Stelvio Cipriani

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Rodolphe738
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Re: STELVIO CIPRIANI.

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Et oui, je te rejoins la dessus, cipriani n'as rien révolutionné il a lancé une mode sur le polar " italien" et basta ! Il faisait dans l'alimentaire comme ils disent dans le métier..... Cela dis tu sais, morricone a mis en musique un nombre incalculable de nanard ! Mais c'est morricone :lol:……..
Tres peu de réalisateur internationaux se risquait a confier la musique de leurs long métrage a des compositeurs ne pratiquant pas au moins leurs langue d’origine et au minimum « l’anglais » morricone , donnagio et quelques autres font exeption a la règle, mais le seul exemple a vraiment donné reste morricone.
Le peu d’album que j’ai de cipriani avant 1970 sont tous de veine très classique, violon, piano et tout le toutim……… néanmoins tout comme morricone « mais a un degré en dessous » ses dis nanard sont en partie oublié ! sa musique elle ne l’est pas, et c’est bien là l’essence même d’un compositeur de talents.
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Janus
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Re: STELVIO CIPRIANI.

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rodolphe738 a écrit :Cela dis tu sais, morricone a mis en musique un nombre incalculable de nanard ! Mais c'est morricone ……..
Morricone a même composé des musiques somptueuses ou tout au moins intéressantes sur des nanars, seulement une bonne musique n'a jamais sauvé un mauvais film. Puis, il ne me semble pas toujours judicieux de comparer Cipriani et Morricone car ce sont finalement deux compositeurs très différents. La musique de Cipriani, n'existe pas en rapport à celle de Morricone, mais en fonction de ses qualités propres, si elle en a et je suppose qu'elle en a.
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Re: STELVIO CIPRIANI.

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Julien a ecris : Là je pense qu’il est vraiment l’un des maître dans le domaine. Le Thème d’Evelyn par exemple, dans La Baie Sanglante, celui de Femina Ridens (Rendez vous in the castle, en particulier),

OUI, mais je me demande maintenant mon cher julien si tu as réellement écouté les album que tu cite en référence ! Par ce que « femina ridens » c’est surtout un mélange de pop yéyé d’assez haut niveau « pour l’époque » et une grosse référence de stelvio cipriani. Sortir un theme par ci par là de youtube ce n’est quand même pas très sérieux…. Surtout que, a l’inverse de ce que tu argument stelvio cipriani ne fait pas trop dans le répétitif…… en tout cas beaucoup moins que morricone « sur certain score » oui il sait ecrire de beau theme, mais il ne faut pas essayé de calibré l’œuvre de cet artiste a quelques themes trouvé par ci par là…
Je te rappel aussi a toutes fin utile que cet homme a composé plus de 250 B.O .
Et si tu viens juste d’écouté mark il poliziotto je te suggere de passer un peu plus de temps a l’audition, car se score est aussi une grosse référence de cipriani et il est bourré de subtilité et de déclinaison de théme qui rivalise dans le genre blaxploitation mais pas seulement…. Des éléments jazzy sont incorporés dedans avec classe et finesse. Ce n’est certainement pas un score composé a la va vite et n’est pas non plus destiné a une audition de cet ordre.
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Re: STELVIO CIPRIANI.

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Janus a écrit :
rodolphe738 a écrit :Cela dis tu sais, morricone a mis en musique un nombre incalculable de nanard ! Mais c'est morricone ……..
Morricone a même composé des musiques somptueuses ou tout au moins intéressantes sur des nanars, seulement une bonne musique n'a jamais sauvé un mauvais film. Puis, il ne me semble pas toujours judicieux de comparer Cipriani et Morricone car ce sont finalement deux compositeurs très différents. La musique de Cipriani, n'existe pas en rapport à celle de Morricone, mais en fonction de ses qualités propres, si elle en a et je suppose qu'elle en a.
Je pense que l'on peux comparer ce qui est comparable sans pour autant en faire des freres jumeaux ;) cela dis je ne dis pas autre chose dans mon propos, si morricone a ecris pour des nanard cela n'enleve rien a son talent , ni a celui de cipriani.
C'est le sens de mon propos.
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Julien
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Re: STELVIO CIPRIANI.

