Velasco crapahute en terrain connu et déjà exploré par quelques grands noms, de Giacchino à Lennertz, mais il s’en tire sans honte par une approche moins frontale et plus lyrique que ce que l’on pouvait attendre, sans pour autant délaisser les envolées martiales de rigueur.
Énième FPS période WWII pour lequel Velasco retourne sillonner des tranchées naguère creusées par Giacchino ou Lennertz. Hormis la prééminence du piano dans les séquences les plus sensibles, tout cela est tout de même très prévisible.
Il y a des thèmes, de l’action bien orchestrée, et les ambiances ne sont pas chiantissimes. Bon remarquez c’est normal, parfois c’est carrément pompé sur Williams (voir Stick To The Shadows).
Chouette, une nouveauté de Velasco, un des mecs de God Of War ? Ah ben non, c’est pas terrible en fait.