James Horner, le topic
Re: James Horner, le topic
Exact! Et puis c'est quoi la finesse, en musique ? La trouve-t-on forcément dans une musique calme, chambriste ? C'est bien une certaine finesse de l'écriture de Williams jusque dans ses moment spectaculaires (même la marche impériale en fait preuve dans sa partie médiane) qui l'a fait apprécier de personnes connaissant la musique, certains critiques ou d'autres compositeurs par exemple. Par ailleurs les BO sans grandiloquence sont certainement les plus nombreuses dans sa filmo.
Mais revenons à Horner : il ne se prive pas d'éviter une finesse excessive quand nécessaire, par exemple dans Braveheart (ne serait-ce que les plages à base de percussions), sans parler de Commando, 48 heures et bien d'autres... Pourquoi généraliser ? Par contre, oui, il y a de la richesse harmonique chez Horner, un goût pour la recherche de timbres qu'un mixage doit savoir relayer correctement, c'est une des choses que j'apprécie chez lui. Mais il n'est pas le seul, très loin de là!
Mais revenons à Horner : il ne se prive pas d'éviter une finesse excessive quand nécessaire, par exemple dans Braveheart (ne serait-ce que les plages à base de percussions), sans parler de Commando, 48 heures et bien d'autres... Pourquoi généraliser ? Par contre, oui, il y a de la richesse harmonique chez Horner, un goût pour la recherche de timbres qu'un mixage doit savoir relayer correctement, c'est une des choses que j'apprécie chez lui. Mais il n'est pas le seul, très loin de là!
Re: James Horner, le topic
On généralise pour avoir une image générale d'un compositeur. Il est arrivé à Horner de ne pas faire dans la finesse et à Williams d'être sensible. Mais globalement, si on regarde leur carrière avec du recul, ce n'est pas cette image qu'ils ont laissée de leur musique.
À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-chose, et pourtant, nous jouissons d’une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative plaisante à écrire et à lire. Mais l’amère vérité, qu’il nous faut bien regarder en face, c’est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que la critique qui le dénonce comme tel.
Re: James Horner, le topic
Je réécoute ces musiques assez régulièrement, surtout Memoirs of a Geisha, que je trouve très hornerienne d'ailleurs...Ballanmire a écrit :Je ne peux que t'inviter à réécouter Images, Jane Eyre, Memoirs of a geisha ou plus récemment BFG pour retrouver la finesse de Williams.
À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-chose, et pourtant, nous jouissons d’une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative plaisante à écrire et à lire. Mais l’amère vérité, qu’il nous faut bien regarder en face, c’est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que la critique qui le dénonce comme tel.
Re: James Horner, le topic
Reçu et écouté la nouvelle édition de An American Tail. Comme prévu (vu le compositeur et l'époque du film) rien n'est à jeter dans cette galette Intrada, bien au contraire : elle enrichit principalement l'album original de passages mouvementés (voire agressifs, toutes proportions gardées), équilibrant un peu mieux sa joliesse mélodique et annonçant au passage les saillies "cartoon" d'un Honey, I Shrunk the Kids. Bref, les producteurs du LP auraient mieux fait (puisque ce fut soupesé) de passer au CD pour nous livrer d'emblée une galette plus complète.
- Lee Van Cleef
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Re: James Horner, le topic
C'est très loin d'être la première fois qu'on en fait la remarque, et gageons avec une paisible assurance que moult autres suivront encore, mais il n'y a là nul prétexte à garder bouche close pour autant : le James Horner des années 80, ça envoyait méchamment du palissandre ! La preuve, étincelante de mille feux, même s'il n'y a en l'occurrence plus grand besoin de démontrer quoi que ce soit, grâce à An American Tail qui parade avec la casquette (presque) neuve que lui a briquée très méticuleusement Intrada. A l'écoute, on sourit tel un gamin face à un sapin croulant sous les chamarrures de Noël, on savoure ces effluves de magie que le traître écoulement du temps n'a pas réussi à gommer, on écrase une petite larme mélancolique, quand même, en songeant à l'ère enchantée où Don Bluth tirait à lui tout seul l'animation américaine vers le haut — bref, on béé de ravissement, cueilli sans se faire prier par la dextérité avec laquelle Horner nous guide au milieu des périls du Nouveau Monde.
- Misquamacus
- Darkman
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Re: James Horner, le topic
Amen Old Man. Et filez-moi un Alléluia pour faire bonne mesure.
