Au-delà des séduisantes litanies chantées évoquant un sombre rituel, on ne trouve ici que des ambiances. Mais des ambiances subtiles, travaillées avec un tel soin qu’on ne peut guère jeter la pierre au compositeur. Ou alors si, mais pas trop fort.
Pourquoi, lorsqu’il s’agit d’une histoire un peu glauque et fantastique, doit-on se retrouver avec des ambiances lourdingues avec du piano ? Non mais bon voilà, j’en ai marre, je suis tout colère.