Toc-toc, Badaboum ! Revoilà votre serviteur. D'accord, vous allez dire "oh, l'autre, ce qu'il est relou avec ses vieux machins". Oui, peut-être. Mais vous n'êtes pas obligés de lire. D'ailleurs la majorité d'entre vous ne le fait pas.
Mais quand même, je continue, vent debout. Et cette fois, c'est pour vanter les mérites d'un bien beau cd édité par Naxos il y a quelques années. Vous auriez bien tort, croyez-moi gentlemen, de passer à côté. Les charmes bucoliques de la musique de Virgil Thomson sauront aisément vous convaincre.

Ah l'Ouest américain ! Ces grands espaces !
Venez donc gouter aux superbes mélodies, certes d'un autre âge, d'un géant de la musique (et pas seulement de film).

Merci Old Sam !
C'est vrai que ce score est une putain de tuerie.
Il est certain que j'aimerai que les compositeurs actuels s'inspirent plus des musiques de Moross que de celles de Zimmer. Mais bon, il suffit peut-être d'avoir les bons arguments...

Le camarade au curieux pseudo (mais pas tant que ça) de Dadid vous a concocté un petite merveille de texte qui n'aura comme autre objectif que de vous enjoindre précipitamment à écouter ce chef d'oeuvre de l'ami Elmer Bernstein. Et pour ceux qui auraient commis le crime de n'avoir aucune des versions disponibles de TO KILL A MOCKINGBIRD, c'est l'occasion de réparer cette incommensurable erreur !

Quel superbe documentaire sur Maitre Jerry ! de Mattis Boquier dans lequel intervient notre Olivier "Hellboy" Desbrosses, dit Olivier-la-science !
Jetez-vous dessus si ce n'est pas déjà fait !

Vindioussss ! Alors voilà ! On s'absente quelques jours pour aller dire bonjour au Père Noël, et pan, y'a plus personne pour relayer les gouleyantes informations de notre rubrique REDUX !
Gentlemen, je ne vous en tiens pas rigueur. Au contraire, je vous enjoins fortement à sortir de vos étagères, qui confinent aux sommets enneigés, l'excellente musique de tonton Bernie.
Et si, par une exagérée imprudence, vous ne disposeriez pas de ce cd, il faudrait réparer cette omission sans plus tarder !

100 dollars pour un Shérif. Voici bien mal résumé le film TRUE GRIT dont l'ami Elmer a donné le meilleur de lui-même.
Pour l'occasion, et afin de rendre hommage à notre iconique DarkCat, je me suis fendu d'un jeu de mots en sous-titre que lui-même n'aurait pas renié.

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Alors, c'est comme ça ? Il faut donc faire tout le boulot ? Diantre, durant un mois de décembre de folie au travail (les 35h ne sont plus qu'un vague souvenir pour moi, camarades), j'ai laissé passer une petite annonce sur un texte que j'avais pourtant amoureusement ciselé.
Car qui connait ici le brave Brian Easdale ? J'avoue qu'avant d'avoir la compilation de chandos entre les mains, je ne connaissais son nom que pour THE RED SHOES et PEEPING TOM. C'est peu me direz-vous. Oui, c'est vrai. Et c'est bien pourquoi ce petit texte se doit de remettre les pendules à l'heure !

Sam Lowry a écrit : Car qui connait ici le brave Brian Easdale ? J'avoue qu'avant d'avoir la compilation de chandos entre les mains, je ne connaissais son nom que pour THE RED SHOES et PEEPING TOM.

Mr Lowry, ne me dites pas que Le narcisse noir n'a jamais eu l'heur d'exposer ses charmes à vos yeux experts ? Je n'y croirais pas.

Ah mais si ! Excellent film par ailleurs ! Mais j'avoue (honteusement peut-être un peu ?) que je n'avais aucun souvenir de la musique...

Oyez ! Oyez ! Chers villageois underscoriens, venez frémir en vous laissant guider dans les murs de la maison de Frankenstein. Vous y trouverez toutes les légendes horrifiques de l'illustre studio Universal. Et la musique de Salter et Dessau n'est pas en reste, croyez-moi !

Ce DUEL AU SOLEIL (DUEL IN THE SUN) de King Vidor n'est pas un simple western. De part son histoire, bien sûr, mais aussi parce que peut-être jamais jusque là dans l'histoire de ce genre cinématographique, l'héroine principale n'aura été au centre de toutes les attentions. Et quand on voit la beauté aguicheuse de Jennifer Jones, on peut le comprendre. Nul doute que l'excellent Dimitri Tiomkin ait succombé aux charmes de la belle même si, étrangement, il ne lui confère directement aucun thème bien à elle...

Merci encore une fois pour ce très bel article.

Merci à toi de l'avoir lu cher Morty !

J'avais cru voir une nouvelle chronique de Lee Van Cleef sur les musiques dérivée de James Bond, celle des films italiens.
Où se trouve-t-elle ? Je ne la retrouve nulle part sur le site. C'avait l'air croustillant...

