Stelvio Cipriani

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Fancini
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Re: Stelvio Cipriani

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:!:

"Black Spider"?!!
édition cd??? où ça?
Rodolphe738
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Re: Stelvio Cipriani

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chez UBM media
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Julien
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Re: Stelvio Cipriani

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Pas toujours évident de s'y retrouver dans le flot des éditions CD consacrées au maestro italien. D'autant qu'il y a des choses très inégales. Je me permet donc de déblayer un peu le terrain.

Donc après écoute, voici ma petite sélection de trois scores du maestro, qui figure à mon avis parmi ses plus belles réussites :

Image Image Image

Pour les amateurs de romance kitch mélancolique, je recommande chaudement le méconnu Timanfaya. J'aimerais bien visionner Blondy de Sergio Gobbi mais le film est quasiment introuvable. Je crois qu'il est seulement visionnable en streaming. Cipriani a toujours eu le chic de composer des musiques pour des trucs absolument introuvables ! Sinon j'ai relevé une erreur dans le livret d'Enfantasme. L'auteur mentionne deux morceaux avec la voix d'Edda Dell'Orso, alors qu'on ne l'entend nulle part ! Le disque est totalement instrumental.
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Lee Van Cleef
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Re: Stelvio Cipriani

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Ma parole, tes joutes "ciprianiennes" pour le moins homériques avec l'obstiné Rodolphe semblent te manquer ! Hélas, ce n'est pas le vieux Van Cleef qui t'aidera à ressusciter cette joyeuse foire d'empoigne, car pour ce qu'il lui a été donné d'entendre des trois disques suscités, le cadavérique doyen d'UnderScores est sur la même longueur d'ondes que toi. Blondy est en effet une jolie réussite, saupoudrée de sucre candi par un Cipriani ayant eu, comme à l'accoutumée, la main généreusement lourde. Et le thème de Timanfaya (un de ces jours, il faudra vraiment que je me décide à attaquer la suite) ruisselle d'un romantisme too much que l'audacieux gaillard revendique avec son plus bel aplomb.
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Kevin95
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Re: Stelvio Cipriani

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Je me greffe aux avis positifs autours des scores de Blondy et d'Enfantasme (alias L'Enfant de la nuit alias Les Innocents aux petits pieds). Comme quoi, l'ami Sergio Gobbi a (durant les seventies) souvent eu bon gout en matière de bandes originales (Cosma lui offrit une de ses plus belles partitions avec Maldonne et Garvarentz put laisser parler le soul man en lui).

Durant la (courte) période française de Stelvio Cipriani, il ne faut pas non plus oublier sa partition mélancolique et superbe pour le melvillien Le Mataf.
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Julien
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Re: Stelvio Cipriani

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Ah Le Mataf, je l'ai encore jamais vu. Encore une rareté !
Lee Van Cleef a écrit :Ma parole, tes joutes "ciprianiennes" pour le moins homériques avec l'obstiné Rodolphe semblent te manquer !
Ah ouais. D'autant que l'animal m'avait promis de m'envoyer des extraits rarissimes d'une compil CAM contenant des extraits de Piccole Labbra, un autre bijou de Cipriani encore jamais édité. Je sais d'ailleurs pas où il a dégotté un tel enregistrement, le disque n'est même pas référencé. Mais bon depuis le temps que l'ami Rodolphe ne vient plus trainer ses guêtres sur underscores, je crois que je peux faire une croix dessus.
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Kevin95
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Re: Stelvio Cipriani

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Julien a écrit :Ah Le Mataf, je l'ai encore jamais vu. Encore une rareté !
Le score est sorti chez GDM couplé avec le plus dispensable Il richiamo del lupo. Quand au film, le DVD René Château est dispo facilement pour moins de dix euros. ;)
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Lee Van Cleef
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Re: Stelvio Cipriani

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Julien a écrit :Je sais d'ailleurs pas où il a dégotté un tel enregistrement, le disque n'est même pas référencé.
Tu dois vouloir parler de cette édition-là, j'imagine. Du Cipriani au menu, mais aussi une petite ribambelle d'autres choses qui ne me semblent absolument pas inintéressantes. Néanmoins, comme tu le faisais remarquer avec une pointe de découragement, seule l'intervention inopinée de la Providence pourrait mettre ce vinyle, épuisé depuis belle lurette, sur le chemin du béophile farfouilleur.
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Julien
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Re: Stelvio Cipriani

