Ennio Morricone: génial stakhanoviste.

[Janus]

Et cela pourrait donner quoi ?

En lisant les titres et en connaissance du compositeur, ce sera globalement expérimental, dans le style de ses "Dimensions sonores - Musiques pour images et imagination", d'ailleurs certains titres correspondent, comme "Proporzionale" et "Conduzione", seules les durées varient de quelques secondes...Ne pas s'attendre à un "Morricone" épique et lyrique, pro-hollywoodien, parce qu'il y a un vaisseau. Non, ce sera bien plus ascétique comme approche, c'est-à-dire davantage en osmose avec les aspirations premières du compositeur.

[Alcibiade]

Merci ! Faut voir donc, je n'ai rien contre un dépouillement dans l'expérimentation chez Morricone si tenté que cela puisse se rapprocher par exemple de l' "Umanoide" (avec l'électro kitsch de l'époque) ou de "The thing" (quoique plus accessible, et pas si expérimental que cela) ou (je ne sais pas) de "la corta notte delle bambole di vetro" ou de "Spasmo" (mais cela m'étonnerait beaucoup pour "Cosmos 1999") pour les titres qui correspondraient "vaguement" (?) et qui me plaisent ; ne connaissant absolument pas le style de "Dimensions sonores".
En fait, après une petite recherche, un extrait est bien disponible sur youtube ( Bien le style « Umanoide » & « The thing » (avec la plage mémorable de "Contamination" qui a fait vibrer en une minute chrono tous les adeptes du "Psycho" de Herrmann) mais fouetté à la sauce acid jazz (super ça ! En plus géniale cette "antithèse" pêchée par hasard !). Cela pourrait parfaitement me convenir dans ce cas ! Remarque, ces « Dimensions sonores » (en collaboration avec Bruno Nicolai du coup ?) pourraient m'intéresser tout court ! Cela m'a l'air tout à fait désuet et singulier !

[Dadid]

ça sent le space cake et la fumée des seventies, tout ça ! Enfin, dans l'esprit, car à ma connaissance Morricone n'a jamais eu besoin de substances "expérimentales" pour composer de la musique ! quoique, après tout, je n'en sais rien...

Bref, quand on lui a demandé de la zique pour un "Cosmos 1999", il a tout de suite dû penser "musique cosmique", c'était logique en ces temps pré Star Wars. Et je pense qu'on va trouver là de quoi s'amuser un peu, ou se prendre la tête, selon les cas !

[DarkCat]

Non, ce sera bien plus ascétique comme approche

Aaaaah, mon bon Janus, tu sais me vendre du rêve !!
J'attends les extraits, mais vu comme ça, les chances que j’achète ce titre me paraissent bien minces.

[Lee Van Cleef]

T'es encore là, le chat du Cheshire ? Je crois, mais ton museau trémulant semble le subodorer déjà, que tu gagnerais à fouler un terrain musical plus hospitalier pour tes délicates oreilles pointues que ne promet de l'être l'aride sol lunaire de ce Space : 1999 "morriconisé".

[Janus]

Non, ce sera bien plus ascétique comme approche

Aaaaah, mon bon Janus, tu sais me vendre du rêve !!
J'attends les extraits, mais vu comme ça, les chances que j’achète ce titre me paraissent bien minces.

Les miennes sont en revanche immenses car m'éclatant déjà beaucoup avec les fantaisies avant-gardistes de ses Dimensions sonores...je pense que je peux acheter les yeux fermés mais tout en gardant les oreilles bien ouvertes. Par chance, elles ne sont pas frileuses pour un sou, capables d'ingurgiter sans broncher Un coin tranquille à la campagne (quelle musique fascinante!) au petit déjeuner! La guimauve n'est décidément pas faite pour moi!

[PatrickB]

Rien que dans les titres j'entends des dissonances. Ca va grincer!

