bien vu, c'est un Touchstone.

Starfe a écrit :(...) certains pensent aussi à Deceived de Thomas Newman (1991) si on ne tient pas compte de sa présence dans un des volumes consacrés à Amazing Stories.

Ah oui, Trahie (en vf) avec Goldie Hawn dans un registre sérieux... Et pourquoi pas ?

Lee Van Cleef a écrit :En tout cas, chez Intrada, on sait trouver les formules adéquates pour faire monter la sauce. [...] Pourvu que cette encourageante accroche ne dissimule aucun attrape-nigaud !

Stringer Bell a écrit :Là ils chassent directement sur les terres de Varèse.

CQFD

Mais à part ça, c'est commandé
Un forumeur du site Intrada a fait remarquer qu'au-delà du morceau supplémentaire, les durées des pistes sur le CD sont différentes de la version DL.

Greg a écrit :Si seulement ce pouvait être Falling Down de James Newton Howard...
Je m'adresse aux gens bien renseignés (dont je ne fais pas partie) : pensez-vous qu'il y ait une chance ?...
Après tout, Falling Down est bien un thriller du début des 90's, et JNH n'a jamais été édité par Intrada...

Je ne suis pas plus renseigné que toi mais je pense qu'il y a une chance pour que ce soit Falling Down tout comme ça peut être du même JNH, The Flatiners.
En tous cas ces 2 scores (formidables au demeurant) remplissent les conditions (après il faut juste savoir si Flatiners est considéré comme un Thriller)
Il y a aussi le NEWMAM que je ne connais pas du tout.

Edern a écrit :Un forumeur du site Intrada a fait remarquer qu'au-delà du morceau supplémentaire, les durées des pistes sur le CD sont différentes de la version DL.

Oui effectivement, sauf si il y a erreur, la version Intrada dure 12 minutes de plus que la version digitale alors que le morceau supplémentaire ne dure que 2:38.
Soit il y a une erreur sur Amazon soit les morceaux sont plus longs sur la version Intrada.

Fred a écrit :Pour la prochaine sortie prévue le 17 avril, indice :

One Special Collection release next week featuring a premiere release of an early 90s thriller. Oddly this is the first full album we've done by this composer

Ce qui veut peut-être dire qu'il a déjà été édité sur le label mais pas pour un score entier, comme Thomas Newman en effet, et donc Deceived ça se tient. L'ennui, c'est que dans mon souvenir, c'est pas renversant.

Un Zimmer ou un JNH me plairait bien.

Wyatt Earp a écrit :

Fred a écrit :Pour la prochaine sortie prévue le 17 avril, indice :

One Special Collection release next week featuring a premiere release of an early 90s thriller. Oddly this is the first full album we've done by this composer

Ce qui veut peut-être dire qu'il a déjà été édité sur le label mais pas pour un score entier, comme Thomas Newman en effet, et donc Deceived ça se tient. L'ennui, c'est que dans mon souvenir, c'est pas renversant.

La BO Deceived n'a aucune édition en CD ou LP il me semble ...

J'ai le DVD de ce petit thriller assez sympathique (mais pas renversant non plus). Je vais aller vérifier à quoi ça ressemble.

Indiana a écrit :Un Zimmer ou un JNH me plairait bien.

Impossible pour le Zimmer, il viennent d'éditer sa partition complète pour White Fang.
Donc ça ne correspond pas.

Les extraits sont en ligne sur le site d'Intrada à la fois pour The Avengers et pour Once Upon A Time!

Et lundi on a quoi ?

Ben The Avengers et Once Upon A Time!

Vu que le forum d'underscore ne marchait plus je croyais que tous les labels avaient suspendu leur sorties.

Odelay a écrit :Vu que le forum d'underscore ne marchait plus je croyais que tous les labels avaient suspendu leur sorties.

Il restait fort heureusement la mise à jour des nouveautés. N'empêche, en cas d'album sombrant dans les eaux troubles du "sold out" sans underscores et son forum je suis démuni.

Reçu White fang entre temps, et c'est très beau, malgré des choix d'assemblage étranges (comme les versions alternatives à la suite des versions définitives). La version de Zimmer ne m'a pas beaucoup plu, pourtant j'ai fais bien attention de l'écouter AVANT celle de Poledouris, mais ça n'a pas fonctionné.

edit: après réécoute des deux albums à la suite, je réhausse mon impression pour le Zimmer. C'est très répétitif et ça repose beaucoup sur des synthés "grands espaces" un peu faciles, mais pour le coup ça me rappelle deux de mes Zimmer favoris que sont The last samurai et King Arthur, en plus frais, avec un thème accrocheur qui me dit foncièrement quelque chose mais je ne parviens pas à savoir quoi. Y aura (a ?) une édition du White fang 2 de Debney ?

Malastrana a écrit : Y aura (a ?) une édition du White fang 2 de Debney ?

Je me disais la même chose et je pense que l'on peut espérer car tout comme le premier il s'agit d'un film Disney et le score est sorti mais en version "promo" du compositeur donc cela ne compte pas.
En tout cas il s'agit d'un très bon score de DEBNEY tout comme l'inédit et également de Disney Hocus Pocus dont une édition serait la bienvenue.

pendant la faille spatio-temporelle du forum (un coup du Docteur ?), j'ai reçu le Black Cauldron d'Elmer Bernstein (tout simplement fantastique !!) ainsi que l'édition Varèse du ré-enregistrement. enfin !! un grand merci à celui qui a rendu cela possible.

