L'ami Rico a bien fait ces jours récents de s'épancher élogieusement sur la musique de Michel Magne dans Par un Beau Matin d'Été . Il m'a conduit ainsi à me remémorer que, parmi les nombreuses itérations données par le compositeur à son régal de thème, figure cette surboum on ne peut plus sixties , ...

Vermines a plutôt récolté presse flatteuse par chez nous. Et l'on ne peut nier les franches compétences techniques de cet Arachnophobia à la sauce wesh-wesh, qui sait fignoler ses cadres, de guingois ou non, lustrer ses éclairages d'inclination démonologique et mettre en valeur un spectaculaire car...

Le passage à 1mn50 m'a toujours fait marrer : les chœurs s'élèvent, mes poils se dressent, mes larmes sont au bord des yeux...et à l'écran on a quoi ? Un vieux qui lit des livres en se grattant la barbe. :mrgreen: Y'a du vrai... N'empêche qu'au moins, grâce aux infernales cataractes du National Phi...

Edern a écrit : ↑jeu. 12 sept. 2024 20:38Ce n'est pas les arrangements ou les orchestrations, simplement la mélodie.

De mon côté, ça n'est tout bonnement rien de tout ça. Non, vraiment, cette analogie kamikaze jaillie de ton chapeau pointu en fer-blanc m'abîme dans la plus marécageuse perplexité...

Ceux qui l'ont écouté ont-ils eu cette même impression ? Mon impression, en la circonstance, est surtout que tu travailles à plein rendement du casque, mon pauvre Trooper, pour avoir cru relever du Goldsmith, extrême-oriental ou non, là où il n'en figure pas même une épluchure translucide. j'ai jam...

Lee, je crois que ce topic est pour toi. Mon vieux chat du Cheshire, cette fois encore, tu m'ôtes les mots de la bouche — à défaut d'autre chose. Avec un topic pareillement intitulé, on jurerait tomber entre les accoudoirs tendus de satin rouge d'un jazz un peu smooth , canaille sur les bords, nant...

Merci du renseignement, Starfafouille ! Tu as beau être devenu fort rare parmi nous ("Un seul être vous manque..."), tes tuyaux universellement réputés n'en sont pas moins demeurés de première main !

DarkCat a écrit : ↑mer. 11 sept. 2024 16:58En deux mots : épique et baroque !!

Les épithètes ad hoc pour évoquer au plus près de sa carnation mandarine la récréation exotica de l'ami Giacchino. Bien que ce jeune snobinard ne nous fréquente plus guère, je suis certain que le Cancre a dû s'en défenestrer de bonheur !

Un polar mou situé dans un Los Angeles où tout le monde parle français, même le péquin moyen Caractéristique propre à la version française, bien sûr, là où son pendant international, que j'aimerais bien découvrir un de ces quatre, offre à Trintignant de parler lui-même en anglais. Je doute ceci dit...

Et voila, Pemberton c'est fini. Comme toujours, si vous avez des recommandations à me donner, je suis tout ouïe. :D THE BAD GUYS ?.. Déjà absorbé, avec un plaisir certain m'est-il apparu, par les esgourdes affamées du gars Rico. "Essaye encore" , énonce, dans le lointain, une voix mécaniq...

Il était une voix — et une sacrée, dotée d'une profondeur caverneuse, idéale pour faire tomber dru effroi et menaces d'apocalypse, mais également capable d'une incroyable chaleur, au point de terrasser même les plus ataviques méfiances. C'est le premier versant de sa virtuosité vocale qui permit évi...

Ah-aaaah ! Voilà qui fait rondement plaisir de voir de nouvelles forces entrer sur les terres désolées d'Underscores. Puisse ton périple ne pas engendrer le mutisme environnant qui sape bien trop souvent les ardeurs des détenteurs de la plume informatique... J'espère de même... :? https://i.pinimg....