Oui, sans doute (peut-être pas seulement j'espère), mais les titres sonnant comme ceux de Dimensioni sonore sont bien issus de ce projet de 2 X 5 disques Morricone-Nicolai à l'époque. Apparemment, le film a réutilisé ce matériel, ce qui fait que 8 morceaux du nouveau CD Spazio 1999 en proviennent.
Tout cela sera décortiqué dans le prochain fanzine Maestro 12, bien sûr ... Page de pub et rappel pour les retardataires sur le n° 11 actuel : http://www.chimai.com/index.cfm?screen=fanzine&id=11

La vraie surprise viendra des autres morceaux, comme Elettronica et Follia nello spazio, qu'on va découvrir.
C'est pas souvent qu'on exhume une partition des années 70 ! Superbe opportunité.

[Starfe]

Tout cela sera décortiqué dans le prochain fanzine Maestro 12, bien sûr ...

Cool. J'ai hâte de le lire.

Et si jamais sur les forums Morriconiens, ou autres lieux spécialisés, tu entends parler d'un endroit, dans les méandres du net, où l'on peut voir ce montage italien, apparemment disponible qu'en VHS, fais-moi signe.

[Walden]

avez-vous eu le temps d'écouter la compil des inédits en CD ? "Ennio Morricone : first time on CD"

Il n'y a rien à jeter !!! Que des petites merveilles qui avaient été composées pour des films ou des documentaires tombés dans l'oubli, j'adore !!! Une série de perles !

[Janus]

En fait, ils ne sont pas inédits en cd car on trouve chacun de ces thèmes en entier dans les B.O. correspondantes. Mais c'est vrai que ça doit faire une très belle compilation malgré tout, une compilation assez originale dans la mesure où elle ne reprend pas de standards.

[Ballanmire]

Chez Janus, pourrais-tu s'il te plait m'orienter quelque peu concernant certains travaux du Maestro Morricone que je souhaiterais découvrir ?

Je suis particulièrement friand de ses compositions expérimentales, atonales, dissonantes, ... (les mots ne sont peut être pas bien choisis mais ils reflètent mon ressenti). J'aime tout particulièrement sa collaboration avec Argento pour la Trilogie animale ainsi que par exemple Le Foto Proibite Di Una Signora Per Bene, Una Lucertola Con La Pelle Di Donna, ou bien encore Spasmo ou Holocaust 2000 (récemment réédité). La découverte surprenante de Cosmos 1999 est un vrai choc pour moi dans ce genre

En gros tout travail de la fin des 60' et des 70' est la période que je préfère avec un attrait particulier pour ces scores "difficiles" parfois (voire souvent) pour de petits films.

Je te remercie

[Dadid]

Chouette un nouvel ami !

[Misquamacus]

avez-vous eu le temps d'écouter la compil des inédits en CD ? "Ennio Morricone : first time on CD"

Il n'y a rien à jeter !!! Que des petites merveilles qui avaient été composées pour des films ou des documentaires tombés dans l'oubli, j'adore !!! Une série de perles !

C'est effectivement très chouette. Merci pour le lien.

[Janus]

Je suis particulièrement friand de ses compositions expérimentales, atonales, dissonantes, ... (les mots ne sont peut être pas bien choisis mais ils reflètent mon ressenti). J'aime tout particulièrement sa collaboration avec Argento pour la Trilogie animale ainsi que par exemple Le Foto Proibite Di Una Signora Per Bene, Una Lucertola Con La Pelle Di Donna, ou bien encore Spasmo ou Holocaust 2000 (récemment réédité). La découverte surprenante de Cosmos 1999 est un vrai choc pour moi dans ce genre

Et tu as bien raison car c'est indéniablement l'une des principales facettes du compositeur dans lequel il est le plus à l'aise et déterminant sur le plan créatif. Je ne vais pas t'aligner vingt titres et je ne sais pas non plus ce que tu connais déjà du Maestro si ce n'est les titres que tu as mentionnés ci-dessus qui sont cependant des indices précis me permettant de pouvoir t'orienter plus facilement. Je suppose que tu connais déjà Peur sur la ville qui est un classique du genre, donc je ne reviendrai pas dessus. Parmi ses compositions musico-cinématographiques les plus avant-gardistes et audacieuses, il y en a une qui me tient particulièrement à coeur:

