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Shore revient, une dernière fois, en Terre du Milieu, et il est bien difficile de ne pas succomber, lorsqu’il charge en mode guerrier à grands renforts cuivrés, ou pris d’une émotion simple au détour d’un thème familier. Et dire qu’à Noël prochain, pas de Hobbit dans nos salles de cinéma. Triste…  |
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Troisième et dernier vaste mouvement d’une partition orchestrale dense et foisonnante où les innombrables éléments thématiques sont poussés dans leurs ultimes retranchements. Une dernière fois, on applaudit bien fort.  |
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Shore clôt son voyage en Terre du Milieu en fanfare et aligne les morceaux de bravoure guerriers avec une rage soutenue, frisant, au bout de deux CD, l’indigestion. Déjà un incontournable pour ceux qui ne jurent que par le symphonique épique.  |
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Shore nous fait de nouveau passer par toutes les émotions de sa palette, jouant parfois avec les thèmes. Il ne s’agit pas du meilleur opus, mais la qualité d’écriture est indéniable.  |
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Ce n’est pas vraiment facile d’apprécier la partition avec cette édition à la fois étendue et tronquée. En tout cas, une fois cette trilogie terminée, c’est encore et toujours The Lord Of The Rings qui reste définitivement en mémoire.  |
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Beaucoup plus sauvage que le précédent opus, en même temps vu le titre, c’était prévisible. Shore conclut sa trilogie avec panache, même si on aurait bien repris quelques claques comme c’était le cas pour The Desolation Of Smaug.  |
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Shore conclut son Hobbit de bien belle manière, offrant le score de la trilogie le plus énergique et le plus proche de la saga The Lord Of the Rings. Les morceaux s’enchaînent impeccablement là où les deux premiers opus patinaient parfois davantage.  |