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Apparemment c'est pas ce disque là. Bien essayé en tout cas ! Rodolphe m'avait dit qu'on y trouvait seulement la musique de Piccole Labbra, couplée à Memoria. Un film de SF obscur qui a l'air d'être un sacré ovni. Je t'ai dit, avec Cipriani, en terme de curiosité inénarrable on est jamais déçu... J'ai fait des recherches mais le disque est quasi introuvable et nulle part référencé sur le web. On s'était bien pris la tête là dessus... Après, je me méfie aussi de l'ami Rodolphe. Le mec est pas souvent très clair, alors aussi bien, il peut très bien s'agir de ce disque là ! Disque alléchant sinon c'est vrai, d'autant que le Suor Emanuelle, est lui aussi une vrai rareté et c'est plutôt pas mal ! Je l'aurais bien acheté mais pour le dégotter à un prix raisonnable par contre... Oui je suis un peu déçu quand même que la musique de Piccole Labbra ne soit jamais sorti. Pourtant des Cipriani il en sort à la pelle. Des trucs parfaitement oubliables en plus.... Mais celui-là nada ! Il doit y avoir un os quelque part mais bon je garde espoir.
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DarkCat
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Re: Stelvio Cipriani

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Un pote béophile m'a récemment dit le plus grand bien du récent coffret "FEMINA RIDENS / LA MORTE CAMMINA CON I TACCHI ALTI / L'IGUANA DALLA LINGUA DI FUOCO" (chez Digitmovies).
Vos avis, chers spécialistes ciprianiens ?
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Lee Van Cleef
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Re: Stelvio Cipriani

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Des trois opus en question, je ne connais que le sympatoche et rythmé, mais finalement très dispensable Femina Ridens, qu'il ne me viendrait jamais à l'esprit d'inclure en bonne place au sein d'un best of Cipriani. L'Iguana Dalla Lingua di Fuoco jouit, en revanche, d'une réputation autrement plus élogieuse, bien que son appartenance au giallo promette sans nul doute plusieurs de ces encarts atonaux et grinçants qui n'ont jamais été ta tasse de thé (ou ta soucoupe de lait, monsieur le greffier).
Prince Caspian
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Re: Stelvio Cipriani

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Au contraire je trouve ce FEMINA RIDENS indispensable car il déploie toute la versatilité du talent de Cipriani et constitue un bel instantané sonore de l'époque psychédélique. Quant aux deux autres gialli, on y trouve des mélodies plus charmeuses entrecoupées effectivement de passages tendus. Au total un triple cd que je recommande sans hésitation aux fans.
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Julien
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Re: Stelvio Cipriani

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Oui Femina Ridens c'est vrai qu'il est trés réputé, en particulier chez les amateurs de lounge et de pop psychédélique. Moi je suis pas plus fana que ça. Et puis le thème principal louche un peu trop sur Francis Lai. Cipriani ne s'en est jamais vraiment vanté mais je pense quand même qu'il lui a emprunté pas mal de truc. Dans Enfantasme il utilise par exemple le synthé (l'arp odyssey je pense) de manière très similaire au thème de Bilitis. Il y a un morceau détonnant que j'aime bien, assez barré pour basse, clavecin et violons avec une voix féminine qui fait des sortes de vocalises hoquetantes par dessus. Un truc qu'il a d'ailleurs réutilisé sur d'autres scores. Le film par contre est assez oubliable. Il bénéficie d'un certains culte j'ai l'impression sur les blogs internet, mais en fait ça casse pas trois patte à un canard ! Je connais pas l'Iguana. Faudrait que je m'y penche dessus. Je pense pas quand même que ça soit très atonal car c'est pas tellement la marque de fabrique de Cipriani ! Le mec est quand même assez limité dans son registre musical, contrairement par exemple à un Morricone ou même un Bruno Nicolai. La Morte, je m'en souviens plus trop mais ça ne m'avait pas marqué plus que ça. Dans le genre giallo, sa musique pour La baie Sanglante de Bava est vraiment bien. Bon après ça dépend des goûts. Moi c'est vrai que c'est surtout les morceaux pour piano que j'apprécie chez Cipriani. je suis un peu moins sensible aux thèmes plus lounge ou groovy. C'est d'ailleurs là-dessus qu'on s'était empoigné avec Rodolphe !
Prince Caspian
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Re: Stelvio Cipriani

