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Probablement le score le moins intéressant de la (jeune) carrière de Nounours : des plages percussives à peu près aussi inventives que du Serra, c’est dire si on s’ennuie ferme. Fort heureusement, Bear va certainement se rattraper le mois prochain avec Outlander ! |
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Le genre d’approche moderne pour thriller sexy dont on attend qu’elle soit avant tout fun mais qui ne parvient qu’à agacer à chaque séquence ou presque. Non merci, Bear… |
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McCreary se repose sur ses lauriers de taiko et nous ennuie a mourir. Un peu de tout ce qu’il a fait jusqu’à maintenant sans le sel qui lui donnait son capital sympathie. Il atteint malheureusement le fond, là… Bear, réveille-toi ! |
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Dans les trucs « à pas cher », McCreary s’en sort habituellement bien, mais là, faut avouer que ce n’est pas folichon… Beaucoup de bruit de percussions pour rien. |
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Bon, Bear, c’est de moins en moins ma came à fur et à mesure que les CD s’empilent. Je ne sais même plus quoi dire sur ce mélange synthétique traversé de rythmiques orientales. Méga bof. |
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L’équivalent musical de la morue aux fraises et à la chantilly-mayo. Dub-step, chants de Noël revisités, bips d’électro-cardiogramme et triple ration de taiko. Ça a l’air dégueu ? Mais j’veux bien du rab ! |
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Des percussions live, beaucoup d’électronique, des reprises de chants de Noël … McCreary nous invite à entrer dans cet univers très disparate tantôt par les chansons tantôt par un underscore qui peut s’avérer aussi furieux que niais. Une curiosité. |