Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

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Rodolphe738
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

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Autant j’ai beaucoup de mal a enquillé le secret du sahara , qui est une trés belle partition au demeurant mais toujours un peu sur la même gamme…. Autant il guardani del cielo est une B.O qui est assez représentative de tout le savoir faire de morricone, c’est une B.O ou l’on ne s’ennuie pas…… de superbe mélodie et puis des choses un peu plus intimiste et rapport avec le desert comme « deserto e deserto » « sabbia e sabbia » etc etc….. certes pas un chef d’œuvre, mais une partition que je considère pour ma part comme magnifique… enlevé , avec des élans tantôt romanesque tantôt plus intériorisé de part le désert encore lui qui est présent…….
Cette B.O reste dans les annales des connaisseurs du maestro , elle va rejoindre des scores comme la perlasca, missus, una storia italiana, et des dizaine et des dizaine d’autre…….a écouté sans modération aucune et bien que ses talents de mélodiste sois toujours aussi présent on serait tenté de dire , eh oui ! deja entendus…. Sauf qu’on se fait cueillir quand même au final …. Genius……
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Janus
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

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rodolphe738 a écrit :Autant j’ai beaucoup de mal a enquillé le secret du sahara , qui est une trés belle partition au demeurant mais toujours un peu sur la même gamme…
Les goûts, ce sont les goûts et je ne vois aucun inconvénient à préférer I GUARDANI DEL CIELO au SECRET DU SAHARA si celle-ci te procure plus de plaisir car c'est cela qui prime en premier lieu ;) . Ceci étant dit, j'espère que tu ne laisseras pas tomber la partition du SECRET DU SAHARA car elle me paraît artistiquement (mais ce n'est que mon humble avis) bien plus intéressante et significative du génie morriconien que I GUARDANI DEL CIELO. En même temps, l'approche n'est pas la même et comme je l'ai mentionné dans mon précédent commentaire, elle est moins cérébrale et davantage à hauteur des sentiments humains dans le second titre, même si effectivement le désert n'est jamais très loin...et c'est sans doute pour cette raison, Rodolphe, qu'elle te parle plus.
Rodolphe738
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

Message non lu par Rodolphe738 »

Non pas spécialement , il y as certains score du maestro comme le désert des tartares par exemple, qui me parle nettement plus que le secret du sahara, donc encore une fois c’est une question de préférence, de goût, et surtout de « moment » il y as des scores qui nécessite a l’écoute un temps particulier pour ne pas dire une humeurs… une prédisposition…..
Vois tu Janus, dans ma vie de béophile j’ai connus un papa « jerry goldsmith » rien ni personne ne purras l’egalé….. Une maman « Ennio morricone » car toutes ses partition même celle qui semble les plus anodine, ont quelque chose qui rappel a l’enfance, et qui touche l’âme de manière viscéral.
Je t’ai bien lus, mais sur le thème du désert, jamais personne ne pourras surpasser ce qu’a écris maurice Jarre « un autre papa, mais d’adoption cette fois…..
Donc il est certain que je préférerais toujours morricone sur la corde sensible, car c’est là qu’il excelle, c’est là qu’il me parle réellement…..
Ce qui ne veut pas dire que je n’apprécie pas le reste de ses compositions bien au contraire ! Mais je n’en fais pas spécialement cas pour les raisons évoqué plus haut.
Je connais des compositeurs qui savent mètres une musique sur un batracien faisant la bulle sur une feuille de nénuphar en plein desert …. Moi les batraciens, ca me parle pas …… ni en plein désert, ni ailleurs… je ne critique pas ceux qui savent les mètres en musique ou qui leurs rende hommage, mais ce n’est pas mon truc, voila tous et c’est pour cet raison Janus, que cet élément ne me touche que très rarement. ;)
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Taboulez
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

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Janus a écrit :la partition du SECRET DU SAHARA car elle me paraît artistiquement (mais ce n'est que mon humble avis) bien plus intéressante et significative du génie morriconien
Et ce n'est d'ailleurs pas que ton humble avis :D , puisque je suis également un grand amoureux de cet opus qui, de longue date, fait allègrement partie de mon panthéon Morriconien.