__Un Tranquillo di posto di Campagna. alors attention, il en existe au moins deux éditions, une première éditée chez Saimel et une autre plus récente éditée chez GDM, cd club 7088 en 2010. Si l'édition Saimel contient plus de musique, je préfère celle de GDM 2010 car plus intelligemment compilée et plus digeste. Pour l'anecdote, Ennio Morricone la considère comme l'une de ses partitions les plus abouties de cette période. Personnellement, je ne sais pas s"il a raison mais j'adore cette musique. (film d'Elio Petri)

___Il Serpente/L'Istruttoria E'Chiusa: Dimentichi, le premier est un film d'Henri Verneuil et le second de Diamano Damiani. Si j'ai évoqué ces deux B.O. c'est qu'elles ont été éditées sur un même cd et que je pense que c'est l'édition qu'il faut avoir bien qu'elle risque d'être introuvable aujourd'hui. Pourquoi? Parce que la B.O. que Morricone composa pour le film de Damiani est sans doute ce qu'il a composé de plus radical pour le cinéma et que seul sur disque, c'est quand même assez hermétique: elle prend certainement toute sa dimension sur les images du film. En revanche, si j'adore la partie expérimentale de Il Serpente, j'ai peur que l'édition MBR soit trop remplie et rébarbative à mon goût. C'est peut-être aussi le fait que je suis trop habitué à la version précédente, équivalente du 33tours. Ce que je sais c'est que j'aime beaucoup le film de Verneuil et que, même jeune, alors que je n'avais encore aucune culture de la musique contemporaine, j'adorais déjà le générique-début complètement barré et atonal. Sur un film "grand public" en plus! Il m'avait marqué au fer rouge à l'époque et mon intérêt ne s'est pas émoussé depuis.

___La corta notte delle Bambole di Vetro, typique musique de giallo mais dans un style peut-être plus onirique et mystérieux que d'habitude...très travaillée dans les timbres, très différente de Gli Occhi Freddi della Paura, par exemple, qui a quelque-chose de plus "physique", de plus "jazz", selon moi.

Il y en a d'autres mais nous verrons plus tard!

[Ballanmire]

Je suis particulièrement friand de ses compositions expérimentales, atonales, dissonantes, ... (les mots ne sont peut être pas bien choisis mais ils reflètent mon ressenti). J'aime tout particulièrement sa collaboration avec Argento pour la Trilogie animale ainsi que par exemple Le Foto Proibite Di Una Signora Per Bene, Una Lucertola Con La Pelle Di Donna, ou bien encore Spasmo ou Holocaust 2000 (récemment réédité). La découverte surprenante de Cosmos 1999 est un vrai choc pour moi dans ce genre

Et tu as bien raison car c'est indéniablement l'une des principales facettes du compositeur dans lequel il est le plus à l'aise et déterminant sur le plan créatif. Je ne vais pas t'aligner vingt titres et je ne sais pas non plus ce que tu connais déjà du Maestro si ce n'est les titres que tu as mentionnés ci-dessus qui sont cependant des indices précis me permettant de pouvoir t'orienter plus facilement. Je suppose que tu connais déjà Peur sur la ville qui est un classique du genre, donc je ne reviendrai pas dessus. Parmi ses compositions musico-cinématographiques les plus avant-gardistes et audacieuses, il y en a une qui me tient particulièrement à coeur:

__Un Tranquillo di posto di Campagna. alors attention, il en existe au moins deux éditions, une première éditée chez Saimel et une autre plus récente éditée chez GDM, cd club 7088 en 2010. Si l'édition Saimel contient plus de musique, je préfère celle de GDM 2010 car plus intelligemment compilée et plus digeste. Pour l'anecdote, Ennio Morricone la considère comme l'une de ses partitions les plus abouties de cette période. Personnellement, je ne sais pas s"il a raison mais j'adore cette musique. (film d'Elio Petri)

