Z: The Beginning Of Everything (Marcelo Zarvos)

UnderScorama • Publié le 15/03/2017 par

Z: The Beginning Of EverythingZ: THE BEGINNING OF EVERYTHING (2017)
Compositeur : Marcelo Zarvos
Éditeur : Varèse Sarabande
Format : CD & Digital
Date de sortie : 24/02/2017

3 out of 5 stars
Olivier Desbrosses Sans être pourtant singulièrement remarquable, la partition de Marcelo Zarvos distille une certaine légèreté mélancolique qui ne manque pas de charme. On ne peut pas dire qu’il varie les plaisirs, l’album étant assez répétitif (d’autant que chaque morceau est construit presque toujours de manière sérielle), mais le résultat est agréablement honnête.
3 out of 5 stars
Florent Groult Le style rappelle beaucoup celui de certains compositeurs anglais, tels Rachel Portman par exemple, mais la joliesse chambriste de cette partition souvent élaborée à partir de cellules répétées pêche par trop de transparence qui n’amène qu’à la considérer avec un ennui poli. Dommage.
2.5 out of 5 stars
Pierre Braillon Des morceaux de deux minutes et demi au plus, structurés pour pouvoir être posés n’importe où (boucles, ostinati, absence de conclusions musicales) : c’est calibré pour une série télé. Cela dit, j’ai aimé, parce que cet univers délicat, acoustique, un peu tristounet et rêveur me parle, comme quand c’est Portman ou Burwell qui me le racontent.
3 out of 5 stars
Baptiste Brylak Même si je lui mets une note de trois, justifiée par la qualité d’écriture de tout l’album, il n’empêche que l’écoute au complet a été plutôt soporifique. C’est très beau, mais c’est longuet.
3 out of 5 stars
Milio Latimier Ouf ! Je commençais à abandonner tout espoir. Outre de nombreux thèmes et motifs réussis, des choix instrumentaux très classieux mais agréables et toujours engageants, Zarvos accélère enfin un peu le rythme (mais attention, ça reste calme) et le soin apporté à mettre les sons et les timbres en équilibre m’a enfin convaincu. Bien joué, Marcelo !
3.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Pour cette mini-série estampillée Amazon Television, les producteurs ont fait appel à Zarvos. On sent que le temp track a du utiliser pas mal de Mark Isham en mode champêtre (Nell, A River Runs Through It) mais ça reste néanmoins très écoutable. Pas mal de piano, de guitare acoustique, une petite section de cordes et le tour est joué.
3.5 out of 5 stars