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L’un des fleurons les plus aboutis de la collaboration Spielberg/Williams. Au-delà des cinq notes emblématiques qui ont assuré à cette partition une postérité largement méritée, il y a aussi une multitude de merveilles à découvrir dans cette musique à la fois accessible et exigeante, et cette intégrale nous propose près de 2h30 de ravissement ininterrompu.
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Des dissonances organiques et chœur ligétiens au splendide émerveillement final, sans compter ces cinq notes passées dans la culture populaire, CE3K est peut-être le plus ambitieux des chefs-d’œuvre de Williams pour Spielberg. Ce qui est sûr, c’est que cette nouvelle présentation est à l’image de la partition : monumentale !
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Mon avis, sur un tel classique, a-t-il la moindre importance ? On se contentera de se réjouir qu’il existe encore des labels pour faire vivre sur disque le grand patrimoine de la musique de film, dont cette merveille de Williams, composée pour un film dans lequel l’émotion musicale est au cœur du dispositif narratif, est un des joyaux indiscutable.
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« Dites, z’auriez pas un bon gros Williams incontournable siouplé ?
– Ah si ! Z’allez voir, il est un peu cher mais il est gouleyant !
– Bon bah… vous mettrez ça sur mon ardoise. »
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Difficile de balancer seulement quelques mots sur une telle réédition étendue d’un classique de Williams. On n’est pas sur un Star Wars, ici il faut prendre le temps d’écouter toutes les subtilités dont fait preuve le compositeur, jusqu’à son apothéose musicale inoubliable.
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3e type, 3e film avec Spielberg, 3e chef-d’œuvre ! Après E.T., la restauration sonore est encore une fois exemplaire ici. Un délice à écouter qui peux justifier l’achat par rapport à l’édition (déjà très généreuse et de haute qualité) de 1998. Un conte fantastique raconté par la musique d’un ensorcelant conteur d’histoires… Irrésistible.
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Savant mélange de musique tonale et atonale, la partition de Williams est un pur chef d’œuvre. Si la remasterisation me parait discutable au niveau de la dynamique, elle nettoie est en tout cas toutes les petites scories. La-La Land poursuit sa collaboration avec Williams de fort belle manière. Gageons que cela n’est que le début !
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