Sans aucun doute. Il est donc grand temps que le vieux Van Cleef convie l'original à réinvestir la scène lui revenant de droit.Edern a écrit :Dans ce cas, tu as certainement vu la version qui évacue le travail de Shoji (qui s'inspire pas mal de John Williams) pour le remplacer par des chansons du groupe Yello, comme ça a été rappelé par Rork.
A moi aussi, tiens. C'est malin !Dadid a écrit :Le thème est (re)parti pour me trotter dans la tête, comme à une époque lointaine, très lointaine...
Je ne connaissais pas du tout avant de lire ton message. J'ai essayé d'en voir des extraits mais ils sont tous bloqués 'hors japon". C'est dommage, ça à l'air sympa. Merci pour la découverte, je garde ça dans un coin de ma mémoire. Starfe a écrit :Désolé, je croyais t'avoir répondu. ................. je garde ça dans un coin de ma mémoire.
Tiens je viens de l'écouter, reçu le CD il y a quelques jours via YesAsia. C'est très chouette, du Hisaishi en mode un peu minimaliste/intimiste, voire contemplatif, quelques inclusions de synthés qui passent bien, globalement un score reposant et apaisant pour peu qu'on aime cette facette de Hisaishi, malgré quelques "envolées" orchestrales plus amples tout de même. Je ne sais pas trop de quoi le film parle mais il se dégage de la musique un côté un peu "ésotérique". Je ne trouve pas le mot qui conviendrait tout à fait, c'est à la fois poétique, beau, apaisant, un peu mystérieux, en forme de quête initiatique. Du coup le film m'intéresse, juste à cause de ce qu'il se dégage de cette partition, cela m'intrigue un peu je dois l'avouer.Denshaotoko a écrit :Hisaishi a signé la musique d'un long métrage présenté cette année à Annecy, Les enfants de la mer. Sortie du film le 10 juillet (distribué par Eurozoom, une ptite compagnie très réactive je trouve!)
Attention, il y aussi de la musique très symphonique, celle jouée (à l'écran) par les élèves du lycée ! Il ne faut pas se laisser endormir par les morceaux "sound design", cette béo est bien plus éclectique! (et d'aillerus, les morceaux "sound design" semblent avoir été inspirés par John Adams, par instants, tant le minimalisme est travaillé, bien au-delà de la simple répétition mécanique de motifs…)Dadid a écrit :Difficile de faire abstraction de la pluie ajoutée sur la vidéo, mais sur les extraits "normaux" (premier lien), j'aime bien cette sensibilité, ce dépouillement. Sans l'image, je ne pense pas que ça m'accrochera sur la durée, ou alors en lisant par exemple... C'est à la frontière de la musique et du sound design, et pourquoi pas ? En tous cas ça me donne envie de voir le film.
L'inconvénient de zapper trop vite... Je n'avais pas écouté les extraits du CD 2, et rien de ce CD ne transparait sur la vidéo... M'en vais m'y replonger dans ce cas, d'autant que, oui, j'apprécie le côté organique de ce minimalisme, qui évolue à pas feutrés ! Est-ce pour maintenir cette progression minimaliste qu'ils ont séparé les parties plus classiques sur le CD 2 ? Ah, pour le coup, je ne savais pas que les parties symphoniques ne relevaient pas du même compo, le générique original ne le mentionnait pas de façon claire, hélas… Mais cette page le montre de façon claire. Merci, Lee, pour ces précisions!Lee Van Cleef a écrit :Partition hautement schizophrène que ce Liz to Aoi Tori, languissante réclame pour Lexomil d'un côté de la barrière, où le murmure de la pluie ne fait que consolider le sentiment de vivre un dimanche après-midi cafardeux, et lente reptation vers une plus conventionnelle coda de l'autre côté (que l'on ne doit plus à Ushio, cette fois, mais à Akito Matsuda). Pour ma part, j'ai surtout apprécié ces petites touches impressionnistes, gracieuses et jolies, qu'irise le souffle mêlé de la flûte et du hautbois. A elles seules, ces friandises suffisent à attiser la curiosité envers un film de très accorte notoriété.
GoldoCrack mon ami ! Moi, j'ai cru que tu parlais du dessin animé de mon enfance !Lee Van Cleef a écrit : autrement dit, Goldorak (mais si, voyons, souvenez-vous)
...... Ceci étant, la jaquette m'a bien fait marrer ! 
