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Du jazz, et rien d’autre. Un jazz brouillant habilement la frontière entre source music et accompagnement narratif. Un jazz sensuel, entrainant, stylé, lumineux. Un jazz signé d’un des grands noms du genre, dont c’est peut-être, côté Hollywood, la composition la plus aboutie. Un jazz présenté ici par Intrada dans une restauration sonore impeccable.
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Du jazz, et quel jazz, superbement séducteur ! On ne saurait trop vanter les mérites de ce musicien par trop méconnu qu’est Hopkins. Reste que si cette nouvelle présentation made in Intrada est impeccable avec sa trentaine de minutes inédites, l’album est déjà disponible avec une qualité sonore comparable pour une somme modique.
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Intrada nous propose ici l’une des compositions les plus sympathiques du mésestimé Kenyon Hopkins, dont les notes jazzy vous feront claquer des doigts, mettre un marcel et garder une clope au coin du bec.
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Difficile de résister à un jazz aussi alangui, feutré, cuivré, flegmatique, enveloppant comme un drap satiné ou des volutes de fumée. Le programme principal de 31 minutes alterne morceaux big band et passages dramatiques, mais les deux univers se mélangent avidement. À savourer comme un vieil alcool.
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