Message non lu par Prince Caspian »

C'est vrai que les similitudes avec Francis Lai sont réelles mais je crois que son style serait un mix entre Lai et Mancini.
Rodolphe738
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Re: Stelvio Cipriani

Message non lu par Rodolphe738 »

Voici un documentaire très intéressant sur Stelvio Cipriani avec en bonus une petite interview d’Ennio Morricone et Alberto de Martino revenant sur leurs collaborations (L'Antéchrist )
Enjoy !

Rodolphe738
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Re: Stelvio Cipriani

Message non lu par Rodolphe738 »

Dans la série « il n’est jamais trop tard pur se faire plaisir » j’ai déniché un petit best off pour se ravir les oreilles sans modération et aussi découvrir tout le panel musical de ce compositeur que j’apprécie vraiment beaucoup. ;)

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Lee Van Cleef
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Re: Stelvio Cipriani

Message non lu par Lee Van Cleef »

Rodolphe738 a écrit :Voici un documentaire très intéressant sur Stelvio Cipriani avec en bonus une petite interview d’Ennio Morricone et Alberto de Martino revenant sur leurs collaborations (L'Antéchrist )
Enjoy !

Dommage que l'interview du Maestro, apparemment issue des tiroirs de l'éditeur vidéo Blue Underground, consiste surtout en un bout-à-bout maladroitement couturé de réponses embryonnaires. Si Morricone avait réellement quelque chose d'intéressant à dire au sujet de sa ténébreuse musique (rarement les cordes auront si impitoyablement cisaillé mon système nerveux), il n'en subsiste plus grand-chose... Cipriani, pour sa part, est logé à plus confortable enseigne. On le voit longtemps s'épandre sur ses débuts dans l'industrie, confesser une admiration éperdue pour Dimitri Tiomkin qui l'aurait influencé de façon décisive (sur ce point quelque peu surprenant, on n'est pas obligé de faire à l'ami Stelvio une confiance aveugle) et revenir sur une brouette de scores testostéronés grâce auxquels il s'est vu sacrer roi du poliziottesco. Il est vrai que son fameux et récurrent ostinato, signature reconnaissable entre mille, a imprimé sur les tympans des amateurs du cinéma populaire européen des traces aussi indélébiles que celles provoquées par les coups de flingue des vigilantes sûrs de leur bon droit, des flics jusqu'au-boutistes et de la racaille anarchiste.
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Lee Van Cleef
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Re: Stelvio Cipriani

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De l'art et la manière de cuisiner un unique thème sans plonger l'auditoire dans un gouffre d'ennui. Avec Gli Angeli Dalle Mani Bendate, composé pour ce qui semble être un semi-documentaire sur le monde de la boxe et ses champions de légende, Cipriani monte sur le ring et assène à répétition le même leitmotiv. Comme un cogneur de dernière catégorie, trop obtus pour tenter autre chose qu'un sempiternel crochet au foie, pourrait-on estimer. Que nenni ! Il a beau n'avoir dans son arsenal qu'un seul thème, très simplement échafaudé par ailleurs, le camarade Stelvio ne paresse pas pour autant et le fait passer par toutes les couleurs d'un champ qu'on qualifiera, un peu à la diable, de jazzy-bluesy-cheesy-folk, avec piano bastringue, guimbarde, banjo, clarinette, saxophone, mélopée boudeuse et tout le saint-frusquin. Au bout du quinzième round, il aura même réussi (bon allez, presque) la gageure d'éviter cette fâcheuse impression de déjà-entendu qui, sur la durée, finit par assécher la grande majorité des disques italiens.
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Lee Van Cleef
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Re: Stelvio Cipriani