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Mon bon Rodolphe, je t'ai bien entendu, et je répondrais à tes remarques par une attaque à double tranchant. D'abord, concernant Mark il Poliziotto, que j'ai réécouté pas plus tard que ce matin, le problème pour moi, c'est que Cipriani reprend ici les formules musicales du genre de la blaxploitation sans rien y apporter de réellement substantiel. Ce mélange entre rock et jazz ou encore cette utilisation du clavecin, de la basse, ou de la guitare wah wah, Schifrin ou Quincy Jones le pratiquait déjà dans leurs musiques de polars, et c'était quand même d'un tout autre niveau. Alors évidemment, je ne vais pas pousser la facilité, d'opposer Cipriani à ces ténors du genre mais en écoutant la bo, on ne peut quand même manquer de faire la comparaison. Après, cette musique, comme je l'ai déjà dit, je la trouve sympa à écouter, mais pour moi ça s'arrête là. D'ailleurs, tu l'as dit toi même, le film n'avait pas prétention à révolutionner le genre et je pense que Cipriani l'a bien compris en faisant exactement ce que l'on attendait de lui ; c'est à dire un décalque des musiques de polars américains. Alors certes, il s'agit d'un décalque plutôt efficace mais bon c'est un décalque quand même. Et pour moi ça n'est clairement pas ce que je préfère écouter de Cipriani.

Alors maintenant tout ceci est aussi affaire de goût et je peux comprendre que l'on puisse préférer ce versant là du compositeur, à ses musiques de pianos pop romancé, que t'as pas l'air d'apprécier tellement j'ai l'impression. C'est d'ailleurs, sur ce deuxième point où je voulais en venir et que je soutiens depuis le début, car c'est ce qui me parait être ce qu'il y a de plus expressif dans la musique de Cipriani. A mon sens, ses mélodies soutiennent amplement la comparaison avec les orfèvres en la matière tels que Francis Lai, Riz Ortolani ou encore Ennio Morricone. (Les extraits que j'ai mis, provenant de youtube servaient uniquement à le démontrer). J'y trouve là davantage de personnalité, ainsi qu'une sensualité typiquement italienne, et que Cipriani, en bon pianiste de formation qu'il ait, arrive à reproduire avec nettement plus de classe, que lorsqu'il s'évertue à reproduire les formules standardisés de la pop anglo-saxonne ; le style yeye, par exemple dont tu parles dans Femina Ridens ou les musiques de la blaxploitation.

Après, loin de moi non plus l'idée de dénigrer ses bo que je considère tout a fait potables comme telles. Sur Femina Ridens, j'aime bien par exemple, un morceau comme Hot Skin, que je trouve assez cocasse dans son genre, mais bon, dans l'ensemble du disque, Cipriani délivre là plus une musique de "faiseur" qu'autre chose ; tandis que sur les morceaux aux pianos ou dans ses partitions d'une veine plus italianisante, comme par exemple Piccole Labbra, j'ai davantage l'impression d'entendre l'âme du compositeur.
rodolphe738 a écrit :Le peu d’album que j’ai de cipriani avant 1970 sont tous de veine très classique, violon, piano et tout le toutim
Il a composé quoi d'autres d'ailleurs, avant cette période ? Parce que je ne connais seulement que Femina Ridens.
Rodolphe738
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Re: STELVIO CIPRIANI.

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Mais pourquoi diable veux tu absolument que cipriani soit absolument précurseur de quelque chose ? Bon nombre de musicien ou de compositeurs de musique de film ne sont précurseur de rien et cela ne les as jamais empêché de sortir des albums ou des scores d’anthologies pour autant … « mark il poliziotto », "Squadra volante" sont bien aussi bon que « dollars » misters tibbs » et consors… voir bien meilleurs ! j’ai bien vus le metello que tu compare au riz que tu as mis en lien ! c’est a absolument rien y comprendre… et loin de moi l’idée d’en faire une attaque personnel ! c’est juste le bons sens qui parle…….. :)
Ensuite tu me parle de femina ridens avec le theme de « Rendez vous in the castle » alors que cette B.O est composé a 90 pour cent de pop lounge yéyé !! C’est quand même incroyable……
Et pour finir, tu sembles vouloir enfermer ce compositeur dans un genre sirupeux qui existait déjà avant lui et ou il ne s’est pas spécialement distingués plus que les autres…. La preuve en est que tu est incapable de nous sortir en lien d’autre références que celle que j’ai posté au début de se topic….. Pire ! tu balance des liens d’ortolani pour te donné un semblant de constance….. a un moment donné il faut d’abord connaître l’œuvre d’un compositeur pour pouvoir affiemé sans sourcillé, cipriani c’est avant tout du sirupeux avec corde dégoulinante ! Enfin et pour finir, puis-ce que tu me demande ce qu’il a fait, hormis les refs que j’ai posté voici pour toi…… tu t’appercevras je pense que cipriani lui aussi c’est distingué dans beaucoup de genre divers et varié du cinema erotique, voire erotique aux giallos, en passant par le polar, aux compositions original pour orchestre,etc etc etc……