C'est une musique qui m'a toujours bien plus intéressé que Mose par exemple (dont j'apprécie surtout les pistes atonales caractérisant certaines des plaies d'Égypte, mais qui me laisse sur le bord du chemin lorsqu'il s'agit des plages plus ethniques et portées sur les complaintes ou les développements plus minimalistes dans l'harmonie).
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Janus
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

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rodolphe738 a écrit :je ne critique pas ceux qui savent les mètres en musique ou qui leurs rende hommage, mais ce n’est pas mon truc, voila tous et c’est pour cet raison Janus, que cet élément ne me touche que très rarement.
Et c'est bien dommage car ce n'est pas une question d'hommage mais d'une des facettes les plus intéressantes et ingénieuses du compositeur, mais bon ce n'est pas grave, la vie continue. Si tu n'y es pas sensible, je ne peux rien faire d'autre qu'espérer qu'un jour tu la redécouvres à sa véritable valeur. :mrgreen:
rodolphe738 a écrit :mais sur le thème du désert, jamais personne ne pourras surpasser ce qu’a écris maurice Jarre
Un point-de-vue que je ne partage pas du tout car pour être insurpassable dans un domaine il faut en détenir la vérité absolue, ce qui n'est jamais le cas, mais bon, j'aime beaucoup Maurice Jarre aussi. Là n'est pas la question. C'est une autre approche. ;)
rodolphe738 a écrit : j’ai connus un papa « jerry goldsmith » rien ni personne ne purras l’egalé….
J'espère que si car les béophiles de demain risquent de se faire chier.

Sinon, dans ma vie de mélomane (je me considère davantage comme un mélomane que comme un béophile), j'ai beaucoup de papas et de mamans, bien que je sois nés orphelin, ou plutôt de parents qui détestaient la musique. ;)
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

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Taboulez a écrit :mais qui me laisse sur le bord du chemin lorsqu'il s'agit des plages plus ethniques et portées sur les complaintes ou les développements plus minimalistes dans l'harmonie).
Au moins, on ne peut te reprocher un manque de cohérence dans tes goûts musicaux. :mrgreen: Tu ne me l'aurais pas spécifié, je l'aurais deviné.
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

Message non lu par Rodolphe738 »

Janus a écrit :
rodolphe738 a écrit :je ne critique pas ceux qui savent les mètres en musique ou qui leurs rende hommage, mais ce n’est pas mon truc, voila tous et c’est pour cet raison Janus, que cet élément ne me touche que très rarement.
Et c'est bien dommage car ce n'est pas une question d'hommage mais d'une des facettes les plus intéressantes et ingénieuses du compositeur, mais bon ce n'est pas grave, la vie continue. Si tu n'y es pas sensible, je ne peux rien faire d'autre qu'espérer qu'un jour tu la redécouvres à sa véritable valeur. :mrgreen:
rodolphe738 a écrit :mais sur le thème du désert, jamais personne ne pourras surpasser ce qu’a écris maurice Jarre
Un point-de-vue que je ne partage pas du tout car pour être insurpassable dans un domaine il faut en détenir la vérité absolue, ce qui n'est jamais le cas, mais bon, j'aime beaucoup Maurice Jarre aussi. Là n'est pas la question. C'est une autre approche. ;)
rodolphe738 a écrit : j’ai connus un papa « jerry goldsmith » rien ni personne ne purras l’egalé….
J'espère que si car les béophiles de demain risquent de se faire chier.



Pour ce qui concerne Maurice Jarre et le désert, Je parle a titre personnel Janus…. Mon propos n’est pas une vérité transcendantale et il sera bien présomptueux voire prétentieux de ma part de balancer des grandes phrases pour étayer une vérité universelle……. :roll:
Maintenant pour ce qui concerne goldsmith, je vois bien ici ou là que beaucoup de gens apprécient tintin de williams, et sont même prêt a en torcher 15 pages online….se delecter de la derniere daube de patrick doyl ou trépigner d’impatience pour la sortie du dernier Zimmer , mais pour moi c’est du réchauffé………………… et en attendant l’arrivé du « messie » , je préfère quand a moi rester sur mes vieux nanard… ça n’embêté personne et ça fait découvrir…..et quand je vois les vieilleries qui ressortent actuellement dans un écrin tout neuf, je me dis que forcément, quelque chose cloche.
Je ne suis pas né orphelien « grâce a dieu » j’ai eu un papa qui bossait la dedans et qui as connus de près mes idoles d’aujourd’hui…. Je n’ai pas pu ou sus en profiter……je le regrette bien sur. La vie c’est des roses ! ;)


Sinon, dans ma vie de mélomane (je me considère davantage comme un mélomane que comme un béophile), j'ai beaucoup de papas et de mamans, bien que je sois nés orphelin, ou plutôt de parents qui détestaient la musique. ;)
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

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Bonsoir les amis !