Message non lu par Lee Van Cleef »

Au moins, avec Speed Driver, il n'y a pas tromperie sur la marchandise que laissent entrapercevoir son titre furieusement B et sa pochette zébrée en tous sens par des deux-roues cinglés. Cipriani carbure au super sur les deux tiers d'un track-listing moins redondant qu'à l'accoutumée, s'adonne à ses inclinations sucrées le reste du temps, et incruste même un gramme de fantaisie dans ce récital huileux grâce à une relecture qui ne dit pas son nom du Zarathoustra de Strauss. L'un des titres les plus divertissants du père Stelvio.
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Mortimer
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Re: Stelvio Cipriani

Message non lu par Mortimer »

Ce n'est vraiment pas une bonne journée :( . Après Aznavour j'apprends le décès du compositeur Stelvio Cipriani
Plus on est nombreux à penser la même chose,
moins il vient à l'idée qu'on pourrait tous avoir tort.
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Lee Van Cleef
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Re: Stelvio Cipriani

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Même la vieille rengaine appelée "Nos Chers Disparus", qu'aime à entonner avec moult trémolos le commun des mortels en de funéraires circonstances, ne devrait point réussir, je le crains, à canoniser une bonne fois pour toutes un Cipriani toujours tenu à l'écart des Grands de Cinecittà, les Morricone, Piccioni, Bacalov et consorts. Pas suffisamment racé (tout au plus le tient-on pour un reître lorgnant systématiquement la facilité), pas assez auréolé de prestige (sa filmographie semble un aimant géant pour les basses besognes musicales), feu Stelvio en entendit plus souvent qu'à son tour des vertes et des blettes. Mais le béophile gastronome, gourmand des rouges faits d'armes de mystérieux assassins gantés de cuir et des moustaches ébouriffées d'un Maurizio Merli n'aimant pas qu'on transige avec la Loi, sait de très ancienne date quelle dette, rien moins que primordiale, doit le cinéma populaire transalpin au valeureux compositeur. Ciao, l'artiste !
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Mortimer
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Re: Stelvio Cipriani

Message non lu par Mortimer »

La dernière galette que j’ai acheté de lui n’avait rien à voir avec des polars moustachus mais plutôt une blonde bien airbaguée. Le fameux SHE avec Ophélie Winter. Qui est d’ailleurs Sold Out maintenant ! Titre que j’avais acheté plus par curiosité et qui est très loin d’être le meilleur score du maestro. Il reste d’autres titres chez Kronos que je devrais me prendre avant qu’ils ne disparaissent aussi. La plupart de ces titres étant limités à 300 exemplaires.
Plus on est nombreux à penser la même chose,
moins il vient à l'idée qu'on pourrait tous avoir tort.
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Lee Van Cleef
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Re: Stelvio Cipriani

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Mortimer a écrit :Il reste d’autres titres chez Kronos que je devrais me prendre avant qu’ils ne disparaissent aussi. La plupart de ces titres étant limités à 300 exemplaires.
Comme le sont d'ailleurs à peu près tous les autres titres transalpins des années fastes, que ce soit chez Kronos ou dans la devanture de n'importe quel autre label spécialisé en partoches all'italiana. Cela dit, maintenant que j'y réfléchis, je me rends compte que ces albums atteignaient il y a encore trois ou quatre ans la plus confortable barre des 500 unités. Le petit cercle des amateurs incorruptibles de Cinecittà aurait-il perdu quelques ouailles ?
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Mortimer
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Re: Stelvio Cipriani

Message non lu par Mortimer »

C'est toujours 500 chez Quartet et la plupart sont "Sold Out"
Donc il reste quand même quelques fans, sûrement des vieux :mrgreen: , à travers le monde. Certainement des italiens en grande majorité qui ont une certaine nostalgie de cette période de l’histoire du cinéma transalpin. Comme certains français le sont pour des scores de films de l’hexagone datant des années 70. Et qui guettent impatiemment la moindre sortie Music Box.
Plus on est nombreux à penser la même chose,
moins il vient à l'idée qu'on pourrait tous avoir tort.
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Julien
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Re: Stelvio Cipriani

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Hommage :

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