1966
El precio de un hombre, regia di Eugenio Martín
1967
Un uomo, un cavallo, una pistola, regia di Luigi Vanzi
1968
Luana la figlia delle foresta vergine
Lo straniero silenzioso
I racconti del maresciallo (sceneggiato televisivo)
Lo straniero di silenzio, regia di Luigi Vanzi
1969
I diavoli della guerra, regia di Bitto Albertini
Colpo grosso a Porto Said
12+1
Femina ridens
Todos o ninguno
Legge della violenza - Tutti o nessuno, regia di Gianni Crea
1970
The Lickerish Quartet
Anonimo veneziano
Intimità proibite di una giovane sposa
La belva, regia di Mario Costa
Whirlpool
I sette di Marsa Matruh
Edipeon, regia di Lorenzo Artale
Le Mans - Scorciatoia per l'inferno
Se t'incontro, t'ammazzo
1971
Deviation
Il diavolo a sette facce, regia di Osvaldo Civirani
A cuore freddo
La morte cammina con i tacchi alti, regia di Luciano Ercoli
Blindman
Cometogether
Reazione a catena (film 1971), regia di Mario Bava
L'iguana dalla lingua di fuoco, regia di Riccardo Freda
L'uomo più velenoso del cobra, regia di Bitto Albertini
La lunga spiaggia fredda
Testa t'ammazzo, croce... sei morto... Mi chiamano Alleluja, regia di Giuliano Carnimeo
La lunga ombra del lupo
Trittico
Il magnifico west
La redada
1972
Estratto dagli archivi segreti della polizia di una capitale europea
Il mio corpo con rabbia
Diabólica malicia
Il West ti va stretto, amico... è arrivato Alleluja, regia di Giuliano Carnimeo
Gli orrori del castello di Norimberga
La polizia ringrazia
L'assassino... è al telefono, regia di Alberto De Martino
Maschi e femmine
Metti lo diavolo tuo ne lo mio inferno, regia di Bitto Albertini
Racconti proibiti... di niente vestiti
Timanfaya
Uccidere in silenzio
1973
El más fabuloso golpe del Far-West
Frau Wirtins tolle Töchterlein
24 ore... non un minuto di più
...e continuavano a mettere lo diavolo ne lo inferno, regia di Bitto Albertini
La mano spietata della legge
Un par de zapatos del '32
Tre per una grande rapina (Le mataf), regia di Serge Leroy
1974
Squadra volante
Dschungelmädchen für zwei Halunken
Cani arrabbiati
I figli di Zanna Bianca
Infamia
La polizia chiede aiuto
La polizia ha le mani legate
Processo per direttissima
Il venditore di palloncini
La polizia sta a guardare
Teleftaioi tou Ruppel
Le Mataf
1975
Frankenstein all'italiana
Der Zweite Frühling
Gli angeli dalle mani bendate
Zwei Teufelskerle auf dem Weg ins Kloster
El clan de los Nazarenos
Il richiamo del lupo, regia di Gianfranco Baldanello
Mark il poliziotto
I sette del gruppo selvaggio
Due cuori, una cappella
Furia nera
Il medaglione insanguinato
Ordine firmato in bianco
Peccato senza malizia
Pepita Jiménez
1976
Le deportate della sezione speciale SS, regia di Rino Di Silvestro
Mark colpisce ancora
Quelli della calibro 38
Blondy
Dov'è Anna serie TV
Dedicato a una stella
Le due orfanelle
Mettetemi in galera
La padrona è servita
Quel pomeriggio maledetto
1977
Poliziotto sprint
Torino violenta
Suor Emanuelle
Tentacoli
Cara sposa
La polizia è sconfitta
Poliziotto senza paura
Gli ultimi angeli
Il fauno di marmo (miniserie televisiva)
1978
Un poliziotto scomodo
Non sparate sui bambini
L'enfant de la nuit
Piccole labbra
Memoria
Scorticateli vivi
The Bermuda triangle
Es pecado... pero me gusta
Provincia violenta
Bermude: la fossa maledetta, regia di Tonino Ricci
Duri a morire
Malabestia
Maternale
Papaya dei Caraibi
Solamente nero, regia di Antonio Bido
Sono stato un agente C.I.A.
Provincia violenta
1979
Il fiume del grande caimano
Sbirro, la tua legge è lenta... la mia no!
La supplente va in città
Midnight blue
Incontro con gli umanoidi (Encuentro en el abismo), regia di Tonino Ricci
Ora per ora... attimo per attimo (Torino centrale del vizio), regia di Bruno Vani e Renato Polselli (1979)
Concorde Affaire '79
Bersaglio altezza d'uomo
Libidine
Un'ombra nell'ombra
Pensione amore servizio completo
Polvos mágicos
La vedova del trullo
1980
Incubo sulla città contaminata
Poliziotto solitudine e rabbia
Journal d'une maison de correction
Carnada
Buitres sobre la ciudad
Mafia, una legge che non perdona
Orgasmo nero
Paradiso blu
Ul poderoso influjo de la luna
Speed driver
Tony, l'altra faccia della Torino violenta
1981
Pierino il fichissimo
L'ultimo harem
Buona come il pane
Desperate moves
Il falco e la colomba
Piranha part two: The Spawning
L'ultima volta insieme
1982
Il sommergibile più pazzo del mondo
Porno: situación límite
La villa delle anime maledette
Angkor: Cambodia Express
È forte un casino
Los líos de Estefanía
La vocazione di Suor Teresa (La voce), regia di Brunello Rondi
1983
La casa del tappeto giallo
Un povero ricco
Rush, regia di Tonino Ricci
1984
Maladonna
Nucleo zero (TV)
Rage - Fuoco incrociato, regia di Tonino Ricci
Western di cose nostre (TV)
1985
I cinque del Condor
Baciami strega (TV)
1986
Mercenari dell'apocalisse
Tre supermen in Santo Domingo, regia di Italo Martinenghi
1987
Rage of honor
El ataque de los pájaros
1988
La notte degli squali, regia di Tonino Ricci
Fuoco incrociato
Blu elettrico
Don Bosco
Taxi Killer
Il Vizio di vivere (TV)
1989
Bangkok solo andata
1990
Présumé dangereux
Un Metro all'alba
Try this one for size (canzone "Turning round")
Voglia di vivere (TV)
1991
Grazie al cielo c'è Totò
Reporter blues Serie TV (tema)
Voci dal profondo
Manuela serie TV (versione italiana)
Madre padrona
...Se non avessi l'amore (TV)
1992
Out of Control
L'urlo della verità
1997
Mio padre è innocente (TV)
The Deli
1998
Mashamal - ritorno al deserto
2000
Queen's messenger
The Tony Blair witch project
2001
Death, deceit & destiny aboard the Orient Express
She
2002
Il destino ha 4 zampe (TV)
2003
L'acqua... il fuoco
2004
Le cinque giornate di Milano'' (TV)
Languore (tema)
2008
Prigioniero di un segreto, diretto da Carlo Fusco
Maria di Nazareth. Una storia che continua...
2009
Pochi giorni per capire, diretto da Carlo Fusco
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Julien
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Re: STELVIO CIPRIANI.

