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Jablonsky oublie, à tort, le chouette thème qui faisait la différence pour ses précédents scores pour la saga de Michael Bay, et tombe bien vite dans le fonctionnel ultra-basique, professionnel et fort bien produit, mais sans âme ni la moindre étincelle de personnalité. |
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Si quelques séquences parviennent bien péniblement à accrocher l’oreille, Jablonsky livre surtout le mélange habituel de poncifs, appuyant tant qu’il peut pour couvrir les effets sonores. Franchement, vous vous attendiez à mieux ? |
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Les films se ressemblent autant que leur musique. Qu’ajouter, donc ? Rien. Exactement ce que fait Jablonsky, d’ailleurs. |
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Bon bah voilà : « kikûkokach » (bruit du transformer, copyright myself, merci). Le gros problème, c’est qu’à part avoir les oreilles qui saignent au bout d’un moment, y a rien d’autre. |
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‘Tain, j’ai failli chialer tellement c’est beau. Nan, j’rigole. |
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Même l’été, on n’est pas épargnés par ces scores moisis, plein d’effets à la con, genre « Tron Mes Couilles » avec du woob woob dedans. Du calibré sur mesure qui ne mérite même pas qu’on s’y intéresse. |