Scorebob a écrit :SURTOUT que les frais de port seront offert à partir du 13 Août.
Thank you for shopping at ARK SOUNDTRACK SQUARE always.
[[[[[ FREE SHIPPING CAMPAIGN! ]]]]]
We are happy to announce a free shipping worldwide (except for Japan residence and for some countries doesn't accept SAL) for all "CD" orders (no Vinyls).
Offer is valid from now to PM 23:59 on August 13th Japan time (GMT+9).
To take advantage of this special offer, enter the discount code "MID-SUMMER" (using all CAPS) on the comment field, during the checkout process.
[Notice: We will ship all orders by SAL. / For whom prefer not to use this campaing and shipping by regular airmail or EMS/DHL, please leave a message on the comment field]
La plus grande claque de ma vie en matière de ciné-concert fut sans conteste Matrix !
Ces frissons de malade dès le début ( les crescendos/decrescendos des cuivres) et quelle puissance tout du long
Milan sur FB a écrit :we are honored to be pursuing our Japanese adventures with the up coming release of the soundtrack to the live action Tokyo Ghoul
Chouette ! Enfin, je dis ça, mais la musique est peut-être plus proche de Universal Soldier: The Return ou Turbulence 2: Fear of Flying que de The Matrix...
M'en fous ! J'ai déjà passé commande pour le mien chez Ark Square, le flanquant au passage de la compagnie que j'espère survitaminée d'une petite "sentaïerie" due à l'excellent Yuji Ohno.
Je ne me lasse pas de Tokyo Ghoul ! C'est vraiment bon et varié. On pense parfois à James Horner, notamment dans les morceaux de piano et un track qui rappelle furieusement The Chumscrubber.
Un bon coup de quoi !
Lee Van Cleef a écrit :le flanquant au passage de la compagnie que j'espère survitaminée d'une petite "sentaïerie" due à l'excellent Yuji Ohno.
Laquelle, dis-moi ? Je suis un peu curieux, étant donné que je suis assez friand des sentaïeries dont tu parles...
Il s'agit de Seiun Kamen Machineman, rigoureusement inconnu au bataillon pour ma part avant qu'une indolente navigation au petit bonheur ne le précipite sous mes pas. Comme assez régulièrement dans ces cas-là, je m'en suis surtout remis à ma bonne étoile en laissant tomber le disque au fond de mon cabas. Plus tard, brave Trooper à la saine curiosité, je te ferai savoir si le pifomètre m'a été de judicieux conseil ou non.
Ca valait bien la peine de quitter la grotte hérissée de stalactites où Davis croupissait depuis des temps immémoriaux pour délivrer, au final, ce Tokyo Ghoul au très ordinaire fumet... Croyez-en le vieux Van Cleef, il n'y a pas matière à pavoiser devant ces clichés qui s'agglutinent, ambiance ténébreuse-mais-quand-même-pas-trop d'un côté, déballage pesamment cuivré et lointainement héroïque de l'autre. Le séduisant fantôme de Matrix affleure par moments, tentant de crever la surface sans remous ni bulles d'une musique par trop prévisible, mais il ne faut jamais longtemps à Davis pour le renvoyer vers les limbes coagulées d'où il vient. L'épilogue, un remix technoïde du thème principal qui montre furieusement les crocs, attise in fine les regrets d'avoir vu l'ami Don incapable d'extirper ses aptitudes protéiformes de la routine qui les tenait enkystées.
CHEZ Dragon Domain ou Buysoundtrax on peut désormais trouver une édition plus complète de la musique du film Hyperespace de Don Davis éditée il y a fort longtemps dans une galaxie fort lointaine chez Prométhéus:
Un pastiche de Star Wars sans-le-sou signé Don Davis, ça peut être marrant. En tout cas, il y a des chances que ça soit plus animé et divertissant que Tokyo Ghoul...
Oui, ça se sent, et d'ailleurs ils ont raison s'ils peuvent se le permettre, leur parodie fonctionne mieux comme ça (même si c'est pas terrible), c'est surtout que je suis étonné par l'écart apparent de budget image / musique !
Quelle purge le dernier Davis Beyond the Sky! Aucunes mélodie, thématique, des samples, du bourrin, on se demande où est passé l'orchestre. On s'ennuie ferme tellement que c'est long et chiant... Mais où est donc passé l'auteur de Matrix?
Pour ceux qui espéraient un album, réjouissez-vous, il n'y en aura probablement pas et c'est tant mieux.
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »