’un film aussi incroyablement excessif : on n’oubliera pas les affres d’un Frollo torturé par le désir, littéralement en feu. L’écrin proposé ici est magnifique, et redonne sa dimension dramatique au score, et remettant chanson et score dans leur chronologie. Grandiloquent mais grandiose.
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Cette superbe collection revient en fanfare, avec rien de moins que le sommet de la collaboration entre Alan Menken et Stephen Schwartz. Il semble hélas que cette nouvelle présentation ne soit pas parfaite et c’est bien dommage. Quant aux bonus, ils sont sympa… une fois. Pas plus. Ces défauts font perdre un point à cet album.
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Je dois le confesser, j’avais raté le film, sorti lors de ma crise « animés japonais ». Quelle claque ! Le score est un délice, rendant, je pense, hommage à l’âge d’or hollywoodien, boostés par une passion dramatique très hornerienne. Et les chansons sont superbement intégrées à l’ensemble.
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Hugo disait « les modes ont fait plus de mal que les révolutions. » Si le score de Menken ne révolutionne rien, il a été écrit dans un temps passé de mode depuis longtemps. Un temps où le fond autant que la forme, où les mélodies, tissées de sublimes orchestrations, emportaient le cœur et l’esprit de l’amoureux de musique.
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Un pur joyau gothique de la musique de film, et mon préféré pour un Disney. Cette VO permet aussi de mesurer le formidable travail d’adaptation en français (Jean Piat est carrément meilleur que Tony Jay). Tout est formidable, chansons comme musique, mais un séquençage un peu zarbi empêche les 5 étoiles.
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Un chef-d’œuvre inégalé grâce à la puissance grandiose de la musique d’Alan Menken au firmament de son art. L’original reste indispensable car cette réédition, en dépit de morceaux inédits, est saccagée par un final amputé de sa partie la plus dramatique : la mort de Frollo. Une aberration impardonnable qui motive la note attribuée ici.
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