|
Comme Zimmer, JC a toujours voulu être un rocker, comme l’ont prouvé ses récents albums et concerts. Ghosts Of Mars constituait pour lui l’occasion idéale de s’entourer de pointures et d’envoyer du gros son bien vénère, renforçant ainsi l’énergie badass du film. Pas pour toutes les oreilles, mais si vous aimez le métal, laissez-vous tenter !
|
|
Bien entendu ça n’a plus grand chose à voir avec les bandes-son cultes d’un Escape From New York, d’un Fog ou d’un Halloween, voyez le genre… Mais j’ai toujours eu un petit faible pour ce bricolage entre amis d’ambiances synthético-métalleuses plus ou moins science-fictionnelles qui contribuent au cachet franchement badass du film.
|
|
Un score qui s’essuie les pieds sur ta gueule sans s’excuser, les semelles cloutées pleines de riffs gras et de claquements de batterie étalés sur toute la pointure. Sans doute la B.O. la plus purement heavy de toute l’histoire du cinéma, Big John laissant tranquillement bosser Anthrax. Une affaire de goût à l’appréciation toute subjective…
|
|
Ce film était peut-être le début de la fin pour Carpenter : la rythmique rentre-dedans du thème principal et la badasserie rock ‘n roll de l’ensemble ne parviennent toujours pas à compenser le côté un peu vain de l’entreprise (le manque de structure et le talent des guitaristes sous exploité – Steve Vai quoi, merde alors !).
|
|
Allergique aux solos de guitare ? Passez votre chemin ! Pour son avant-dernier film, Big John se fait plaisir, invitant le groupe Anthrax et les guitaristes Steve Vai et Buckethead. Il s’amuse comme un gamin en concoctant un score métal énervé, plus concerné par le rythme et l’action que l’ambiance. On est loin de Prince Of Darkness mais ça réveille !
|