En revenant de Paris chez ma tante, OH LA LA ! OH LA LA , LA LA LA LA LA LA LA ……… :D
Je me suis dis, tiens ! Et si je me mettais un p’tit Morricone dans les feuilles pour ne pas changer des bonnes habitudes…
Alors je me suis mis Disclosure tranquillou… devant les nappes synthétique exécrable de certains morceaux présente sur cette B.O, je me suis dis : que fais-je ?
Je zappe ou je laisse couler ? …..
Et bien, grand bien m’en a pris, en laissant cette horreur d’un autre age me gâter les tympans j’ai eu une révélation… j’étais persuader que Morricone n’en étais pas a son coup d’essaie, de retour a la maison je me suis mis a chercher frénétiquement ou j’avais bien pu entendre cette horreur ailleurs que dans Disclosure ?
Quand on cherche on trouve !

Mosca Addio…….



Inutile de préciser que je préfère nettement la façons dont les synthé sont utiliser dans ce thème ici présent, je crois que la beauté du morceaux y est pour beaucoup……

et il me semble bien que dans mission to mars ce genre de synthé est présent aussi, il faudra que je me refasse une petite écoute…. Mais je crois savoir que nous avons de grands fans de cette B.O ici……
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Bmcready
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

Message non lu par Bmcready »

Rodolphe738 a écrit :Bonsoir les amis !

En revenant de Paris chez ma tante, OH LA LA ! OH LA LA , LA LA LA LA LA LA LA ……… :D
Je me suis dis, tiens ! Et si je me mettais un p’tit Morricone dans les feuilles pour ne pas changer des bonnes habitudes…
Alors je me suis mis Disclosure tranquillou… devant les nappes synthétique exécrable de certains morceaux présente sur cette B.O, je me suis dis : que fais-je ?
Je zappe ou je laisse couler ? …..
Et bien, grand bien m’en a pris, en laissant cette horreur d’un autre age me gâter les tympans j’ai eu une révélation… j’étais persuader que Morricone n’en étais pas a son coup d’essaie, de retour a la maison je me suis mis a chercher frénétiquement ou j’avais bien pu entendre cette horreur ailleurs que dans Disclosure ?
Quand on cherche on trouve !

Mosca Addio…….



Inutile de préciser que je préfère nettement la façons dont les synthé sont utiliser dans ce thème ici présent, je crois que la beauté du morceaux y est pour beaucoup……

et il me semble bien que dans mission to mars ce genre de synthé est présent aussi, il faudra que je me refasse une petite écoute…. Mais je crois savoir que nous avons de grands fans de cette B.O ici……
Même si je n'irais pas jusqu'à qualifier Disclosure "d'horreur" comme tu le décris, j'avoue que cette partition du grand Ennio me laisse de marbre, tout comme certaines autre partitions du compositeur durant cette période des années 90. Wolf par exemple (pour ne pas la citer).
Mais effectivement, ce Mosca Addio est très beau. Et dieu seul sait qu'une multitude de scores peu connus du Maestro ont cette qualité et qu'ils sont légions dans son IMMENSE disco/filmographie. ;)
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

Message non lu par Rodolphe738 »

Non , je n'ai pas dis que disclosure etait une horreur dans son integralité , tu as ceci qui est sacrément bien ecris :


Ou alors ca , qui fonctionne admirablement dans le film et qui a l'ecoute est assez hypnotisant je trouve.....



Non, je parlais des quelques plages de synthé assez grotesque "même pour l'époque !" et qui avec le temps, ne se bonifie pas....... ;)
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Bmcready
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

Message non lu par Bmcready »

Rodolphe738 a écrit :Non , je n'ai pas dis que disclosure etait une horreur dans son integralité , tu as ceci qui est sacrément bien ecris :


Ou alors ca , qui fonctionne admirablement dans le film et qui a l'ecoute est assez hypnotisant je trouve.....



