Warcraft (Ramin Djawadi)

UnderScorama • Publié le 15/06/2016 par

WarcraftWARCRAFT (2016)
Compositeur : Ramin Djawadi
Éditeur : Backlot Music
Format : CD & Digital
Date de sortie : 17/06/2016

2.5 out of 5 stars
Olivier Desbrosses On a demandé à Djawadi un crossover entre Game Of Thrones et Pacific Rim, et c’est exactement ce qu’il a fait. Mais son obédience ne l’a pas empêché de travailler plus qu’à l’habitude ses orchestrations, assez réussies. Du coup, on regrette un peu moins que Blizzard n’ait pas fait appel à la Horde des compositeurs des jeux. Juste un peu moins…
3 out of 5 stars
Florent Groult Le thème est gentiment couillon et le projet réclamait plutôt la générosité d’un Young ou la virilité retrouvée d’un Silvestri. Pour autant, Djawadi ménage quelques bonnes idées, notamment le recours à une flûte basse et de multiples percussions (nécessitant pour elles seules deux orchestrateurs). De quoi ravir ceux qui aiment les approches massives.
3 out of 5 stars
Baptiste Brylak La partition est aussi épique que si les guerriers du film partaient en guerre avec des tapettes à mouche. Autant dire que ça ne vole pas très haut ! Quelqu’un peut-il dire à Ramin qu’avant lui, d’autres avaient créé toute une mythologie musicale et balançaient autre chose que de la purée de coton-tige mutants ? Pas complètement nul, mais pffff…
2 out of 5 stars
Olivier Galliano Conan, entre deux parties de Warcraft : « J’ai pas compris pourquoi ils ont pris une endive pour faire ce truc, alors que le jeu vidéo avait une belle horde de compositeurs doués. J’aime beaucoup le bourrin, bien sûr, mais par Crom, on était mieux servi à l’époque ! Basil, reviens ! »
1.5 out of 5 stars
Milio Latimier Djawadi continue de fournir de sérieux efforts, ici avec des thèmes mémorables. Outre la mélodie principale souvent répétée (il y manque la grosse gratte), le thème de Medivh est également réussi. Le travail sur les sonorités exotiques est aussi un atout. L’album peine à reprendre du souffle après une demi-heure cependant, et la tension dramatique s’étiole.
3 out of 5 stars