The Omega Productions Records

[Dadid]

Je ne sais pas si ça fera plaisir à entendre, mais ça fait toujours plaisir à lire !

S'il y a Belle & Sébastien là-dedans et que vous pouvez obtenir les droits, n'hésitez pas, ça changera un peu du bis ! (quoi que Belle était en fait un chien, il devait donc bisser un peu partout... )

[TheOmegaProductions]

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[Dadid]

J'adore ces boites ! J'ai presque l'impression de sentir l'oxyde de fer des bandes...

[Lee Van Cleef]

Pour autant qu'il m'en souvienne, La Comtesse Noire ne dispose de rien de plus substantiel que son capiteux Love Theme, dont le disque du Lac des Morts-Vivants régale déjà à satiété. Ma mémoire, bien sûr, peut être traitresse comme pas deux. Il n'empêche, hésitation frileuse et doutes sournois m'assaillent déjà quant à l'hypothèse d'un achat futur...

[TheOmegaProductions]

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[TheOmegaProductions]

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[Sam Lowry]

Comme presque toujours dans le Z, film et musique, le contenant est plus intéressant que le contenu... mais ce n'est que mon avis personnel...

[TheOmegaProductions]

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[TheOmegaProductions]

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[DarkCat]

"Le Diable Rose" (1987 - avec Brigitte Lahaie).

Avec également Pierre Doris et le grand, que dis-je , l'immense Roger Carel !!

[TheOmegaProductions]

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[Lee Van Cleef]

Une "craignos pochette" qui en jette un maximum, des synthés comme dans le temps cherchant à agripper l'auditeur par le colbac pour le secouer aussi violemment qu'un prunier, et des souvenirs quelque peu fripés qui ne demandent qu'à s'extraire des entrailles d'une crypte moussue pour emperler les yeux du vieux Van Cleef de larmes bourrues : merci de tout coeur, monsieur Omega !

[TheOmegaProductions]

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[Lee Van Cleef]

Encore un chef-d'oeuvre psychotronique-la-Vierge-Marie surgi tel un diable bariolé de couleurs gueulardes du fond de la boîte à malices de monsieur Omega ! Le vieux Van Cleef n'ayant pas encore, à sa plus mortifiante honte, jeté ses filets sur La Revanche des Mortes Vivantes, il pourra, grâce au nouveau venu au faciès aussi coulant qu'un camembert oublié sous un soleil cruel, se racheter de l'omission infâme en faisant d'une pierre deux coups. Monsieur Omega, merci d'exister en ce triste monde !

[TheOmegaProductions]

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[Lee Van Cleef]

Livret de 12 pages, avec notes internes de Rurik Sallé.

Carton rouge, monsieur Omega ! L'album de Devil Story, s'ornant d'une trogne dégoulinante devant laquelle, envoûté par tant de caoutchouteuse hideur, je n'ai rien pu faire d'autre que déposer les armes, présente certes un livret... mais rédigé dans la seule langue de Chuck Norris (ou Dwayne Johnson, je sais plus). On ne vous reprochera pas de mettre tous les atouts de votre côté pour partir à la conquête du vaste monde. Mais, à l'instar de ce que font les petits gars prévenants de Music Box, il devait y avoir un moyen de proposer également ce texte en français, d'autant que son point final arrive à toute allure. Bon. Mobilisant les ressources entières de mon anglais de cul-de-basse-fosse, j'ai cru comprendre que le sympathique et très chauve Rurik Sallé mettait presque sur un pied d'égalité les duettistes de Devil Story et les compositions de John Carpenter. On lui laisse la responsabilité de ses assertions kamikazes. Ce qui reste certain, c'est que la chose décape, et rudoie même les tympans benoîts avec la sanglante violence d'une toile émeri. Du fin fond du tombeau, Bach ne doit toujours pas être revenu d'avoir été convié par le truchement de sa légendaire Toccata à une surboum aussi déguenillée.

[TheOmegaProductions]

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[DarkCat]

Je percute à l'instant sur le nom d'un des deux compositeurs de "Mad Mutilator", à savoir Patrick Giordano.
Est-ce le journaliste spécialisé en jeux vidéo, aussi connu sous le nom de Matt Murdock ?
Si oui, je serai curieux de savoir de quelle façon il est arrivé sur ce projet.
Merci.

[TheOmegaProductions]

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[DarkCat]

Merci.

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[Lee Van Cleef]

proposant en première mondiale le score intimiste de La Fiancée De Dracula.

En repensant à la ribambelle de disques édités par les preux héros de Finders Keepers autour du nom de Jean Rollin, prince des ruines médiévales et des succubes en tenue d'Eve, je n'en mettrais pas forcément ma main sous le fil du katana — à tout le moins, pas sans une préalable et scrupuleuse vérification ! Il n'empêche que cette nouvelle m'enchante. D'Aram est un type talentueux, qui appelle à une vraie (re)découverte de son oeuvre au lieu des quolibets amusés dont Rollin, à tort autant qu'à raison, fut la cible récurrente.

[TheOmegaProductions]

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[Lee Van Cleef]

Pour peu que l'on ne soit pas du genre à s'effaroucher d'un synthé glougloutant ni des langueurs fainéantes qui ne débouchent nulle part, il est possible de trouver à La Revanche des Mortes-Vivantes un petit quelque chose de lointainement accrocheur, et pourquoi pas de s'émouvoir de ses tentatives balourdes de figurer avec trois fois rien une messe noire impie. Mais soyez prévenus, gentlemen qui ignorez à quels maux fatals vous vous exposez : le diptyque Mad Mutilator/Trepanator est carrément synonyme de plongée en apnée dans les eaux d'encre de la bisserie musicale. A ce titre, les presque vingt minutes crachotant et couinant d'Ogroff's Electronic Suite ont toutes les apparences d'un crash-test auditif, voué non point à sauver des vies mais à détruire sans pitié. Cette expérience aux confins de l'horreur enfin achevée, les micro-pistes constituées des inénarrables gargouillis de victimes à l'agonie coulent ainsi qu'un onguent réparateur sur les pauvres restes des tympans lapidés. Bref, face à une si apocalyptique gabegie, une exclamation, une seule et unique, viendra spontanément aux lèvres des gens de raison encore debout. Puisse monsieur Omega nous entendre !