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R.E.P Alan Parker

Publié : mer. 5 août 2020 11:04
par Scorebob
https://www.lemonde.fr/disparitions/art ... 2.htmlVous avez forcément vu un de ses films:


1976 : Du rififi chez les mômes (Bugsy Malone)
1978 : Midnight Express....................................................Giorgio Moroder et son tube planétaire
1980 : Fame................................................................. La scène du concert de fin de cycle
1982 : L'Usure du temps (Shoot the Moon)
1982 : Pink Floyd: The Wall.................................................Le musical des Pink Floyd
1984 : Birdy fameux score de Peter Gabriel
1987 : Angel Heart : Aux portes de l'enfer (Angel Heart).................................La musique de Trevor Jones
1988 : Mississippi Burning.............................................................Encore Trevor Jones
1990 : Bienvenue au Paradis (Come See the Paradise)...............Randy Edelman: https://www.youtube.com/watch?
v=KBZyfbfFaNY&list=OLAK5uy_lo3ULtJ1TKQoDhsSlHBF58nZ2VFhW-plA&index=2

1991 : Les Commitments (The Commitments)
1994 : Aux bons soins du docteur Kellogg (The Road to Wellville)
1996 : Evita
1999 : Les Cendres d'Angela (Angela's Ashes)..........................John Williams
2003 : La Vie de David Gale (The Life of David Gale)

Re: R.E.P Alan Parker

Publié : mer. 5 août 2020 14:10
par Sam Lowry
J'ai apprécié beaucoup de ses films.
Merci Monsieur et reposez en paix.

Re: R.E.P Alan Parker

Publié : mer. 5 août 2020 15:51
par DarkCat
Mes préférences vont clairement à "Mississippi Burning" et "The Commitments". 8-)

Re: R.E.P Alan Parker

Publié : mer. 5 août 2020 20:50
par Lee Van Cleef
Qu'est-ce qu'il s'était ramassé dans les dents, à une époque, Alan parker ! Ses racines artistiques prenant naissance dans le monde décadent du clip l'avaient, sans nul doute, discrédité d'office auprès d'une vaste frange de critiques pisse-vinaigre... Me concernant, rien que pour Angel Heart, son Mickey Rourke au dernier stade de la désagrégation face à un De Niro méphistophélique, sa Louisiane extirpée toute poisseuse et gluante des tréfonds de l'enfer, son Trevor Jones grimé en prêtre vaudou qu'auréolent la glace et le feu, le cinéaste, où qu'il soit désormais (loin de Louis Cyphre, espérons-le), pourra toujours compter sur mon allègre admiration.

Re: R.E.P Alan Parker

Publié : mer. 5 août 2020 21:59
par Odelay
Sa Charlotte Rampling en femme sans coeur.

Re: R.E.P Alan Parker

Publié : jeu. 6 août 2020 09:13
par Link
rien que pour Angel Heart, son Mickey Rourke au dernier stade de la désagrégation face à un De Niro méphistophélique, sa Louisiane extirpée toute poisseuse et gluante des tréfonds de l'enfer, son Trevor Jones grimé en prêtre vaudou qu'auréolent la glace et le feu, le cinéaste, où qu'il soit désormais (loin de Louis Cyphre, espérons-le), pourra toujours compter sur mon allègre admiration.
En dépit de fréquents différents artistiques, force m'est de constater que cette fois-ci, mes simiesques braillements viendront épauler le sifflement menaçant du katana du sieur Van Cleef dans son éloge moite et infernal de l'un des derniers chefs-d'oeuvre du Maître PArker.... Vu au cinéma à sa sortie, 33 ans après, toujours pas remis ! :) [monkey]

Re: R.E.P Alan Parker

Publié : sam. 8 août 2020 22:27
par Lee Van Cleef
Link a écrit :En dépit de fréquents différents artistiques

Nous demeurerons à jamais irréconciliables sur la question, estimé mais cependant incendiaire anthropopithèque ! Toujours tu considèreras Pouic-Pouic comme l'apothéose suprême de la comédie bien de chez nous, tandis que je m'évertuerais sans relâche à couronner de ce titre convoité entre tous le merveilleux Führer en Folie. Ceci dit, peut-être m'autoriserais-je bientôt quelques nuances. Car, dans la liste en permanence garnie de mes visionnages futurs, m'attend Drôles de Zèbres, qui, en des temps reculés, marqua derrière la caméra les débuts homériques et les adieux à fendre l'âme de... Guy Lux ! Un challenger de taille, celui-là, à ce qu'on raconte...

Re: R.E.P Alan Parker

Publié : dim. 9 août 2020 08:33
par Link
Toujours tu considèreras Pouic-Pouic comme l'apothéose suprême de la comédie bien de chez nous, tandis que je m'évertuerais sans relâche à couronner de ce titre convoité entre tous le merveilleux Führer en Folie.
:lol: :lol: :lol: :lol: