|
À une approche orchestrale très traditionnelle, Kallis ajoute un peu d’exotisme par le biais d’occasionnelles vocalises indiennes. Douce et souvent nostalgique, sa musique s’autorise parfois quelques jolies envolées sans jamais perdre sa légèreté, mais aussi une forme de distance qui n’aide pas vraiment l’auditeur à s’impliquer dans son écoute.
|
|
Musique mélodramatique où l’orchestre est tout juste teinté de quelques sonorités d’instruments indiens : comme souvent chez George Kallis, les mélodies flattent l’oreille, et c’est à la fois très bien fait, très agréable et confortable. Mais y reviendra-t-on ultérieurement ?
|
|
Une heure de trémolos d’archers, de montées de cordes, d’adagio livrés avec la boîte de kleenex, et de vocalises orientale chevrotantes. Kallis ne nous lâche jamais le palpitant en étant persuadé de livrer son Schindler’s List.
|
|
C’est un bien bel album d’images que nous sommes invités à consulter, brassant avec ampleur et application (et non sans un certain manque de fantaisie) les genres, les cultures et les émotions. Même si l’on n’est pas bousculé outre mesure, le voyage est loin d’être désagréable.
|
|
Pour cette fresque historique, Kallis se tourne d’abord vers l’intimité et les états d’âmes des personnages puis les lie à l’ampleur des événements. Thèmes frêles, orchestrations délicates (harpe, violon, piano) dominent l’album. Les éléments orientaux sont extrêmement discrets et le style est essentiellement occidental.
|