PatrickB a écrit :J'avais cru voir une nouvelle chronique de Lee Van Cleef sur les musiques dérivée de James Bond, celle des films italiens.
Où se trouve-t-elle ? Je ne la retrouve nulle part sur le site. C'avait l'air croustillant...

Une nouvelle chronique ? Je n'en suis pas si sur. Les articles que tu évoques s'appellent SPY CONNECTION et elles datent de 2015 - 2016 (!!!!)
Ci-dessous, les 8 épisodes de Maitre Lee. Bonne lecture !
http://www.underscores.fr/chroniques/di ... -tonnerre/
http://www.underscores.fr/chroniques/di ... -umiliani/
http://www.underscores.fr/chroniques/di ... pas-jouer/
http://www.underscores.fr/chroniques/di ... -l-elysee/
http://www.underscores.fr/chroniques/di ... nt-jamais/
http://www.underscores.fr/chroniques/di ... alo-royal/
http://www.underscores.fr/chroniques/di ... 7-spyfall/
http://www.underscores.fr/chroniques/di ... nection-8/

Ah effectivement, merci Bmcready.
Pas facile à chercher sur le site.
Des articles très jubilatoires à lire.

PatrickB a écrit :C'avait l'air croustillant...

"Les produits Van Cleef : des sensations pures !"

Lecture hautement instructive et jubilatoire …
Très documenté, une facilité d’écriture, on rit, sourit souvent. C’était prévisible avec l’aspect décalé des sous-James Bond, pastiches, copies, contrefaçons et autres lointaines transpositions, mais quel talent...
Ca tire un peu sur la corde avec « Spyfall » et les bandits masqués italiens hérités des fumetti. Mais bon, on n’en voudra pas au rédacteur, tant on apprend des choses en s'amusant. J'avais en effet découvert que Diabolik avait été créé par deux soeurs (pas des religieuses), création féminine peu courante à l'époque. N'oublions pas les dessinateurs Gino Marchesi et Sergio Zaniboni.

Et même, je vais jusqu’à déclarer qu’il a gagné ainsi, s’il le souhaite, un bon pour le CD complet de la musique de Diabolik (qui n’existe pas …), artisanal et privé confectionné avec un soin maniaque confinant à la folie douce, donc rien à voir avec les semi-bootlegs très mal faits Pallatola et consorts. C’est simple, on ne peut pas mettre plus, à moins de retrouver le master … perdu, ou volé par le personnage.
Mmmh … Ha ha ha ha !… HA HA ha ha ha ha ha ha…

PatrickB a écrit :Ca tire un peu sur la corde avec « Spyfall » et les bandits masqués italiens hérités des fumetti.

Diantre, ça se voyait donc à ce point ? Ah, mais j'étais si bien, aussi, en compagnie de mes vieux poteaux transalpins... Enfin, mon brave vieux Pat, je te remercie bien bas pour ce panégyrique certes un tantinet tardif, mais apprécié au plus haut degré par l'antique carne que je suis.

Hé oui, mon cher empyjamé furtif ! Sache qu'il y a encore ici, deci delà, des gens qui aiment lire des articles aussi amoureusement confectionnés que les tiens. C'est vrai que ta saga avait de la gueule !

Oui, et l'intérêt réside aussi dans le fait que ces articles sont ici pour longtemps. J'en relis ou découvre certains à l'occasion de recherches, ou en zappant, quand j'ai le temps.

Sam Lowry a écrit :C'est vrai que ta saga avait de la gueule !

A ce sujet-là, il y a ceci de cocasse que je serais aujourd'hui bien en peine d'expliquer comment diable l'idée a pu me harponner de mettre sur pied un si excentrique projet. Remettrais-je le couvert à présent ? Rien n'apparaît moins certain.

Mille milliards de mille sabords ! Voilà un petit cd qui sent bon les embruns ! Personnellement, comme le chanteur Renaud, si j'avais été à bord de la Santa Maria, il y a fort à parier que j'aurais vomi mon 4 heures et mon minuit aussi ! Mais ce CHRISTOPHER COLUMBUS là, de la main d'un Arthur Bliss qui, avouons-le, n'a pas souvent connu les honneurs sur Underscores, possède un certain panache. Allez, moussaillons ! Sortez la grand voile !

‌‌Cherchez la femme... et vous récolterez pour votre peine une sacrée tripotée d'ennuis ! Croyez-en le vieux Van Cleef, l'homme aux mille et une conquêtes en pâmoison : moins chaperon ingénu que prédatrice pleine de morgue, l'héroïne du jour n'est pas du genre à rêver toute rose d'émotion au prince charmant. Et si vous demeurez dubitatifs, gentlemen, alors ouvrez toute grande l'oreille. George Antheil vous grincera et susurrera des choses impies auxquelles il ne vous sera plus possible par la suite de songer sans frémir.