Message non lu par Julien »

rodolphe738 a écrit :Mais pourquoi diable veux tu absolument que cipriani soit absolument précurseur de quelque chose ?
Lis bien ce que j’ai écrit. Je n’ai jamais dit que Cipriani avait était un précurseur. On s’était d’ailleurs bien mis d’accord là-dessus, peu avant. Quand à Metello, je ne l’ai absolument pas comparé à du Riz Ortolani mais mentionné à titre d'exemple, pour illustrer le type de musique très romancée que l’on pouvait trouver dans le cinéma italien de cette époque. Ce n'est pas la même chose.

Pour les liens que j’ai posté, j’ai mis ceux que je trouvais les plus emblématiques de ce style lyrique et italianisant du compositeur, parce que c’est davantage sur ce versant là que je le trouve plus expressif et personnel. Rien de plus. Sinon, pour les musiques que Cipriani avait composé avant 1970, j’aurais surtout voulu connaître quelles étaient celles qui étaient de veines classiques (avec piano, violon…) , comme tu le mentionne dans ton message. Évidemment je ne te demandais pas un catalogue exhaustif de toute sa filmographie ; ça je peux très bien le voir moi-même, en allant sur imdb.
Rodolphe738
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Re: STELVIO CIPRIANI.

Message non lu par Rodolphe738 »

Ben c'est-à-dire qu’à te lire on a quand même l’impression que tu essayes de lui faire endossé le costume bossa, ensuite sirupeux popisant et pour finir ses partitions serait écrite a la va vite……. Donc, il est vrais que c’est un peu chercher la petite béte… c’est comme ci je disais que je m’arrêtais sur ce qu’a composer morricone sur les giallos en arguant qu’il n’avait écris que cela et que le genre était son domaine de prédilection…. Et quitte à me répéter, rien ne différencie cipriani de ses contemporain dans tous ses domaines là, il a fait du lounge , du sirupeux, du pop yéyé ainsi que des compositions de veine plus classique…… qui était le premier a sortir ceci et ou cela…… n’as absolument aucun intérêt…. Le style cipriani se reconnaît essentiellement dans la mise en musique de polar italien……
Pour ta question il faudra que recherche, mais il semble j’ai bien dis « il semble » que sa discographie soit« incomplète » au demeurant… ainsi que sur ton cher « imdb » ………. Et peux être qu’il a commencer a produire du piano et violon en 1970 « j’ai vérifié tout a l’heure sommairement » mais cela n’en fait toujours pas un tenors du genre de toute façons……… je n’ai effectivement de lui avant 1970 que des westerns « erratum » mais je suis loin de tout avoir aussi ……
Et la liste de sa discographie que j’ai mise en post était surtout pour appuyer le fait que stelvio cipriani s’etait distingué dans tout les style cinématographique « comme ses contemporains » et qu’il n’était de bon aloi de ne lui faire endosser une liquette sur« ces fameux accompagnement languissants de cordes » afin de l’étiqueter sous cette augure. ;)
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Julien
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Re: STELVIO CIPRIANI.

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Ce n'est pas exactement ce que j'ai dit. Tu extrapoles mes propos à chaque fois. Mais tu sais, le plus important dans tout ceci, c'est surtout que l'on soit arrivé à écrire quand même, 5 pages de topic sur un compositeur comme Cipriani, et ça, même Chuck Cirino, malgré toute la popularité qu'il peut avoir sur underscores, est encore bien loin d'avoir atteint ce niveau là.
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Re: STELVIO CIPRIANI.

Message non lu par Rodolphe738 »

Julien a écrit :Ce n'est pas exactement ce que j'ai dit. Tu extrapoles mes propos à chaque fois. Mais tu sais, le plus important dans tout ceci, c'est surtout que l'on soit arrivé à écrire quand même, 5 pages de topic sur un compositeur comme Cipriani, et ça, même Chuck Cirino, malgré toute la popularité qu'il peut avoir sur underscores, est encore bien loin d'avoir atteint ce niveau là.
c'est pas exactement ca, mais c'est un peu ca quand même ! :mrgreen: cela dis tu as raison pour le topic... je me faisait la même remarque hier.... Il ne reste plus qu'a attendre patiament que les editeurs ressortent d'autre B.O de cipriani qui doivent renfermer des petits trésors..En attendant un topic sur piero umiliani feras peux être patienté........ :lol:
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Re: STELVIO CIPRIANI.

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toujours dans le languissant et dans le style qu'affectionne mon bon julien.... en écoute en ce moment un petit berto pisano remasterisé... une vrais merveille, mais je suis bon public ....

album " La svergognata" rien a envier a stelvio cipriani , c'est du tout bon.......
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Julien
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Re: STELVIO CIPRIANI.