Non, je parlais des quelques plages de synthé assez grotesque "même pour l'époque !" et qui avec le temps, ne se bonifie pas....... ;)
Tu nuances tes propos..... je vois !
De toute façon, il y a toujours des idées dans les scores du Maestro, même dans ce Disclosure. Mais je le répète, malgré les extraits que tu cites, cette musique ne m'emballe pas plus que cela.
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

Message non lu par Rodolphe738 »

Bmcready a écrit :
Rodolphe738 a écrit :Non , je n'ai pas dis que disclosure etait une horreur dans son integralité , tu as ceci qui est sacrément bien ecris :


Ou alors ca , qui fonctionne admirablement dans le film et qui a l'ecoute est assez hypnotisant je trouve.....



Non, je parlais des quelques plages de synthé assez grotesque "même pour l'époque !" et qui avec le temps, ne se bonifie pas....... ;)
Tu nuances tes propos..... je vois !
De toute façon, il y a toujours des idées dans les scores du Maestro, même dans ce Disclosure. Mais je le répète, malgré les extraits que tu cites, cette musique ne m'emballe pas plus que cela.
Non, je ne nuance absolument rien du tout, mais j'imagine quand même que tu sais lire ? voici la phrase inscrite plus haut ....

"devant les nappes synthétique exécrable de certains morceaux présente sur cette B.O" c'est pas du Chinois ! ?......., de plus je t'ai mis en lien deux des meilleurs pistes de l'albums pour continuer a etayer mon propos qui ne varie pas le moins du monde....
J'ose esperer que tu n'as pas l'intention de jouer au plus relou avec moi, car tu a une bonne longeur d'avance et des prédispositions pour gagner haut la main !
Cela dis , pour wolf je suis assez d'accord :D
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

Message non lu par Bmcready »

Rodolphe738 a écrit :
Bmcready a écrit :
Rodolphe738 a écrit :Non , je n'ai pas dis que disclosure etait une horreur dans son integralité , tu as ceci qui est sacrément bien ecris :


Ou alors ca , qui fonctionne admirablement dans le film et qui a l'ecoute est assez hypnotisant je trouve.....



Non, je parlais des quelques plages de synthé assez grotesque "même pour l'époque !" et qui avec le temps, ne se bonifie pas....... ;)
Tu nuances tes propos..... je vois !
De toute façon, il y a toujours des idées dans les scores du Maestro, même dans ce Disclosure. Mais je le répète, malgré les extraits que tu cites, cette musique ne m'emballe pas plus que cela.
Non, je ne nuance absolument rien du tout, mais j'imagine quand même que tu sais lire ? voici la phrase inscrite plus haut ....

"devant les nappes synthétique exécrable de certains morceaux présente sur cette B.O" c'est pas du Chinois ! ?......., de plus je t'ai mis en lien deux des meilleurs pistes de l'albums pour continuer a etayer mon propos qui ne varie pas le moins du monde....
J'ose esperer que tu n'as pas l'intention de jouer au plus relou avec moi, car tu a une bonne longeur d'avance et des prédispositions pour gagner haut la main !
Cela dis , pour wolf je suis assez d'accord :D
Houlà !!! :shock: :shock: :shock:

Je pense que le mieux est d'en rester là !
Il est bien dommage de noircir des pages sur ce forum et d'en arriver là.
Si je t'ai « froissé », ce qui semble être le cas au vu du ton que tu emploies, je m'en excuse ! Ce n'était pas le but..... On mettra cela sur le compte de l'horaire tardif où a été rédigé ces messages ;)
Cela dit, moi aussi je t'invite à te relire....
Et ceci mettra fin – en ce qui me concerne - à notre charmante conversation, mon cher Rodolphe738.
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

Message non lu par Rodolphe738 »

Alors je me suis mis Disclosure tranquillou… devant les nappes synthétique exécrable de certains morceaux présente sur cette B.O, je me suis dis : que fais-je ?

cette horreur ailleurs que dans Disclosure ?