Pour ma part, je l'ai commandée durant cette faille.

Starfe a écrit :j'ai reçu le Black Cauldron d'Elmer Bernstein (tout simplement fantastique !!)

Arrête, j'avais résisté jusque là!

L'impression que me laisse le Black Cauldron de Intrada est bien différente de celle du hum-hum que nous sommes assez nombreux à avoir pratiqué. Le bootleg est parfois assez bourratif, voire répétitif, et c'est une impression que je n'ai jamais eu à l'écoute du Intrada, qui se révèle un disque très varié, dont les effets "énormes"- les passages consacrés au Dieu Cornu maléfique, ne sont qu'un des aspects d'une partition riche, remplie de passages moins massifs, plus légers, joyeux, voire même parfois angoissés ou mélancoliques.
L'ouverture, par exemple, avec ces lents mouvements de cordes réhaussés de percussions: tintements métalliques, puis balais, et le thème, brièvement et pleins tubes, du Horned King. Une superbe petite pièce d'à peine plus d'une minute ! Elle est tout à fait à l'image du score: Bernstein parvient à proposer une musique qui accompagne les rupture de tons et les changements d'ambiance parfois soudain du film sans jamais sacrifier au mickey-mousing. Toutes les compositions sont immédiatement évocatrices d'une émotion à transmettre- en ce sens la musique est en parfaite adéquation avec son support animé: on passe de la menace à l'héroïsme, de la peur à la résolution: la musique de bernstein est ici très illustrative.
Le score est orchestral dans le sens le plus classique du terme, c'est à dire que tous les instruments sont mis à contribution- même le piano est mis en avant, ce qui ne semble pourtant pas évident vu le sujet du film. La musique est pensée pour l'orchestre, et pas pour au trio guitare/basse/batterie transposé sur 120 instruments.
La direction m'a semblé appuyer les reliefs déjà très marqués du score: Bernstein, si il peut lâcher les cuivres et les percus quand il faut, sait aussi insérer des passages solos ou pour petits ensembles d'instruments (je pense à la section centrale et finale de Apology ) évocateurs et rythmés. Le travail sur toutes les percussions est d'ailleurs absolument remarquable. Il y a même des passages qui rappelleront les westerns ! l'oreille est constamment enchantée les changements de rythme, de registres, d'ambiances et on est entrainé par la musique du début à la fin, tellement l'écriture est solide et adroite.
J'ai été surpris de la consistance de la musique en dehors de l'image: à de nombreuses reprises on a le sentiment d'écouter une suite symphonique post-romantique, et il est difficile ici de ne pas penser au modèle de Pierre et le loup ( mais aussi Bernstein a peut-être pensé peu à Alexandre Nevsky, qui sait ? -même s'il y a très peu de choeurs dans Black cauldron- )et forcément à Hermann et son Earth Stood Still.
Un passage "tango" assez délicat consacré à Gurgi (?- les sorcières ?, plage 20: Morva, passage d'ailleurs présent quasi à l'identique dans le Hellboy de Beltrami, je crois, mais ceci est une autre histoire), le thème lié à l'héroïne Eilonwy, le thème massif du roi cornu, une petite valse reprenant un des thèmes principaux (associé à Taram ? Gurgi ? le cochon ?) rythmée par un voix lointaine m'a particulièrement plu, bref (15: in the forest), le score est un régal pour les amoureux de musique de film thématique, au sens de thèmes développés, et pas de thèmes répétés.

Inutile de dire, enfin, que The Black Cauldron réussit à merveille ce qui et sûrement sa mission première: transporter l'auditeur dans l'univers du film, à tel point qu'on en oublie à quel point il était bancal.

Dis-moi mon Pierrot, ça te dirait pas de développer cette charmante prose pour nous faire une ptite chronique, même express ?

Ben ouais.

Krull a écrit :Dis-moi mon Pierrot, ça te dirait pas de développer cette charmante prose pour nous faire une ptite chronique, même express ?

je plussoie.

Ben vous me faites bien plaisir là. Vous voulez ça où et quand ?

Pierrebrrr a écrit :Ben vous me faites bien plaisir là. Vous voulez ça où et quand ?

C'est toujours de la même manière que l'horrible et douloureux processus entame son inexorable mouvement. Le sujet, son ego passé à la brosse à reluire grâce à des posts trop laudateurs pour être honnêtes, signe d'une goutte de son sang les papiers liant pour toujours son avenir à la sinistre UnderScores Zicmu Company. Et très vite, avant même que l'enivrant parfum de triomphe et de reconnaissance ne se soit entièrement dissipé, le pauvre hère réalise avec un effroi sans mélange ce que signifie, dans toute son ignoble nudité, l'expression "être broyé par des cadences infernales". Des termes souvent galvaudés par les bienheureux n'ayant jamais eu à trimer jusqu'à l'anéantissement total pour l'inflexible Hellboy.