|
Un thème délicat et lumineux, nourri d‘une sensibilité à fleur de peau, sert de colonne vertébrale à cette belle partition intimiste qui concilie le cérébral et l’émotionnel avec une grâce qui n’appartient qu’à Monsieur Rombi. |
|
En un thème mélodique à la belle simplicité et d’élégantes ponctuations du piano, de la harpe, et du glockenspiel sur fond de cordes et bois plus ou moins inquiets, le compositeur traite avec une infinie subtilité un sujet périlleux. |
|
Décidément, mon amour pour Rombi ne faillit pas. Ce thème me donne envie de m’enrouler dans ma couette comme un maki. Et boum, la suite me remplit d’effroi, joue avec nos nerfs, pour nous remettre le thème dans la tronche. |
|
Il n’y a que Rombi pour s’approcher de l’intime avec autant de tact. Sa sincérité émotionnelle est évidente, y compris quand il s’agit de laisser le fantastique s’immiscer dans le récit. |
|
Donnez-moi un R, un O, un M, un B et un I ! Donnez- moi un ROMBI ! Encore un très beau coup d’éclat du compositeur. Le thème est à tomber par terre, le reste est d’un très bon niveau. Ça fait plaisir à entendre dans nos vertes contrées. |
|
Les bébés vous angoissent ? Ricky est fait pour vous : une rêverie névrosée à base de piano, cordes et clochettes. Triste, joli et très inquiétant. Mais un poil sage aussi. Un grain de folie en plus et j’étais atteint. |
|
Première édition physique, puisque disponible uniquement en téléchargement au moment de la sortie du film, en 2009. Justice est donc rendue au très beau score de Rombi. En bonus inédit, la chanson de Cat Power du générique de fin. |