1 theme mis en ligne : moscca addio

Il est inutile de chercher des histoires a dormir debout là ou il n’y en a pas ! Horaires tardifs ou pas, quand on incrimine de façons purement subjective le propos d’un intervenant, alors que ce qui est inscris noir sur blanc ne prête pourtant pas a interprétation, je ne vois pas pourquoi et en quel honneur, je devrais laisser passer…….
Donc restons en là si tu veux, de toutes façons je ne suis pas sur les forums pour échanger des propos stériles et « ou » pour faire passer des vessie pour des lanternes….
A bon entendeur….. ;)
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

Message non lu par Janus »

Que se passe-t-il ici ? Seraient-ce les tumultes atonaux et angoissants d'un Wolf ou d'un Disclosure qui mettent vos nerfs à fleur de peau? :lol: dans ce cas-là, vaudrait mieux remettre sur vos platines des partitions aussi mélodieuses que caressantes dans le sens du poil comme Questa specie d'amore ou encore La Venexianna. "Ne nous fâchons pas" comme disait Lino Ventura dans un film dont j'ai oublié le titre, même si, effectivement, ces deux partitions d'Ennio Morricone; Disclosure et Wolf, n'ont pas été écrites dans le but d'adoucir les moeurs. :lol: Je les adore personnellement pour leur caractère violemment atonal et contemporain. En gros, Morricone a reproduit pour le thriller américain, dans une formation plus symphonique et plus proche de sa musique personnelle de la même époque, ce qu'il aima tant expérimenter sur le giallo en Italie durant les années 70. Je peux nettement comprendre que l'on puisse préférer sa production la plus lyrique et tonale, cependant, cet aspect de son oeuvre n'en demeure pas moins riche en inventivité et en efficacité. Il y a dans Wolf des passages fabuleux et je ne suis pas d'accord sur le terme de "nappes synthétiques" employé par Rodolphe sur Disclosure. Il ne s'agit en aucun cas de "nappes synthétiques" mais d'une utilisation savante de l'électronique en tant que tel, et dans un contexte orchestral, c'est-à-dire au sein d'instruments purement acoustiques. Ce que j'ai aimé chez Morricone, compositeur qui a finalement peu employé l'électronique durant sa carrière, c'est qu'il ne l'a justement pas utilisé pour imiter les cordes ou une flûte ou l'orchestre tout entier comme le font certains, ce qui est là grotesque et sans intérêt , mais en tant qu'élément sonore autonome, instrument synthétique à par entière. L'électronique n'a ici rien de "nappant", il est davantage un acteur actif, un acteur agressif, incisif et acide, parfois excessif, notamment dans le thème d'action "Virtual reality". Le morceau est fabuleusement énergique, excitant, puis, à un moment donné, un son électronique trop appuyé et presque marginalisé enraye un peu le mécanisme acoustique. C'est le seul moment où une sonorité électronique (trop agressive) me gêne un peu et encore pas au point d'entraver le plaisir que j'éprouve à l'écoute de cette partition très hypnotique. Je souffre beaucoup plus d'indigestion avec Vangelis et avec certains compositeurs italiens contemporains à Morricone! :lol: Le parti-pris du compositeur pour une telle orchestration s'explique par le film lui-même, son rapport à l'informatique et au virtuel. En tout cas, je préfère mille fois cette approche-là de l'électronique que ce qu'il en fit sur La piazza di Spagna pour lequel il renonça à toute forme de créativité et d'audace. Maintenant, aimer Disclosure ne m'empêche pas d'aimer à sa juste valeur Mosca Addio même si certains passages forcent un petit peu trop les mouchoirs. ;)
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

Message non lu par Ehtar »

Je m'en remets à la sagesse légendaire de Janus ;) bon les mouchoirs je suis à fond dedans en ce moment :lol:
Rodolphe738
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