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Je préfère le style Cipriani quand même. J'aime pas trop la guitare wah wah derrière. Cherche pas, de toute façon c'est le meilleur des italiens dans cette catégorie pop romancée ! Oui par contre tout à l'heure, tu parlais de Piero Umiliani et j'aime particulièrement le thème qu'il a composé pour le film de Bava : 5 Bambole per la luna d'agosto. (Je crois que je préfère quand même le morceau instrumental à la chanson cela dit.)
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Re: STELVIO CIPRIANI.

Message non lu par Rodolphe738 »

Julien a écrit :Je préfère le style Cipriani quand même. J'aime pas trop la guitare wah wah derrière. Cherche pas, de toute façon c'est le meilleur des italiens dans cette catégorie pop romancée ! Oui par contre tout à l'heure, tu parlais de Piero Umiliani et j'aime particulièrement le thème qu'il a composé pour le film de Bava : 5 Bambole per la luna d'agosto. (Je crois que je préfère quand même le morceau instrumental à la chanson cela dit.)
dans cette categorie là , je lui prefere tres nettement morricone ou berto pisano , avec ou sans batterie d'ailleurs ! mais c'est une question de goût :lol:
pour umiliani je vais chercher un peu ce que j'ai en boutique... je dois en avoir pas mal mais dans un style plutôt erotique, voire exotique.........
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Re: STELVIO CIPRIANI.

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tiens un ptit popisant de classe morriconienne pour toi mon bon julien 1971......... :lol:
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Re: STELVIO CIPRIANI.

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rodolphe738 a écrit :tiens un ptit popisant de classe morriconienne pour toi mon bon julien 1971......... :lol:
J'aime beaucoup cette élégance sophistiquée dans ce morceau qui, sous son aspect angélique, a un arrière-goût morbide: il semble finalement être à l'image du personnage reptilien joué par la magnifique mais froide Florinda Balkan. Thème à double tranchant, typique de Morricone: Beau et troublant en même temps et presque surréaliste par moment.
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Re: STELVIO CIPRIANI.

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Et si par hasard mon bon julien, tu trouvais sur le tube quelques liens bien sentis pour appuyer ton commentaire je cite : « Cherche pas, de toute façon c'est le meilleur des italiens dans cette catégorie pop romancée ! » n’hésite pas a nous le faire partagé…….
Avec un bémol tout de même pour corser la chose… t’as pas le droit de mettre en lien du riz , ni même du Pippo Caruso ! Pas de pipo en un mot……. :lol: Du cipriani…. Et puis tiens ! On va corser encore un peu plus le chizbouk ! Tu n’as pas le droit de mettre non plus les mêmes liens que tu as déjà mis plus haut pas de Dedicato a una Stella par exemple……. :ugeek:
Bon je te laisse me potasser ca et je vais me mettre sur piero pendant ce temps là….. :mrgreen:
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Re: STELVIO CIPRIANI.

Message non lu par Rodolphe738 »

Janus a écrit :
rodolphe738 a écrit :tiens un ptit popisant de classe morriconienne pour toi mon bon julien 1971......... :lol:
J'aime beaucoup cette élégance sophistiquée dans ce morceau qui, sous son aspect angélique, a un arrière-goût morbide: il semble finalement être à l'image du personnage reptilien joué par la magnifique mais froide Florinda Balkan. Thème à double tranchant, typique de Morricone: Beau et troublant en même temps et presque surréaliste par moment.
c'est beau quant tu ecris janus ;) a double tranchant :D ah oui c'est exactement ca.... et les declinaisons de se themes sont vraiment superbe de bout en bout, j'adore ce score.
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Re: STELVIO CIPRIANI.

Message non lu par Julien »

rodolphe738 a écrit :Et si par hasard mon bon julien, tu trouvais sur le tube quelques liens bien sentis pour appuyer ton commentaire je cite : « Cherche pas, de toute façon c'est le meilleur des italiens dans cette catégorie pop romancée ! » n’hésite pas a nous le faire partagé…….
Avec un bémol tout de même pour corser la chose… t’as pas le droit de mettre en lien du riz , ni même du Pippo Caruso ! Pas de pipo en un mot……. :lol: Du cipriani…. Et puis tiens ! On va corser encore un peu plus le chizbouk ! Tu n’as pas le droit de mettre non plus les mêmes liens que tu as déjà mis plus haut pas de Dedicato a una Stella par exemple……. :ugeek:
Bon je te laisse me potasser ca et je vais me mettre sur piero pendant ce temps là….. :mrgreen:
Tiens, prends ça !