Ecoute après un visionnage en salle de Par un beau matin d'été . Choix judicieux, mon cher Rico, que cette série B pastorale de très rigoureuse tenue, hélas un peu trop délaissée à mon goût dans l'évocation sertie de louanges des carrières respectives de Belmondo et Deray. Plus débraillé en apparen...

Au terme de deux grosses années pleines à ras bord de horions vicieusement décochés, votre tandem de pugilistes favoris peut enfin s'arroger le droit on ne peut plus mérité de plier les gaules et remballer les piquets de tente. Vendredi ne sera désormais plus raviolis... Ce fut une expérience parfoi...

Pour sa cinquantième, par conséquent dernière et relativement peu diligente représentation, le big bad muscles circus show prend l'eau de toutes parts  ! Au figuré seulement, que l'on se rassérène, car il ne saurait être question de naufrage tragique avec le retour in extremis aux affaires, tant réc...

Vous souvenez-vous, gentlemen, des épaisses odeurs de soufre que The Devils (le film fétiche de notre brave Bobby-Boy, ça coule de source... Au coude-à-coude, tout de même, avec Nude Nuns With Big Guns ) répandit en son temps à des lieues à la ronde ? À l'heure où le séidisme religieux se convulse d...

Il se laisse ouïr, The Killer , bien plus agréablement, si l'on tient au tableau comparatif, qu'un Silent Night sans cesse en train de piquer du nez dans son porridge. Le charme badin du thème principal, tout en sifflotis les mains au fond des poches, devrait aller comme un gant aux traditionnelles ...

Par principe, chaque nouvelle parution imprimée qui traite de notre sacerdoce commun mérite toute la considération du monde ; et ce d'autant plus lorsqu'il est question des musiques horrifiques (miam !) et que mes vieux potes ritals (Goblin, Frizzi, Ortolani... miam bis repetita ) sont d'ores et déj...

Nous le savons, jamais nous ne l'oublierons, Yves Robert et Vladimir Cosma s'aimaient d'un doux amour, partageant dans leur plénitude moult atomes crochus parmi lesquels un sens du comique doux-amer (encore que le deuxième cité, quand il partait baguenauder ailleurs quelque temps, ne renâclait pas à...

Parce qu'il faut bien finir un jour (désolé Lee :? ) https://3.bp.blogspot.com/_kwaAs5PhE1o/SXuCds63FaI/AAAAAAAAAzQ/5x01f7WcXnc/s1600/panpan.jpg "Et que je ne t'y reprenne plus avec tes Starrouarze en papier mâché ! Mauvaise graine, va ! Maintenant, file dans ta chambre et va m'écouter du Rose...

Sam Lowry a écrit : ↑lun. 26 août 2024 20:58Tu me fais bouillir ! Et DIE HARD 2, c'est du pipi de chat peut-être ?

Le contre-exemple létal, qui dame totalement le pion à son aîné et son cadet en termes de rythme échevelé. Pas le temps de piquer du nez, avec celui-là !

Nom d'un katana en acier gaufré ! Il était grand temps ! Après des kyrielles de posts démoralisants où Rico nous confiait quelle jouissance morbide était la sienne à s'esquinter les tympans contre la tartuferie Star Wars et les furoncles de la Franckduboscsploitation , notre galapiat a fini par en a...

Je viens pour ma part de lancer le thème principal. Et ma foi, bercé par les modulations paisibles de son sifflement à la de Roubaix, il n'a rien de rebutant. Si le film, remake que je soupçonne tendu de cellophane d'un classique séminal, ne tisonne que très négligemment la curiosité, peut-être faud...

En son unique et auguste personne, Michael Kamen était capable de cristalliser la perpétuelle quête de perfection des héros de l'olympisme. À la fois discobole aux lignes dures et gracieuses, lutteur gréco-romain aussi inébranlable qu'une montagne, sprinter dont les foulées de géant entretiennent le...