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Oui théo, nappe synthetitque, ou utilisation « savante » de l’électronique peu importe….. le fait est que l’utilisation similaire qu’il en fait sur un thème larmoyant comme sur moscca addio ou assez tendu dans « disclosure » est assez similaire……. de plus, « et nous avons déjà eu ce débat » je ne trouve pas son approche électronique particulièrement inspiré….
Si je me souviens bien on trouve d’ailleurs le même genre d’intervention dans mission to mars….. ce qui tranche vraiment avec la beauté singulière du reste de l’album et qui, a mon sens gâche le plaisir….
Je préfère nettement entendre des petits soufflet de flûte qui donne le relief de cris de chouette, comme dans Oceano,voila une intervention de son talent que je trouve juste a propos, plutôt que de d’ecouter cette musique électronique qui virevolte et arrive de nulle part, pour repartir comme elle est venus……………….. qui plus est, je trouve vraiment ses interventions electro plus que limite, moscca addio s’en serais passé allegrement aussi….. je ne vois vraiment aucune recherche spécifique la dedans…. Bref, s’il s’était abstenus ou avait vraiment été inventif dans l’adjonction de musique electro dans ses partitions, cela se saurais et serait reconnus……..
« Ne nous fachons pas est le titre du film » ……. ;) . et je ne suis pas fâché theo……
D’accord avec toi pour « La piazza di Spagna » mais là il n’y a rien a sauver………
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

Message non lu par Janus »

Rodolphe738 a écrit :Oui théo, nappe synthetitque, ou utilisation « savante » de l’électronique peu importe….. le fait est que l’utilisation similaire qu’il en fait sur un thème larmoyant comme sur moscca addio ou assez tendu dans « disclosure » est assez similaire……. de plus, « et nous avons déjà eu ce débat » je ne trouve pas son approche électronique particulièrement inspiré….
Non, son utilisation de l'électronique dans Mosca Addio n'a rien de très similaire avec celle de Disclosure qui n'est d'ailleurs pas une partition électro mais une partition symphonique pourvue d'un apport électronique très élaboré et que je trouve très inspiré justement dans ce cas précis. Morricone n'a jamais composé de B.O. ni de musique pouvant être qualifiée d'électro et ne peut donc pas être reconnu dans ce domaine ;) . j'aime aussi l'usage qu'il en fait sur RAMPAGE, bien qu'il s'agisse là encore d'une partition symphonique avec un apport électronique à certains endroits. Sur ce point, nous serons inconciliables :D et j'adore le passage dans Mission to Mars que tu cites et qui dépare un peu, c'est vrai, avec le reste plus lyrique et classique de la partition, justement pour l'usage de l'électronique qui, effectivement, évoque celui de Disclosure, même si au final il en fait tout autre chose, même si, une fois de plus, on reste malgré tout dans le contexte d'une musique symphonique. En revanche, l'électronique dans Mission to Mars me gène davantage plage 5 et dans le second extrait lorsqu'il se substitue à l'instrument solo même si ce sont des interventions heureusement très courtes. ;) Mais dans tous les cas, il ne s'agit pas de musique purement électronique mais d'un apport électronique plus ou moins important dans une musique principalement écrite pour orchestre. C'est également vrai pour Mosca Addio à laquelle l'électronique apporte un son glacial et distant. Toutefois, c'est un apport qui me fascine moins que sur Disclosure. Le meilleur morceau selon moi est le second ou le troisième sur le cd, avec les bruits saccadés du train sur lesquels se superpose une version poignante et désespérée du thème principal. L'usage créatif de l'électronique chez Ennio Morricone, comme c'est le cas dans les B.O. citées ci-dessus, est volontairement déshumanisé, il évoque l'hostilité, l'inhumanité, parfois la désolation...flagrant dans Mission to Mars et dans un extrait de L'Humanoïde...la froideur, le glacial. Ce qui est larmoyant dans Mosca Addio ce n'est pas l'électronique mais le violon, le thème en lui-même, les sonorités synthétiques étant, quant à elles, glaciales et distantes (ou froides). Du coup, cette B.O., d'un tragique mesuré, a une couleur bien à elle, propose un certain équilibre entre glace et larmoiement . Mais, là encore, il s'agit d'une partition écrite pour orchestre et non de musique électro. Morricone est un compositeur qui écrit essentiellement pour l'orchestre et les instruments. L'emploi de l'électronique reste chez lui très occasionnel.
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

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Je ne sais pas ou tu a pus lire mon Cher theo que je prétendais que mosca addio était une B.O de musique électronique ! :shock:
J’ai mis un lien plus haut pour argumenter le fait que ce titre se serais bien passer de l’adjonction de cet espèce de clavecin électronique que l’on retrouve par ailleurs dans mission to mars et dans disclosure , de plus ce « clavecin » electro se retrouve disséminé un peu partout dans les déclinaisons et je suis formel sur ce point !
Je te rechercherais les plages exact dans la soirée, des trois disque que je cite en ref, mais tu as déjà donné ceux de mission to mars… ca va aller plus vite….. Cher theo, mais d’or et déjà tu peux ressortir les galettes et t’en rendre compte par toi-même………
Pour moi cet electro disséminé un peu partout et sur les trois disque cité en ref, sont très similaire et cela est assez facile a prouver finalement…
donc , de mon point de vue , ce que tu appel musique électronique « savante » n’est ni plus , ni moins que de la réchauffe, plus ou moins bien sentis…
Maintenant pour l’humanoîde je t’entends bien, d’ailleurs c’est une B.O que je trouve assez réussis dans le genre et pour le coup totalement maîtrisé et inventive….. ;)
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Janus
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

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Rodolphe738 a écrit :Je ne sais pas ou tu a pus lire mon Cher theo que je prétendais que mosca addio était une B.O de musique électronique ! :shock:
J’ai mis un lien plus haut pour argumenter le fait que ce titre se serais bien passer de l’adjonction de cet espèce de clavecin électronique que l’on retrouve par ailleurs dans mission to mars et dans disclosure , de plus ce « clavecin » electro se retrouve disséminé un peu partout dans les déclinaisons et je suis formel sur ce point !
Je te rechercherais les plages exact dans la soirée, des trois disque que je cite en ref, mais tu as déjà donné ceux de mission to mars… ca va aller plus vite….. Cher theo, mais d’or et déjà tu peux ressortir les galettes et t’en rendre compte par toi-même………
Pour moi cet electro disséminé un peu partout et sur les trois disque cité en ref, sont très similaire et cela est assez facile a prouver finalement…
pas de chance car ce sont deux B.O. que je connais très bien aussi et au résultat, deux musiques très différentes. Facile à démontrer aussi. L'usage de l'électronique est beaucoup plus virulent et atonal dans Disclosure et ne se limite pas à l'usage d'un clavecin synthétique. Je parle évidemment des thèmes d'action et des "passacailles" et non du générique-début qui est effectivement un thème très classique chez Morricone, bien que très différent aussi de celui de Mosca Addio. ;)
Rodolphe738
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

Message non lu par Rodolphe738 »

Bon bah mon theo , ilest temps de réviser tes ptits classique j’ai l’impression…. :D
Album disclosure , titre virtual rality…. Cette fameuse musique electronique savante se fait sentir a exactement 4,51 minute jusqu'à la fin… tout comme dans mosca addio ou mission to mars « dont tu a déjà retrouver les pistes » cet espece de clavecin arrive d’on ne sais ou et disparaît en virvoltant…. Du réchauffé avez-vous dis ! Oui mon colon et pas qu’une fois en plus……
Ca repart de plus belle dans sex computer 2 ,51…….
Bon je vais pas faire tout le disque par ce que j’ai pas trop le temps actuellement mais il faudrait être de bien mauvaise foi pour ne pas se rendre compte que l’élément clavecin electro machin chose virevoltant apparaissant et disparaissant comme il est venus est arranger a toutes les sauces par notre maestro préférer et ce, dans n’importe quel registre, même si bien évidement le clavecin ressemble plus a un clavecin sur masca addio que sur mission to mars et disclosure…..tiens pendant quie je t’ecris dans sex and power ! a 2minute jusqu'à la fin… il s’est surpasser morricone dans disclosure…
C’est ca la musique electro savante…..
ps ! c'est claire que disclosure et mission to mars sont differente de mosca addio ! tu viens de découvrir ? :lol:
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Janus
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

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Rodolphe738 a écrit :cet espece de clavecin arrive d’on ne sais ou et disparaît en virvoltant…. Du réchauffé avez-vous dis ! Oui mon colon et pas qu’une fois en plus……
Où l'a-t-il fait avant ce qu'il explore dans les thèmes que tu cites de Disclosure. Donne moi des exemples précis que je puisse vérifier parce que là je n'en vois pas. Cette B.O., que tu l'admettes ou pas, dégage une atmosphère et un climat sonore qui lui sont propres, une (a)tonalité qui lui appartient et est caractéristique de cette B.O.. C'est la seule chose qui soit importante.
Rodolphe738 a écrit : mais il faudrait être de bien mauvaise foi
Bien sûr... :roll:
Rodolphe738 a écrit :ps ! c'est claire que disclosure et mission to mars sont differente de mosca addio ! tu viens de découvrir ?
Justement, dont mon précédent commentaire. ;)
Rodolphe738
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