___Il Serpente/L'Istruttoria E'Chiusa: Dimentichi, le premier est un film d'Henri Verneuil et le second de Diamano Damiani. Si j'ai évoqué ces deux B.O. c'est qu'elles ont été éditées sur un même cd et que je pense que c'est l'édition qu'il faut avoir bien qu'elle risque d'être introuvable aujourd'hui. Pourquoi? Parce que la B.O. que Morricone composa pour le film de Damiani est sans doute ce qu'il a composé de plus radical pour le cinéma et que seul sur disque, c'est quand même assez hermétique: elle prend certainement toute sa dimension sur les images du film. En revanche, si j'adore la partie expérimentale de Il Serpente, j'ai peur que l'édition MBR soit trop remplie et rébarbative à mon goût. C'est peut-être aussi le fait que je suis trop habitué à la version précédente, équivalente du 33tours. Ce que je sais c'est que j'aime beaucoup le film de Verneuil et que, même jeune, alors que je n'avais encore aucune culture de la musique contemporaine, j'adorais déjà le générique-début complètement barré et atonal. Sur un film "grand public" en plus! Il m'avait marqué au fer rouge à l'époque et mon intérêt ne s'est pas émoussé depuis.

___La corta notte delle Bambole di Vetro, typique musique de giallo mais dans un style peut-être plus onirique et mystérieux que d'habitude...très travaillée dans les timbres, très différente de Gli Occhi Freddi della Paura, par exemple, qui a quelque-chose de plus "physique", de plus "jazz", selon moi.

Je te remercie grandement de ces références complémentaires. Effectivement Peur sur la ville est un incontournable que j'ai en ma possession ! Je m'en vais de ce pas commander ces pépites (si encore dispo à des prix raisonnables).
Encore merci

[Ballanmire]

Dans un autre genre, je tombe en ce moment même sur La Tenda Rossa. C'est tout simplement magnifique

[Janus]

Dans un autre genre, je tombe en ce moment même sur La Tenda Rossa. C'est tout simplement magnifique

Il faisait partie des titres que je voulais te conseiller mais comme je ne voulais pas en citer trop en même temps....

La particularité de La Tenda Rossa est de présenter sur disque une première partie très lyrique et la seconde sous la forme d'une suite beaucoup plus contemporaine qui se développe admirablement autour des quelques notes universelles du morse. C'est "symphoniquement" impressionnant!

Une B.O qu'il te faudra écouter dans un autre genre mais qui possède aussi une suite atonale très intéressante et s'articulant autour d'une série de notes fort bien imaginées, est L'Attentat.

[PatrickB]

Eh bien, bienvenue dans le cercle Morricone, et plus particulièrement le club fermé, présidé par Janus, des amateurs de musiques difficiles, exigeantes et atonales, dont je reste à la frontière, avec parfois qq incursions ...
Evidemment Le serpent/L'istruttoria è chiuso, dimentichi! est un choix incontournable pour un amateur de sensations atonales. Pour le coté culotté et patchwok/mixage de certains morceaux et la jubilation, j'ajouterais La faille (La smagliatura).

Oui, en autre spécialiste de Morricone, je te conseille également L'attentat, merveille de mélange de sonorités métalliques, électroniques, et autres timbres, spécialement dans les 2 "Sinfonia per L'attentat".
On a découvert la 2° lors du CD intégral (GDM Club 7084, de 2010). Celle-ci me plait mieux, question de goût. Les autres morceaux sont soit dérivés de l'esprit inquiétant et "patchwork" de cette Sinfonia, soit plus "sages", tout en étant politiques, donc d'un climat bien particulier (ironique, narquois, comme Midi à St Germain des prés). MBR le rééditera peut-être un jour, s'ils continuent dans les Morricone français ?

