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Une véritable corne d’abondance musicale, débordant de thèmes tous aussi chouettes les uns que les autres, arrangés avec un soin maniaque par un Wallfisch qui pastiche avec bonheur Williams, Powell et JNH et convoque un souffle d’aventure vivifiant au dynamisme enchanteur. Oui, le film a l’air moche, mais on s’en fout !  |
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Une partition pleine d’entrain qui a pour elle de faire sonner l’orchestre de fort belle manière, avec des « tics » rythmiques très williamsiens par moment. Franchement agréable donc, même s’il est dommage qu’elle manque d’une vraie personnalité, avec un thème principal à la croisée de ceux du Cosmos de Silvestri et du Seaquest de Debney.  |
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Un petit joyau de la part de Benjamin Wallfisch. Tout à tour prenant, héroïque et touchant, ce Gamba qui n’avait l’air de rien se retrouve dans le haut du panier (de crevettes). Une véritable aventure orchestrale, qui n’a pas besoin de mots pour qu’on la comprenne, qui s’amuse avec ses thèmes et les fait évoluer pour notre plus grand plaisir.  |
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Wallfisch, le retour ! Et il se prend pour Debney (celui à qui on pardonne volontiers les emprunts divers). Partition symphonique foisonnante, chatoyante, on est vite emporté par ces aventures colorées. On y repère Williams, Goldsmith, Silvestri, Powell, Beltrami… et même Rozsa ! Mais quelle pêche !  |