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Le quasi-chant du cygne de Goldsmith offrait de beaux restes, et malgré une intégrale un peu longue, l’énergie rageuse des séquences d’action vaut à elle seule l’achat d’un album à l’écoute beaucoup plus harmonieuse que l’édition de 2002. |
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Un Star Trek moins rutilant, plus atmosphérique qu’à l’accoutumée, ça ne plaira forcément pas à tout le monde, même si la patte unique de Goldsmith ménage de beaux élans. Cette édition offre une écoute plus cohérente que la précédente. |
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L’orchestre est ici appuyé par une électronique qu’on jugera joliment désuète ou bien ringarde. Mais le score a la beauté des derniers tours de piste, fatigué mais brillant d’une lumière d’autant plus précieuse qu’elle s’éteint sous nos yeux. |
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Cette version allongée d’un score de thriller science-feuilletonnesque inabouti est largement dispensable, mais vous êtes libre de craquer comme n’importe quel Trekker fans de Goldsmith ! |
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Un score moyen de Goldsmith (en fait un score plutôt bon) qui se laisse découvrir petit à petit à chaque écoute. Et si la première est malheureusement décevante, il ne faut pas hésiter à dépasser cette (mauvaise) impression. |
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En jouant la carte du toujours plus (d’action, de suspense, de mystère), cet expanded du plus faible opus trekkien de Jerry fait figure d’opération de la dernière chance. En vain : c’est à peine si la sauce est relevée. |
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Sans doute le Star Trek le plus mal aimé. Cette réédition, même considérablement mieux construite et fidèle, ne révolutionnera pas la perception globale de ce score. La faute au film le plus mauvais de la saga. |