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J’attendais un Newton Howard en feu, se rinçant à la gourde de The Rock, et envoyant dans la foulée son orchestre sillonner les rivières d’une jungle impénétrable, la sagaie entre les dents. Las ! Le score a de l’épaisseur, mais manque de thèmes accrocheurs, et gigote aux limites du mickey mousing. Déception.
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Le film est une daube aussi balisée, mais sûrement moins passionnante, que l’attraction dont elle est inspirée. Heureusement, la Souris Vorace a eu la bonne idée d’engager JNH, qui nous offre une musique orchestrale à l’ancienne, virevoltante, puissante, mystérieuse et généreuse. Finalement, ce score est la seule réussite de cette Jungle Bouse.
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Disney nous refait le coup de faire un film d’une attraction de ses parcs. JNH, en vieux loup de mer du scoring à l’ancienne, nous embarque à bord de son rafiot un peu mou du genou (prise de son parfois lointaine et molle) où les cuivres sonnent bien patauds. Dommage car il y a de bonnes idées et un thème sympa.
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James Newton Howard sort le grand jeu avec ce film et retrouve les sommets de Fantastic Beasts (surtout le premier) en dépit de passages d’action trop génériques. La présence des chouettes morceaux de Metallica constitue un atout évident et nous fait d’autant plus regretter l’absence d’un pressage CD.
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Un JNH en grande forme ! Le compositeur s’amuse visiblement, et ça transfigure certains passages d’un film limite irregardable. On pense à Dinosaur, à son travail pour les deux animés de Disney, et clairement à Lady In The Water et The Last Airbender pour le climax. Plus un sublime arrangement de Nothing Else Matters de Metallica.
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