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Au-delà de la fameuse fanfare, devenue depuis l’étendard de la franchise, et de ses développements cuivrés, le reste est gentiment anecdotique. Heureusement que La-La Land n’a pas poussé le zèle jusqu’à éditer l’intégrale des sept films : on n’y aurait pas survécu… |
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On retiendra avant tout un dernier acte tourné vers une action décomplexée à la Bill Conti car, toute sympathique qu’elle soit à première vue, l’omniprésente (et célèbre) marche apparaît très vite particulièrement lassante. |
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La fanfare-titre du score retient autant l’attention que tout le reste, qui s’avère par ailleurs presque anecdotique. Alors si sympathique et entraînante soit-elle, cela reste un peu maigre pour justifier pleinement ce retour aux 80’s. |
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Allez la bleusaille, tous en rang. Vous ne savez pas quoi penser de la musique de Folk ? De l’orchestral bien branlé avec un thème bien gaulé pour un film complètement débile. Allez, 200 pompes pour la peine ! |
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A califourchon entre le premier degré ironique popularisé par son époque et la jubilation funky des seventies, l’hymne des pieds nickelés de la maison poulaga n’a pas pris une ride. |
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Passée la fameuse fanfare, qui sert de thème principal au film puis à ses suites, Folk décline ad nauseam son morceau-titre, parfois avec des accents pop. Reste un joli thème d’amour et quelques soubresauts d’action vers la fin. |