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
Re: James Horner, le topic
Je me refais l'intégrale de Braveheart, et j'ai juste envie de vous dire que le passage entre 1:27 et 3:00 de Sons of Scotland (alt.) sur le deuxième CD est pour moi l'une des choses les plus somptueuses qu'Horner ait jamais faites. Rien que ça.
- Le Yéti
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Re: James Horner, le topic
Pareil que mes compères plus haut : Fievel et le Nouveau Monde c'est un sourire d'une oreille à l'autre en re-découvrant les immanquables mélodies originales et en découvrant les thèmes oubliés. Malgré mon mètre 86, je ne suis pas le plus grand fan d'Horner, mais c'est un chef d'œuvre, d'une note à l'autre.
EDIT : Oh la la, "Down in the Sewer / Chase in the Mauler's Den" et "Gussie's Plan" m'ont vraiment manqué. Je suis tout ému.
EDIT : Oh la la, "Down in the Sewer / Chase in the Mauler's Den" et "Gussie's Plan" m'ont vraiment manqué. Je suis tout ému.
Re: James Horner, le topic
Le plus beau moment de ce score monumental reste toujours pour moi la mise en musique du poème d'Emma Lazarus "Le nouveau colosse", gravé sur le socle de la statue de la Liberté, une merveilleuse ode à l'humanité :
"Donne-moi tes pauvres, tes exténués,
Tes masses innombrables aspirant à vivre libres,
Le rebus de tes rivages surpeuplés,
Envoie-les moi, les déshérités, que la tempête me les rapporte
Je dresse ma lumière au-dessus de la porte d’or !".
Plus que jamais d'actualité !
"Donne-moi tes pauvres, tes exténués,
Tes masses innombrables aspirant à vivre libres,
Le rebus de tes rivages surpeuplés,
Envoie-les moi, les déshérités, que la tempête me les rapporte
Je dresse ma lumière au-dessus de la porte d’or !".
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À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-chose, et pourtant, nous jouissons d’une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative plaisante à écrire et à lire. Mais l’amère vérité, qu’il nous faut bien regarder en face, c’est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que la critique qui le dénonce comme tel.
Re: James Horner, le topic
Il manque GRAND à ta phrase, non ?Le Yéti a écrit :Malgré mon mètre 86, je ne suis pas le plus fan d'Horner, mais c'est un chef d'œuvre, d'une note à l'autre.
Re: James Horner, le topic
Je comprends ! C'est aussi une de mes partitions préférées de cette période, dont la moyenne culmine pourtant au plus haut niveau du chef-d'oeuvromètre. Et un des meilleurs Horner également, ce qui veut dire beaucoup vu ce que le monsieur nous a légué. Je ne suis pas non plus son plus grand fan dans la mesure où je ne mesure qu'un mètre 71 et apprécie moins sa dernière période (avec des exceptions), mais si j'additionne les plaisirs et même l'ivresse musicale dispensés par la majorité des titres d'Horner s'alignant sur mon étagère, je me dis... Je ne sais pas, tiens. Ce fut LE nouveau compositeur de la période 80-90 (les inoxydables JW et JG étant d'une autre génération), qui a bien mérité le succès et surtout la reconnaissance rencontrés de son vivant.
- Le Yéti
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Re: James Horner, le topic
Y'a clairement pas grand chose à jeter des années 80 de Horner : de Star Trek 2 à Rocketeer (bon, ce sont les années 90), c'est impeccable.
Re: James Horner, le topic
Quand je suis allé à New York (pour la première fois, l'année dernière), en approchant la statue de la liberté, je n'ai pu empêcher mon esprit d'entendre, et ma voix chevrotante de chanter le fameux "Give Me Your Tired, Your Poor.........." merveilleusement mis en musique par Horner. Tiens, rien qu'en écrivant cela, j'en ai des frissons.Jimbo a écrit :Le plus beau moment de ce score monumental reste toujours pour moi la mise en musique du poème d'Emma Lazarus "Le nouveau colosse", gravé sur le socle de la statue de la Liberté, une merveilleuse ode à l'humanité :
"Donne-moi tes pauvres, tes exténués,
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Un accusé est cuit quand son avocat n'est pas cru. (Pierre DAC)
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Re: James Horner, le topic
Et voilà déjà 4 ans que le maestro est parti vers d'autres cieux
Put... qu'est-ce qu'il peut manquer !