Un ou deux autres titres : 2 films d'Elio Petri, La classe ouvrière va au paradis (La classe operaia va in paradiso) et La propriété n'est plus un vol (La propriétà non è più un furto).
Si tu ne les as déjà, ils devraient te plaire, par leur ambiance très spéciale, beaucoup d'invention et des timbres très choisis. Il restent plus abordables que ceux cités par Janus.
La folie maitrisée de La classe ... prépare Le trio infernal. Il est dans la même veine que L'attentat, mais plus sombre, bien qu'abordable, sauf si on écoute que du Cosma. Je recommande le morceau "Sinfonia del cottimista" pour le développement génial de l'ostinato.
La propriétà non è più un furto est une grande réussite de Morricone, en inventivité, en timbres, en jubilation, par certains aspects il prépare le style Mafia.
Ils existent soit couplés ensemble dans le CD RCA de 1993 (déjà), soit désormais séparément et en intégral (dans 2 CD GDM Club de 2009 ou réunis en double CD GDM de 2016).

J'arrête là pour l'instant !

[Denshaotoko]

Suis en train de réécouter (pour la première fois depuis près de 20 ans ^^) Time of Destiny, film de Gregory Nava… L'un des rares Morricone que j'aie conservé, dois-je avouer… Mais celui-là est vraiment excellent à mes oreilles!

[Janus]

Eh bien, bienvenue dans le cercle Morricone, et plus particulièrement le club fermé, présidé par Janus, des amateurs de musiques difficiles, exigeantes et atonales...

Oh la la!!! Vous me faites une de ces réputations! Je peux évoquer avec la même ardeur et conviction des partitions comme, par exemple, René la Canne et Un génie, deux associés, une cloche; c'est juste un autre délire dans lequel Morricone a aussi excellé. Soit dit en passant, des affiches de ses concerts de fin septembre commencent à apparaître dans le métro parisien. Et en parlant de concert, j'aimerais tellement qu'il interprète la suite contemporaine Altri, Dopo di noi de La Tenda Rossa, ce serait un évènement unique...mais bon, ça n'arrivera jamais...

[Dadid]

Il me semble que le génie de Morricone n'est pas tant d'avoir écrit de la musique "difficile" que, justement, de l'avoir rendue accessible en la mêlant parfois à des éléments soit humoristiques soit franchement lyriques, avec son sens de la mélodie et de l'émotion, cette nostalgie surtout qui traverse toute son œuvre. Tout ça pour dire que des classiques comme "Sacco et Vanzetti" ou "Enquête sur un citoyen...", sans être ses plus pointus musicalement, sont des passeports irremplaçables pour aborder sa musique...

[Janus]

Il me semble que le génie de Morricone n'est pas tant d'avoir écrit de la musique "difficile" que, justement, de l'avoir rendue accessible en la mêlant parfois à des éléments soit humoristiques soit franchement lyriques, avec son sens de la mélodie et de l'émotion, cette nostalgie surtout qui traverse toute son œuvre. Tout ça pour dire que des classiques comme "Sacco et Vanzetti" ou "Enquête sur un citoyen...", sans être ses plus pointus musicalement, sont des passeports irremplaçables pour aborder sa musique...

Oh mais je suis bien d'accord. D'ailleurs, je ne considère pas ses musiques plus expérimentales ou atonales comme forcément "difficiles". "difficile" n'est pas une considération totalement objective ou du moins est-elle d'une relative objectivité, selon notre propre sensibilité biensûr, mais aussi expérience et degré de familiarisation avec ces "langages". Et il est clair que nous n'avons pas tous les mêmes, loin de là.

[Dadid]

Je le sais bien C'était juste pour rappeler une évidence que l'on peut parfois oublier : chez Morricone, la complexité peut se trouver autant (ou presque) dans les classiques que dans ses BO les plus difficiles !

[Janus]

Je le sais bien C'était juste pour rappeler une évidence que l'on peut parfois oublier : chez Morricone, la complexité peut se trouver autant (ou presque) dans les classiques que dans ses BO les plus difficiles !

Tout-à-fait!

[Walden]

redécouverte de HOLOCAUST 2000 / THE CHOSEN, grâce à l'édition de Beat records

son excellent, musique superbe : une édition à ne pas rater qui rend compte de la richesse de cette partition. Débuter le disque avec le superbe "serie di tre" avec ce son hypnotique des flûtes vous met immédiatement dans l'ambiance...