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Côté pile, une poignée de pièces instrumentales aux accents dramatiques pour petit ensemble de cordes superbement arrangées. Côté face, un jazz sensuel et lumineux dont la trompette n’est pas sans rappeler celle de Terence Blanchard. Au final, malgré sa courte durée, I Am Not Your Negro nous offre une musique documentaire de qualité.
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Quelques pièces d’ambiance intimiste pour piano et cordes, mais ce sont bien les morceaux jazz que le compositeur interprète avec son groupe le 4’33 qui interpellent l’oreille, même s’ils évoquent assez explicitement Miles Davis lorsque la trompette soliste s’impose, ou ailleurs les musiques de Terence Blanchard pour le cinéma de Spike Lee.
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En voilà un score que je n’attendais pas et qui m’a soufflé à la tronche tout en me faisant chuter d’une falaise. Entre les compos orchestrales incroyables et le jazz lancinant, votre cœur aura de quoi rester au chaud pour un moment.
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Docu sur le racisme aux USA où la musique prend des allures de polar avec jazz nocturne mystérieux, passages dramatiques aux cordes aiguisées, piano mélancolique… Une atmosphère souvent songeuse, aux contours évasifs, rappelée parfois abruptement à la dure réalité. Un album bref (25 minutes) mais intense et prenant.
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Parfois, en ouvrant une huitre, on tombe sur une petite perle. Accrocheuse, originale et inventive dans son orchestration mais aussi plus classique parfois, la musique d’Alexeï Aigui est très bien écrite. Empreinte d’un lyrisme sombre, elle est souvent émouvante. Petit bémol : dommage que la plupart des morceaux soient si courts.
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