The Man Without a Face
Bah c'est malin je chiale maintenant
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Re: James Horner, le topic
Dans les années 80, je trouve quand-même plus faibles une bonne moitié des musiques qu'il a composées, souvent plus dramatiques (même s'il y en a certaines que j'aime beaucoup aussi, mais juste pas autant) comme Le monstre de la mer, Wolfen, La main du cauchemar, 200 000 dollars en cavale, Rascal & Robbers, 48 heures, La foire des ténèbres, Le dernier testament, L'habilleur, Gorky Park, The Stone Boy, Heaven Help Us, Surviving, Quand la rivière devient noire, Le nom de la rose, P.K. and the Kid, Double détente, Vibes, Un héros comme tant d'autres,... Dans les années 80, on sent que le Horner "dramatique" est en train de naître et qu'il s'épanouit plus à travers des scores d'aventure. Cette faiblesse continue au début des années 90 et il s'épanouit en 1993 avec des scores comme L'homme sans visage et A la recherche de Bobby Fischer, jusqu'à Légendes d'automne en 1994 qui signe définitivement la naissance de la puissance dramatique de James Horner. Dès 1995 avec Appolo 13 et Braveheart, il confirme, et devient pour toujours un maître du dramatisme, tout simplement le meilleur compositeur du genre.Le Yéti a écrit :Y'a clairement pas grand chose à jeter des années 80 de Horner : de Star Trek 2 à Rocketeer (bon, ce sont les années 90), c'est impeccable.
Pour James Horner, les années 80 s'arrêtent en 1995 avec Balto et Casper et il délaissera pour toujours les dessins animés et se concentrera désormais sur des projets plus réalistes.
À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-chose, et pourtant, nous jouissons d’une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative plaisante à écrire et à lire. Mais l’amère vérité, qu’il nous faut bien regarder en face, c’est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que la critique qui le dénonce comme tel.
Re: James Horner, le topic
GORKY PARK faible ??? Je trouve que c'est carrément une de ses meilleures musiques, complexe et émotionnellement riche en même temps !
Un accusé est cuit quand son avocat n'est pas cru. (Pierre DAC)
Re: James Horner, le topic
Ah non , le truc faible voir nul c'est bien VIBES et ses synthés misérables.
- Le Yéti
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Re: James Horner, le topic
J'ai beaucoup de mal avec le Horner de la fin des années 90 et du début des années 2000 avec un gros rejet pour des partitions comme Avatar ou Troy.
MAIS, c'est plutôt normal : je préfère une période à une autre, surtout qu'il s'agit de films qui m'ont bercé et accompagné durant mon enfance. Un peu la même chose qu'avec Williams où certains rejettent en bloc les années 2000 car son style a largement évolué.
Et j'ai aussi un gros faible pour les synthés de Horner en fait
MAIS, c'est plutôt normal : je préfère une période à une autre, surtout qu'il s'agit de films qui m'ont bercé et accompagné durant mon enfance. Un peu la même chose qu'avec Williams où certains rejettent en bloc les années 2000 car son style a largement évolué.
Et j'ai aussi un gros faible pour les synthés de Horner en fait
- Edern
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Re: James Horner, le topic
De mon côté, c'est sa période "faible" que je préfère ! Même avec ses synthés : j'aime beaucoup Where the River Runs Black par exemple.
J'ai beaucoup de mal avec son travail post-Braveheart (à part Mask of Zorro et Mighty Joe Young peut-être ?). Comme Le Yéti, Troy et Avatar ne m'ont jamais séduit, mais il y en a plein d'autres de cette période qui me laissent de marbre (mais bizarrement j'aime beaucoup l'etheré House of Sand and Fog).
Toutefois, je commençais à retrouver un plaisir renouvelé dans ses derniers travaux, comme The 33, Le Dernier Loup et Living in the Age of Airplanes.
J'ai beaucoup de mal avec son travail post-Braveheart (à part Mask of Zorro et Mighty Joe Young peut-être ?). Comme Le Yéti, Troy et Avatar ne m'ont jamais séduit, mais il y en a plein d'autres de cette période qui me laissent de marbre (mais bizarrement j'aime beaucoup l'etheré House of Sand and Fog).
Toutefois, je commençais à retrouver un plaisir renouvelé dans ses derniers travaux, comme The 33, Le Dernier Loup et Living in the Age of Airplanes.
>> Mon échoppe à CD <<
Re: James Horner, le topic
Where the River Runs Black est mille fois mieux maîtrisé que Vibes qui je le répète est assez indigne de l'auteur du Nom de la Rose, mais j'imagine que le budget bof de ce nanar était réduit à la portion congrue.
Mighty Joe Young est pour moi une de ses bof les plus magistrale , tout son style s'y exprime et la fureur percussive y est incroyablement jouissive.
