Defenders (The) (Season 1) (John Paesano)

UnderScorama • Publié le 15/09/2017 par

The Defenders (Season 1)THE DEFENDERS (SEASON 1) (2017)
Compositeur : John Paesano
Éditeur : Hollywood Records
Format : Digital
Date de sortie : 18/08/2017

2 out of 5 stars
Olivier Desbrosses Après deux saisons de sinistre mémoire pour Daredevil, Paesano rempile, pas pour le meilleur, mais pour le moins pire : plus orchestral, moins électro-moche (même si y en a encore trop), plus impliqué aussi, en témoignent certains passages plus intimes pour violoncelle solo. Le résultat est efficace mais banal. Encore d’une occasion ratée…
2.5 out of 5 stars
Florent Groult C’est à Sean Callery (Jessica Jones) que le projet aurait dû échoir plutôt qu’à un Paesano toujours aussi peu avisé et dont on retrouve bien sûr inévitablement, dans les grandes lignes, les errances issues de son insupportable Daredevil. Un peu moins pénible dites-vous ? Allez ouais, mais un chouia seulement…
1.5 out of 5 stars
Pierre Braillon Juste au-dessus de la soupe aux fists de Trevor Morris, mais tout ça reste le même brouet sans couleur ni saveur, totalement banal. Comme pour les films, on se dit qu’il y a quand même du gâchis : quelle que soit la qualité de la série, le principe d’une équipe de super-héros offre sur un plateau l’occasion d’un travail thématique exaltant.
2 out of 5 stars
Baptiste Brylak Des ostinati, un peu de voix éthérée, de la percu et de l’électro. Comme d’hab. Ce n’est pas intéressant pour deux sous et pas follement héroïque non plus. Genre « On se prend super au sérieux, tu vois, mais par rapport à la réalité, OK ? On n’est pas là pour faire les héros de bande dess… Ah merde. Autant pour moi. »
1.5 out of 5 stars
Milio Latimier Pas grand-chose à tirer de ce Defenders aux moyens étriqués (orchestre électronique). Si Paesano parvient à créer des atmosphères intéressantes (avec des sonorités asiatiques) voire de l’émotion (grâce à un violoncelle soliste surtout), les séquences d’action sont toutes brouillonnes et bruyantes, minant ce qui avait été bâti juste avant.
1 out of 5 stars
Christophe Maniez D’habitude, Paesano n’est pas ma tasse de thé. Mais ici, il y a quelque chose en plus avec ce mélange de sons synthétiques et d’instruments acoustiques. Un ton désabusé et nerveux. Attention, ça ne vole pas bien haut (on sent l’influence des progressions harmoniques basiques et chères à la team RCP) mais ça reste relativement agréable.
3.5 out of 5 stars