Fate Of The Furious (The) (Brian Tyler)

UnderScorama • Publié le 15/05/2017 par

The Fate Of The FuriousTHE FATE OF THE FURIOUS (2017)
Compositeur : Brian Tyler
Éditeur : Back Lot Music
Format : CD & Digital
Date de sortie : 28/04/2017

2.5 out of 5 stars
Olivier Desbrosses Vu qu’il s’agit du cinquième score de Force Blonde pour la franchise, on se doutait que la recette n’allait pas évoluer d’un iota. N’empêche que les saillies électrorchestrales de Tyler font toujours mouche, que c’est plus écrit et thématique qu’il n’y parait, et que de toute façon, ce type de film ne s’accommoderait guère d’une approche musicale plus ciselée…
3 out of 5 stars
Florent Groult Sans surprise, notre cher Brian « Boum-Boum » Tyler assure le show électro-rock orchestral avec enthousiasme, même s’il ne fait finalement que reprendre et mixer tous les aspects précédemment développés pour la franchise. Si vous êtes fans néanmoins, aucune hésitation à avoir…
2.5 out of 5 stars
Baptiste Brylak Bah voilà, alors bravo hein, non mais il faut le dire parce que merde : je commence à trop apprécier Tyler, ça me fait peur. N’empêche, je ne sais pas? il y a une ambiance, les passages bourins sont « lisibles » et agréables à écouter. Ça m’a presque donné le même plaisir que Speed à l’époque.
3.5 out of 5 stars
Sébastien Faelens Je ne sais pas pour vous, mais Tyler m’ennuie de plus en plus. Les grosses ficelles ne changent pas et deviennent même pénibles, ce qui rend cet épisode des fous du volant assez insipide musicalement. Après Power Rangers, c’est la baisse de forme pour le beau gosse blond.
2 out of 5 stars
Milio Latimier Le travail de Tyler est aussi superficiel que jouissif, mais difficile de ne pas se lasser au bout du cinquième. Il reprend heureusement des idées thématiques (le thème du 5 et le thème « familial »). C’est toujours aussi grossier et bourrin et on se laisse facilement prendre au jeu, mais on en retient pas grand-chose, comme après un burger-frites.
2.5 out of 5 stars
Christophe Maniez On retrouve le thème de Fast Five dopé aux amphéts. Amis de la poésie et de la subtilité, passez votre chemin : Tyler, en multi-instrumentiste qu’il est, s’occupe de la batterie et ça cogne, ça bastonne, avec ou sans orchestre symphonique, selon les morceaux. 77 minutes d’adrénaline, c’est un peu saoulant (surtout les loops).
3 out of 5 stars