Mighty Joe Young est pour moi une de ses bof les plus magistrale , tout son style s'y exprime et la fureur percussive y est incroyablement jouissive.
Re: James Horner, le topic
De tous ses derniers travaux, c'est celui qui m'a le plus impressionné. Je la trouve grandiose cette musique. A ranger parmi ses plus belles selon moi.Living in the Age of Airplanes.
Re: James Horner, le topic
Dans les oeuvres absolument remarquables post-Braveheart je citerais : Casper, Apollo 13, Balto, The Spitfire Grill, Titanic (bien sûr), Deep Impact, Le masque de Zorro, Mon ami Joe, L'homme bicentenaire, En pleine tempête, Stalingrad, Un homme d'exception, Frères du désert, Troie, La légende de Zorro, Le nouveau monde, Les chroniques de Spiderwick, Avatar, Karate Kid, Or noir, Cristeros, The Amazing Spider-Man, Le dernier loup, Living in the Age of Airplanes. Il y a vraiment de quoi se faire plaisir sur ces 20 années de travail musical.Edern a écrit : J'ai beaucoup de mal avec son travail post-Braveheart (à part Mask of Zorro et Mighty Joe Young peut-être ?). Comme Le Yéti, Troy et Avatar ne m'ont jamais séduit, mais il y en a plein d'autres de cette période qui me laissent de marbre (mais bizarrement j'aime beaucoup l'etheré House of Sand and Fog).
Tout n'est pas à jeter dans Vibes, il y a quelques morceaux avec les instruments ethniques qui sont vraiment épatants. Le fantastique The Journey Begins vaut à lui seul l'écoute de cet album... Cela reste un Horner mineur, mais c'est une partition très expérimentale qui nous rappelle que Horner savait aussi prendre des risques, être audacieux musicalement et ne pas se contenter des recettes éculées.Ah non , le truc faible voir nul c'est bien VIBES et ses synthés misérables.
À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-chose, et pourtant, nous jouissons d’une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative plaisante à écrire et à lire. Mais l’amère vérité, qu’il nous faut bien regarder en face, c’est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que la critique qui le dénonce comme tel.
- Edern
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Re: James Horner, le topic
La plupart des titres que tu cites Jimbo m'ont laissé de marbre, malgré leur qualité, désolé. Je pense que c'est dû au style adopté par Horner dans cette période (qui, la plupart du temps me semblait soit pompeux, soit ennuyeux). C'est réellement avec ses ultimes travaux que je me suis remis à écouter avec plaisir ses albums.
Par contre, je suis d'accord avec toi au sujet de Vibes Il doit y avoir un post ou deux signés où j'avoue apprécier son écoute.
Par contre, je suis d'accord avec toi au sujet de Vibes Il doit y avoir un post ou deux signés où j'avoue apprécier son écoute.
>> Mon échoppe à CD <<
Re: James Horner, le topic
J'ai découvert Karaté Kid tout recemment et quelle tuerie! (pour un film aussi bof...)
Notamment le morceau Master and Student.
Quel sens de la montée en charge, de la modulation, du thème qui te fait frissonner..
Plus le temps passe plus je pense que l'industrie hollywoodienne n'a toujours pas réalisé ce qu'on a perdu avec la mort de James Horner.
On a perdu l'âme enfantine, le mystère, le rêve dans les films américains. C'est ce qu'apportait James Horner.
Je me délecterais toujours de ses fabuleux enregistrements au Todd AO scoring stage. Studio d'enregistrement qui n'a aucun équivalent aux
USA. Il suffit d'écouter les derniers star wars pour se rendre compte que Todd AO avait une acoustique inégalée.
Les bandes originales enregistrées au Fox Scoring Stage ou Warner Bros ont la facheuse tendance à sonner plates, très plates.
Bon, je m'égare.
Notamment le morceau Master and Student.
Quel sens de la montée en charge, de la modulation, du thème qui te fait frissonner..
Plus le temps passe plus je pense que l'industrie hollywoodienne n'a toujours pas réalisé ce qu'on a perdu avec la mort de James Horner.
On a perdu l'âme enfantine, le mystère, le rêve dans les films américains. C'est ce qu'apportait James Horner.
Je me délecterais toujours de ses fabuleux enregistrements au Todd AO scoring stage. Studio d'enregistrement qui n'a aucun équivalent aux
USA. Il suffit d'écouter les derniers star wars pour se rendre compte que Todd AO avait une acoustique inégalée.
Les bandes originales enregistrées au Fox Scoring Stage ou Warner Bros ont la facheuse tendance à sonner plates, très plates.
Bon, je m'égare.