(J'aime bien le Morricone aussi et même le film de Fulci - très onirique ! - était pas mal).
rodolphe738 a écrit :dans cette categorie là , je lui prefere tres nettement morricone ou berto pisano , avec ou sans batterie d'ailleurs ! mais c'est une question de goût :lol:
Je ne connais pas très bien Pisano mais j'aime beaucoup le thème qu'il a composé avec Jacques Chaumon, pour un thriller très obscur, intitulé : Police Magnum. (Il existe aussi une version alternée, où l'on entend les soupirs féminins de Jean Seberg, mais je ne l'ai pas trouvé.)
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Re: STELVIO CIPRIANI.

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Et bien moi j'ai un faible pour ce thème-là qui a une totale emprise sur moi. La première fois que je l'ai écouté je ne pouvais plus m'en défaire!

Prenez ça dans les gencives bande d'amateurs! :lol:

Oups! Il n'est pas de Cipriani mais de Piccioni...Que voulez-vous, avec tous ces noms qui finissent en < ni > je m'y perds. :lol: Superbe de mélancolie! ;)
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Re: STELVIO CIPRIANI.

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Il me semble que mon bon jujus avait parlé de popisant languissant ! :D Où est le popisant ? ? Pour être « le meilleurs des italiens dans la catégorie pop romancée ! » Julien tu me déçoit ! je m’attendais un un ptit riz sauce cipriani et tu ose me sortir un vieux caca boudin comme ça ? Bon c’est bien essayé quand même…..
Quand a toi mon bon janus arrivé en renfort, même punition………. Alors soit on élargis un peu et on a le droit a que du languissant mais là cipriani seras de nouveau of course soit je vais être dans l’obligation de me déclaré vainqueur faute de combattant.
Mais pour rester beau joueur et magnanime avec vous autres….
Tenez ! Prenez celle là dans les gencives…. :lol:
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Re: STELVIO CIPRIANI.

Message non lu par Rodolphe738 »

et un popop electronisant maintenant.... on elargis on elargis....... :D

Rodolphe738
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Re: STELVIO CIPRIANI.

Message non lu par Rodolphe738 »

hi hi hi .........

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Janus
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Re: STELVIO CIPRIANI.

Message non lu par Janus »

Allez Rodolphe, je m'en vais flatter ton côté fleur bleue :lol: Tu peux même sortir ton petit mouchoir pour la larmichette, on ne sait jamais.

Rodolphe738
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Re: STELVIO CIPRIANI.

Message non lu par Rodolphe738 »

Bon les gars, je pense qu’il est plus que temps de recadrer un peu le sujet sur cipriani et la musique qui l’as rendus célèbre… par ce que là j’ai l’impression que vous allez me ressortir tous les vieux nanard qui finisse par "i" ou "ie" sans me donné la moindre ref valable pour argumenté les dire de mon bon juju……. Cela dis, je préfère nettement le cipriani dans ce genre là
Même si celui là est de piccioni bien sur……….
Et puis janus comme tu as tenté veinement de m’attendrir par de vilaine flatterie, a ton tour de pleurer…… je sais pas pour toi , mais je trouve ce thème beau a pleurer.
Bonne nouvelle pour toi le nom de ce compositeur finis en « I » mais toujours pas de cipriani en vue :lol:
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Lee Van Cleef
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Re: STELVIO CIPRIANI.

Message non lu par Lee Van Cleef »

Notre trio de joyeux drilles a l'air de se livrer à une belle ribouldingue musicale, par ici. Hors de question de s'en plaindre, en tout cas, puisque ces palabres électriques (dans lesquels j'ai cru régulièrement relever un soupçon de mauvaise foi), truffés de liens hétéroclites, ont permis à mes oreilles d'étancher convenablement leur soif de mélodies croustillantes et de bizarreries savoureuses.
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