Message non lu par Rodolphe738 »

Janus a écrit :
Rodolphe738 a écrit :cet espece de clavecin arrive d’on ne sais ou et disparaît en virvoltant…. Du réchauffé avez-vous dis ! Oui mon colon et pas qu’une fois en plus……
Où l'a-t-il fait avant ce qu'il explore dans les thèmes que tu cites de Disclosure. Donne moi des exemples précis que je puisse vérifier parce que là je n'en vois pas.
Rodolphe738 a écrit : mais il faudrait être de bien mauvaise foi
Bien sûr... :roll:
Rodolphe738 a écrit :ps ! c'est claire que disclosure et mission to mars sont differente de mosca addio ! tu viens de découvrir ?
Justement, dont mon précédent commentaire. ;)
Ben il l'as fait dans les pistes que tu cite toi même dans misson to mars et dans le lien que j'ai mis plus haut "titoli" de mosca addio et dans toutes ses declinaisons, soit 5 ou six perf ! mais si tu ne trouve pas je vais t'aider tout a l'heure :roll: par ce que là , il m'est difficile d'ecouter de la musique...deja avec les elements que tu as et ceux que je te donne en lien ... la lumiere devrais ce faire d'elle même ! ;)
Rodolphe738
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

Message non lu par Rodolphe738 »

Mission to mars titre and afterwards a partir de 4 minutes… c’est plus du clavecin mais de l’electronique savante qui virvolte , qui apparaît et disparaît…..

Toward the uknow a 7minute 43 jusqu'à la fin…. Là on reviens a peu de chose prés a ce que l’on peux entendre sur disclosure……

dois-je continuer ou c'est bon ? :D
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Janus
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Re: Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

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Rodolphe738 a écrit :en il l'as fait dans les pistes que tu cite toi même dans misson to mars
Pas les pistes, une seule piste dans Mission to Mars, une seule où on peut effectivement dire qu'il reprend l'idée de l'électronique de Disclosure et encore, dans un contexte symphonique qui, lui, n'a plus rien à voir. Mais disons qu'il en est l'instrument central, le coeur métallique du morceau. Maintenant, j'ai enfin compris ce à quoi tu fais allusion en évoquant l'espèce de clavecin électronique qui traverse sa musique plusieurs fois, comme venant de nulle-part. Effectivement, c'est un trait-de-marque qui le poursuit depuis longtemps et qui remonte peut-être à La califfa. C'est ce que certains appellent le "rolling-synthé" ou encore le rolling-piano car ce procédé (très personnel chez ce compositeur) n'est pas propre qu'à un usage électronique. Il le fait également au piano, notamment dans Dressé pour tuer. Dans Mosca Addio, l'extrait "viaggio" qui reprend le thème principal, est quant à lui agrémenté du "rolling-train" qui apporte une profondeur plus concrète que le "rolling synthé". ce dernier apparaît également dans Wolf. C'est un peu "l'élément parasite" qui traverse l'oeuvre sans vraiment lui appartenir, comme un corps étranger fugitif et récurrent, comme le "Fender" dans State of Grace et Atame, qui intervient, lui aussi, sous la forme d'un "élément parasite". J'ai l'impression que Morricone aime cet apport d'organisme sonore indépendant qui traverse et hante la dramaturgie de certaines de ses compositions, que ça fait effectivement partie de ses obsessions.
Seulement, concernant Disclosure, il s'agit d'un usage de l'électronique quand même plus développé qui s'échappe du "rolling-synthé" habituel et tel qu'il est généralement employé par Morricone. Je l'écoute en ce moment, juste après Mosca Addio et si le concept est un peu le même à la base, c'est vrai, le développement qu'il en fait prend une toute autre dimension. L'électronique y est autant une couleur timbrale que "l'élément parasite" que je viens d'évoquer. En la réécoutant, je me rends compte que c'est surtout et avant tout une partition symphonique dans laquelle la part électronique y joue finalement un rôle d'appoint et de couleur. Superbe musique, n'empêche! J'en ai des frissons, tiens! :D
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