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Un album dédié à tous ceux qui osent défier les lois de la gravité pour s’envoler vers l’aventure : superbes thèmes, élans lyriques, voix aériennes, usage subtil et discret de l’électronique… L’émotion, présente presque à chaque piste, achève d’en faire une épitaphe bien plus satisfaisante que Collage ou The Magnificent Seven. Adieu, James…
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La patte est là, sans surprise quant aux figures employées, les références étant légion : un Horner pur jus donc, mais fort entreprenant néanmoins, avec ce sentiment plein et entier que le compositeur, ô ironie, maîtrisait là parfaitement son sujet. Une parution tardive, mais la plus émouvante sans doute depuis la tragique disparition du compositeur.
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Intéressant d’écouter Horner sauter à pieds joints dans le cliché musical du documentaire, tout en accouchant d’un thème « un tout petit peu » inspiré par Avatar. Mais au final, la sauce prend et c’est une fois de plus un très chouette opus post-mortem qu’il nous offre.
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Malgré l’aspect world music banal et quelques concessions à des styles musicaux à la mode, l’album propose un plaisir d’écoute constant, une sorte de petite symphonie électro-pop. Les thèmes exaltants, les orchestrations variées, permettent de maintenir l’énergie. Certaines envolées rappellent même la fougue d’un certain Basil…
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Inspiré comme jamais par ce documentaire sur un sujet qui lui était cher, Horner nous gratifie de ces mélodies dont il avait le secret. C’est frais, aérien en diable et largement orchestral (même si Horner a également recours aux synthés façon Avatar).
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