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Plus japonisante encore que la partition du premier opus (les percussions exotiques y sont particulièrement bien représentées), plus sautillante aussi, la musique de Leon Ko s’écoute avec un sourire non feint, malgré les moyens parfois insuffisant dont dispose le compositeur (pas de samples dès qu’on aborde les passages orchestraux plus massifs).
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Dans la lignée du premier opus, Leon Ko divertit son monde avec son drôle de mélange, ses petites ritournelles, son instrumentarium guilleret, rappelant parfois un Pee Wee d’Elfman. Le côté un peu foufou de l’ensemble est donc réjouissant, même si les moyens limités (le rapport samples et acoustique n’est pas toujours équilibré) agacent parfois.
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J’ai envie de copier/coller la notule de Monster Hunt : enthousiasme communicatif des mélodies et des couleurs invoquées, à la fois touchantes et rigolardes, mais handicapé par des moyens restreints (l’orchestre samplé, ouïe) et des arrangements un peu vides par moments. Malgré tout, le divertissement promis est bien là.
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Voilà une musique qui arbore tous les clichés sonores de l’Asie. Bon, en même temps, c’est un film en costumes avec de la magie et de l’humour asiatique. Tout est donc à l’avenant. Bien sûr, ce n’est pas désagréable, mais on n’en retient hélas pas grand-chose au final.
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